Raidã Ayuzawa

« Qui suis-je ? »

Je suis sur un bâtiment avec une vue incroyable sur la ville. Les yeux plongés dans le vide, la nuit est maître de ce lieu duré quelques heures avant que la lumière de ce soleil ne vienne illuminer le ciel. Je répétai toujours ses quelques mots, pourquoi est dure de répondre ? Je parle seule ? C’est possible ! Ou peut-être que je discute avec la lune et les étoiles, les âmes de ceux tombés ?

« Cette question, je les entendis mille et une fois ! Et pourtant, elle complique à répondre. Je ne sais réellement qui je suis. Je suis âme errante dans un monde qui perdu ses couleurs a mes yeux, il est sombre, il est gris, triste. Il a perdu sa valeur. »

Je ne comprends pas pourquoi, mais cette nuit me ramenait dans mes pensées, des souvenirs lourds douloureux, quelque chose que j’avais oublié depuis longtemps. Le goût du désespoir. Je ne suis nullement quelqu’un de bien ou de courageux. Je suis juste une coquille vide. Je fixais la lune.

« Je suis ni une vilaine ni un héros. Je ne me prête pas être la solution, hors la loi ? Je suis peut-être ange déçu ? C’est cela. Je suis juste quelqu’un qui se lève les poings face à l’injuste de ce monde. Je suis celle qui prendra les armes quand personne ne saura quoi faire ! »


Je discute avec la lune pour me prouver que je n’avais pas tort ? Prouvé qui je suis dans un monde qui a perdu la valeur, le goûte des cendres, je suis resté aux sols durent des années. Je ne suis pas un exemple, je demander jamais n’a qui compte de comprendre mes choix. Tous les mondes sont différents !

« Ma vie ne vaut pas la peine d’être vécue alors autant mourir, mais pas sans raison mourir en sauve une vie.. Au moins, elle aura servi à quelque chose. »

Des mots durs, mais qui sonne vrai, la seule fois où je suis moi-même, là pour vérité. Je me demande si ma vie aurait pu être différente, mais avec mon passé, je pense que cela aurait dû se finir autrement. Avec mon nom sur cette tombe ? C’est sûr que cela aurait dû se finir ainsi. Ah, je ne suis pas une personne qui va sauter de joie ou qui va vous dire que tout est rose ! J’ai bavé et j’ai arrêté de croire en mes rêves. Je profite de la vie, mais par moments, je laisse mes souvenirs et mes regrets me gâchent le moral.


**Je née dans une famille avec des parents à tête de mafieux. J’avais un frère jumeau et un autre frère plus vieux que moi. Mon Alter et celui-ci de mon père, une belle ou plutôt comme un lien de ce monstre. J’étais parfois dévoré par mes ombres, mon alter, bien que je ne le considérais pas comme le mien, mais comme un héritage maudit. J’avais encore beaucoup de mal à ce que cette alter soit comme le mien. J’avais du mal avec l’idée qu’il soit autre chose qu’une alter maudit à mes yeux.

Je connais beaucoup de monde de ce côté, celui de mafieuse. Facile de trouvé les informations quand on fait partie d’un dit sombre. Mais j’avais bien essayé de changer. Un soir, le jour de mon anniversaire, un jour, maudis, a mes yeux. On se promenait avec mes frères, enfin, on revenait du cinéma quand un groupe de jeune, petit gang du coin, vides leurs armes sur nous, bien que les attaque du style sois très rare depuis l'arrive des héros  Je fonde dans mon ombre afin de pouvoir éviter les balles, mon grand frère, Yuko arriva à se mettre à l’abri. Il avait reçu une balle dans l'épaule gauche. Par contre mon frère jumeau, Atsuya, il n’avait pas pu esquiver. Son corps était aux sols sans vie. Des larmes coulaient sur mes joues encore aujourd’hui se souvenir me hante, pourquoi, je ne lui avais pas poussé pour le sauve ? Pourquoi suis-je par reste ? Après quelques jours d’hôpital, je rentre enfin chez moi. Je pouvais enfin retrouver ai, mon chien, une Akita Inu de 54 cm était ma seule amie dans ce monde et elle avait suive toutes mes aventures depuis le début. Elle avait été ma bouée. De me garder sur une route plus noble. Je pensais qu’elle serait triste de me voir sur ce toit, seule a compare et maudire mon existence. Un petit courage et une combattante. Je pense que je ne pourrais jamais l’oublier, pour les scarifie qu’elle a fait ? Elle a montré la voie d’un monde meilleur, le bonheur, l’amour, la compassion. Entre chez moi après ses quelques jours d’hôpital. C’est là qu’une émission m’avait mis en tête que j’aurais pu devenir une héroïne. Moi une héroïne ? Croyais le ou pas, j’avais eu des idées stupides. Je pensais vraiment que cela allait marcher ? Que j’aurais pu changer quelque chose ? J’écoutais les paroles du héros et je comprenais, le fait de sauver les gens était pour éviter le pire, éviter la souffrance, les larmes… C’est ce que j’avais promis, personne ne devrait vivre ce que j’avais subi cette nuit. Personne ne devrait perdre quelqu’un de cher dans un accident ou une attaque. Je voulais changer les choses, mais comment ? Je ne pensais pas vraiment arriver à quoi que ce soit, mais pour moi, c’était fini, cette vie de criminel était terminée. Je me voyais devenir ce phare, celle qui saura apporter son aide quand