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Maeko TSUKINO - Tache d'Encre

Anonymous





Invité
Invité
Mer 24 Fév - 23:01
黒 狼 Kuroi Okami
 « N’'affame pas le loup, et tu n'auras rien à craindre pour tes moutons. »
Maeko Tsukino まえこ 月
World of Line
Mon alter réside dans l’encre spéciale qui sort de la pulpe de mes dix doigts. Je tiens à préciser qu’elle en sort lorsque je le décide (comprenez par là que je ne fuis pas de l’encre comme un calamar constamment apeuré) mais pas forcément comme je le décide. J’ai encore à apprendre pour parfaitement maîtriser les dessins que je veux faire.
Propriété de l’encre :
- Créée par mon corps sur demande, elle sort par le bout de mes doigts. Au contact de l’air, elle se rigidifie et devient plus lourde. Ce processus est progressif, l’encre ne devient pas solide sitôt dans l’air. L’encre encore liquide est modelée par la dessinatrice, à distance (elle imagine l’encre prendre une forme en la dessinant, l’encre suit le mouvement de ses doigts en flottant dans l’air) pour devenir un objet (physique, réel, solide, en 3D) d’une lourdeur proportionnelle à cette même modélisation (plus la modélisation est perfectionnée plus l’objet prendra consistance et lourdeur, plus il sera proche de l’objet dont il devient la reproduction). Les objets, lorsque leurs dessins sont bâclés, sont vides et légers, parfois difficilement semblables à leurs originaux. Néanmoins, quand je dessine assez vite et bien, les objets sont réalistes et pleins, composés de l’encre solidifiée. L’encre une fois définitivement solidifiée est soumise à la gravité et tombe au sol depuis l’endroit d’où elle était. L’endroit en question est toujours à une distance d’un mètre de moi - l’encre sort de mes doigts et jaillit à un mètre de moi.
- Couleur d’origine de l’encre : lorsqu’elle s’échappe de mes doigts : noire. Elle change de couleur à mon désir, la palette (de couleurs, toutes les couleurs possibles et imaginables) est alors complète. Cette précision est importante : les objets possèdent les couleurs qui leur permettent d’être aussi réalistes que possible.

L’encre s’échappe donc de mes doigts et mes gestes permettent de l’utiliser pour dessiner un objet en 3D. Plus je prendrais du temps pour donner des détails à mon dessin et plus l’objet sera réussi. Si on étudie ses propriétés, l’objet sera bien fait de cette encre spéciale qui sort de mes doigts. Néanmoins, en apparence, il sera difficile de différencier l’objet créé de l’original. En effet, tous mes dessins sont réalisés à partir de celle-ci. Lorsqu’elle se rigidifie au contact de l’air, elle me laisse peu de temps pour dessiner des objets trop complexes. Il me faudra encore de l’entraînement, muscler mon alter, et me fortifier pour réussir à dessiner assez vite, assez bien, pour faire évoluer mes créations.
Je ne peux pas dessiner ce que je n’ai jamais vu en entier. Je pourrais dessiner l’extérieur sans problème, l’intérieur sera de l’encre durcie. Je pourrais dessiner l’intérieur de l’objet si je le connais et si j’en ai le temps (et/ou que je sois assez rapide) pour le faire. Ensuite, je pourrais assembler les différents éléments pour ainsi le compléter. Je peux dessiner un objet en plusieurs fois, en ajoutant chaque pièce, néanmoins, je ne peux pas changer un objet qui est déjà solide, pas plus que je ne peux les effacer.
Actuellement, je ne peux pas construire d’objets complexes (un cube sombre oui, une bibliothèque pleine de livres, non, un mur, un pont, oui, une arme à feu, un four à micro-onde fonctionnel (ou pas), non). Je ne peux rien construire de vivant, je ne peux pas créer le feu et l’eau. Mes constructions sont solides et utilisables, mais sont bien faites de l’encre qui sort de mon corps. Cette dernière est ignifuge (l’encre aura tendance à se solidifier encore plus, sans pour autant craquer) mais l’eau est un réel problème : trop longtemps aspergée, l’encre peut s’effacer ou pâlir, à terme, disparaître. Une bonne explosion peut aussi résoudre le problème, dissipant mes créations rapidement.
Ainsi, mes œuvres résistent au soleil, mais pas aux intempéries (rattachées à l’eau : crues, inondation etc…) et ne peuvent donc pas remplacer définitivement quoi que ce soit.
L’encre vient de mon corps et ne semble pas avoir de limite, du moins je n’en n’ai pas encore constaté, mais je n’ai jamais poussé mon alter à son maximum. Ainsi, je trouve normal que poussé à son maximum on puisse présager un temps de repos pour me recharger.
Informations sur le personnage
NOM : Tsukino 月野
PRÉNOM : Maeko まえこ
TITRE : Kuroi Okami 黒 狼 (Loup Noir)
AGE : 15 ans
NATIONALITÉ : Japon
GROUPE : Étudiant à Yuei (par défaut dans la même école que Kaoru Tsukino, si c’est possible)
RANG : Rang D
Avatar : Grey Wolf, Kemono Friends
Comment avez-vous connu le forum ? : Ayako
CODE DU RÈGLEMENT : C'est bon. - Aslinn
La Lune hurle, louve pelage d'encre, nuit créatrice
À la naissance, dualité absente, parents inconnus
Trois petits cailloux, automne aux mille couleurs, les loups ont choisi
Les grands changements, impliquent des décisions, doutes et espoirs
Description physique
Les mutations nous caressent, nous possèdent, nous personnifient. Comme le sang qui coule dans nos veines, elles nous façonnent à leur guise.

Héritage d’un passé inconnu, d’une histoire décousue, le loup s’est emparé de mon corps.

[Pour précision : cette mutation physique n’est liée à aucun Alter, juste une mutation, probablement héréditaire (Maeko et Kaoru ne connaissent rien de leurs ascendants).]

Sur ma tête se dressent deux oreilles lupines aussi noires que l’encre qui coule à mes doigts. Elles sont mobiles, suivent les sons, se couchent, se plaquent sur les côtés, se dressent : la flagrance de mes émotions qui passent par leurs mouvements.
Autre attribut de la mutation qu’a subit mon corps, si vous descendez sur la courbe de mon dos, juste là, une queue se dresse, s’agite comme mes oreilles. Impossible de mentir lorsque l’excitation la fait s’agiter ou la peur la glisser entre mes jambes. Elle revêt un pelage tout aussi sombre que mes oreilles, plus touffu malgré tout. Si mes oreilles ne m’ont jamais posé problème, j’ai toujours dû prendre des tenues adaptées à ma queue, pour qu’elle ne se trouve pas entravée, ce qui est fortement désagréable.
Spoiler:
Mes cheveux sont de la même teinte que mes attributs, noir comme une nuit sans lune. Je les attache souvent, pour libérer mon regard. Ma peau est un contraste, blanche et claire. Je n’ai que très peu de cicatrices ou de marques. Mes yeux sont ronds et expressifs. Ils sont aussi vairons, atypiques : l’un est violet, l’autre bleu. Il paraît que la couleur du regard joue beaucoup sur l’abord qu’un inconnu aura avec vous. Je me dis que ça doit être perturbant. Mais j’y suis habituée. Mon double au masculin possède le même, en inversé, et j’y suis totalement habituée. Mon nez est petit et surplombe des lèvres rosées et fines. Je souris très facilement.
Je suis grande et de forte corpulence. Je reste musclée malgré tout, dû aux entraînements auxquels je m’astreins pour garder la forme. Quant à mes tenues vestimentaires (en dehors des uniformes réglementés), je vise le confort avant tout, et si suis parfois en robe, c’est uniquement lorsque ses dernières possèdent des poches ! Je n’ai pas encore de tenue de super-héros, j’espère que je finirais par avoir des idées en côtoyant mes nouveaux camarades d’’école !  
J’ai une démarche rapide et j’ai tendance à ne pas perdre de temps quand je me rends d’un point A à un point B, tâchant de prendre des raccourcis. Pourtant, je ne bouscule jamais personne, car je fais toujours attention à où je mets les pieds.
Description psychologique
Comment je suis ? Hum… Je peux vous dire ce que je pense être, et comment on me voit, en toute subjectivité.
Je suis très protectrice, et c’est ce qui dirige presque tous mes comportements. Je désire que chacun se sente en sécurité, et je n’hésite pas à agir en ce sens. Ça peut me mettre mal à l’aise, si je ne contrôle pas mon environnement : je ne me sentirais bien que lorsque je serais sûre que nous sommes en sûreté, ou qu’on puisse agir pour l’être.
On me dit aussi beaucoup trop impulsive : je réagis vite, et avant même d’avoir réfléchi. Je sais que ça me joue des tours lorsque je veux utiliser mon pouvoir : ça en est terriblement frustrant ! Si je ne réfléchis pas avant de faire un dessin, je perds du temps et le brouillon qui en ressort ne m’est d’aucune utilité, voire même peut déboucher sur une catastrophe. Je travaille dessus, mais ça, y’a pas à dire, y’a encore à faire pour que ce soit parfait.
Ma gouvernante dit que je suis une boule de joie mais qui ferait bien de se calmer à l’école si elle veut réussir ses examens. Et que je suis trop bavarde, aussi. Je ne trouve pas que je suis trop bavarde. Vous le trouvez, vous ? Par contre, je suis d’accord sur le début : je veux faire en sorte de ne rien regretter dans ma vie, qu’elle soit belle pour moi et les autres. Et je veux prendre chaque rire, chaque moment de bonheur pour ce qu’ils sont  : des petits trésors.
J’ai appris de tous ceux qui vivent en institut : je pense que j’ai toujours eu la vie plus simple que bon nombre d’entre eux. Je n’ai pas connu les violences, je n’ai pas connu les abus, je n’ai pas connu les manquements, la faim, la peur. Mais j’ai appris à la ressentir chez eux, et c’est ce qui m’a construit. Ce qui m’a donné mes motivations. Je suis assez tenace (pas obstinée, je ne suis pas entêtée) et lorsque je veux quelque chose, lorsque j’ai un but, je me donne les moyens pour réussir, pour apprendre.
Quant à mes peurs… La solitude, perdre mon frère, être dans l’incapacité de protéger mes proches… C’est ce qui me terrifie le plus. J’ai peu de choses, peu de biens, mais mes amis, Kaoru, sont tout pour moi. Je leur suis tellement fidèle que d’apprendre la perte d’un proche, ou encore de voir l’un des miens se retourner contre la justice pourrait me faire douter, faillir. Comment réagir face à quelqu’un que l’on pensait bon et qui devient vilain ?
Car les vilains ont été des enfants un jour, non ?
Ah, et j’ai aussi peur du vide.
Histoire
Abandonnés à la naissance, nous aurions pu croire que nous ne découvririons jamais ce que signifiait le mot famille. Et pourtant, à nous deux, nous en étions déjà une.

Je m’appelle Maeko Tsukino et je suis la sœur jumelle de Kaoru Tsukino. Orphelins, nous avons grandi dans différentes “Institutions Care”, l’équivalent japonais des orphelinats. Nous avons eu la chance de ne jamais avoir été séparés, de pouvoir grandir ensemble. On aurait pu croire qu’être en fratrie nous aurait éloigné de la communauté, mais ce n’était pas dans notre tempérament. Du moins je le pense, je ne peux pas parler de ce que ressens mon frère, alors je vais me contenter de raconter notre histoire de mon point de vue. Notre histoire. Pas celle de Kaoru et moi. Celle de la communauté que nous formions tous en institut.

Durant nos trois premières années, je sais que nous sommes restés dans un endroit où nous étions beaucoup moins nombreux. Un institut dédié aux nouveaux nés et aux nourrissons. Je le sais car j’ai déjà fouillé dans mon dossier, bien plus tard et plus âgée, et lorsque les gouvernants avaient le dos tourné. Mais ça ne m’a pas appris qui nous sommes ou d’où nous venons. On nous a déposés devant la porte de l’institut, en plein jour, sans lettre, sans rien. Je me demande si ce sont nos pleurs qui nous ont permis d’être recueillis rapidement. Je me demande si à un seul moment, nous avons manqué à nos géniteurs, et s’ils regrettent. Je ne peux pas dire que ce soit mon cas : comment ressentir le manque de ce que je n’ai jamais reçu ? Et le regret ne permet pas d’effacer l’acte. Je ne leur en veux pas. Ils m’indiffèrent.

De fait, cette partie n’est pas la plus intéressante. Quid de son passé lorsque l’on découvre, les uns après les autres, nos capacités ? Depuis l'explosion des Alters, quatre ans est devenu un âge charnière, à l’instar de l’âge de raison ou l’âge ingrat. Oh que nous sommes devenus soudés dans ces petits instants de bonheur ! De mettre de côté le fait que nous étions tous des rebus de la société, des enfants martyrs, des enfants oubliés. Là, nous étions juste… Des enfants. Surpris, joyeux, excités, curieux ! Je me souviens encore d’Haruka qui, en plein repas, s’était mise à tousser des petites bulles multicolores. Et que dire d’Aoi et de ses discussions interminables avec toutes les ombres des autres orphelins de l’institut ? Ces souvenirs me sont tellement précieux. Nous nous aidions les uns les autres pour apprendre nos dons, à la manière de deux enfants qui se tiendraient la main pour ne pas tomber, apprenant seulement à marcher. Et Kaoru. Et moi. Nous hurlions parfois à la lune, comme si elle aurait pu nous changer totalement en loup, et révéler ainsi notre Alter à tous. Ça nous semblait si évident. Moins à nos gouvernants qui courent alors après pour nous faire taire!

De l’encre qui me sort des doigts. La première fois, ce fut tellement surprenant ! Nous courrions dans les couloirs, avides des jeux que nous créions pour tromper l’ennui. Un cache-cache géant et d’un coup, je pointe du doigt dans la direction d’un des enfants cachés.
“Là ! Je t’ai vu !”
Et de l’encre qui me sort des doigts, qui prend la forme de mon geste. L’encre se modèle et prend la forme d’une flèche face à laquelle je reste un instant figée avant de sursauter lorsque tout à coup, elle tombe au sol. Je me souviens de l'avoir fixée, décontenancée, et l’avoir prise dans mes mains. Petite, c’était une flèche comme celle des jeux en plastique aux couleurs bariolées que nous avions dans notre salle de repos. Dans différentes caisses Il y avait des cubes, des pyramides, des cylindres, des flèches en 3D et c’était exactement la même que celle avec laquelle j’avais tant joué.
Aussitôt, j’ai fait en sorte de sortir à nouveau de l’encre de mes doigts, mais ça ne ressemblait pas à grand-chose. Pour moi, c’était suffisant ! J’avais des oreilles de loup et je crachais de l’encre par mes doigts ! Comment ne pas être ravie ?

Les années se sont égrainées et nous grandissions à notre rythme, apprenant que vivre en communauté, c’est savoir partager. C’est se soutenir. C’est apprendre sans cesse à découvrir les nouveaux. C’est parfois être le nouveau. Je pourrais tenir le compte des instituts dans lesquels nous avons été ballotés mais ça n’aurait aucun intérêt à part rajouter trop de phrase à une histoire déjà trop longue à lire. Peu importe où nous étions, nous n’étions jamais seuls.
Vivre en communauté, c’est être une histoire formée de mille et un livres. Et apprendre que certains livres sont en meilleur état que d’autres. Nous avons compris en grandissant que nous avions eu de la chance. Que la vie est insolente et qu’elle épargne rarement. Certains des enfants avec qui nous étions avaient été brisés par leur passé, et en mûrissant, nous comprenions l’impuissance que pouvaient ressentir nos gouvernants. Je pense que c’est là qu’a grandi en moi ce besoin d’aider mes amis, cette incapacité de rester devant les injustices bras ballants.

J’étais déjà protectrice avec mon frère, je le suis devenue avec chacun de nos pairs, sans distinction. Une mère poule d’une dizaine d’années, avouez que ça a de quoi prêter à rire.

Et puis il y a eu les héros. Ils ont toujours fait partie du quotidien, mais surtout à la télévision. Chaque soir, nous avions le droit à une demi-heure de visionnage et nous nous gavions des informations de la journée, qui faisait part de leurs actes d'héroïsme et des vilains défaits. Pourtant, entre les voir à la télévision et les avoir dans l’institut, le choc fut de taille !
Ils appellaient ça des œuvres caritatives, et ça se passait chez nous. Nous avions fabriqué des cadres, des pots à crayons, plein de petits objets que nous mettions en vente et les revenus nous serviraient pour un voyage de fin d’année. Je me souviens surtout de l’héroïne. Elle était magnifique et je savais que son Alter se rapprochait de la terre. Elle la manipulait un peu comme je manipule l’encre, du moins l’imaginais-je. Sa peau était sombre et sa voix très douce. Je me souviens qu’elle avait parlé avec nous, parce qu’on lui avait posé des tas de questions ! Saha-Terra m’a vraiment marquée. Bien plus que le voyage.

C’est comme ça qu’on a voulu, avec Kaoru et d’autres enfants de l’institut, devenir des super-héros. Ça tournait en boucle dans nos têtes et aujourd’hui encore ça me fait sourire. Mais je voulais à tout prix réussir car je comprenais que oui, je pouvais agir pour rendre le monde meilleur. Nous nous sommes renseignés sur les conditions d’admissions, avec l’aide de nos gouvernants et des assistants sociaux qui nous suivaient et après… On a relevé nos manches. Certains plus que d’autres, certes, mais encore une fois, toujours dans l’entraide.
Je faisais déjà beaucoup de sport - toujours besoin de se défouler, se riaient de moi mes professeurs de sport. Je me suis musclée, et mon frère me soutenait encore plus, alors que lui même travaillait son don et ses propres compétences. Nous nous mettions des défis et le Jour J, nous nous sommes inscrits.

Et nous voilà aujourd’hui, nous avons réussi les tests ! J’ai encore du mal à y croire. Kaoru et moi avons réussi à entrer dans l’école que nous désirons tant. Les autres ont postulé dans la seconde école et une partie a relevé le défi haut la main. Acceptés, nous allons quitter l’institut pour ces établissements pour futur super-héros. Ça me fait tellement étrange de me dire que je ne reverrai plus mes amis… Peut-être que si je demande à Ayako, elle acceptera qu’on y passe de temps à autre pour faire coucou. Nous la connaissons depuis peu mais l’assistante sociale est devenue notre tutrice pour la durée de nos études, ( du moins pour nous deux et cette école) nous permettant d’avoir un responsable au plus proche pour combler la situation nouvelle et le fait que nous ne soyons plus directement dans l’institut.

Une nouvelle page de notre vie commence.

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Endeavor
Messages RP : 4

Feuille de personnage
Titre: Héros Incandescent
Expérience: ???
Alter: Hell Flame
Rang S+





Endeavor
Rang S+
Sam 13 Mar - 23:19


« Fiche Validée ! »

Admise au sein de l'Académie Shiketsu , au rang D


Enfin ta validation. C'est rassurant de voir que vous avez réussi à rester une famille... Malgré les épreuves.

Mais avant de commencer à nous conter tes récits et aventures fascinantes avec les autres membres du forum, il va te falloir :

→ Recenser ton avatar. (Ici.)

→ Faire une fiche technique. (Ici.)

→ Et, si tu le souhaites, faire une fiche de Prouesses (Ici.)

Encore bienvenue et bonne aventure à toi parmi nous !


«Plus Ultra !»


Codage par Saphira pour EPICODE
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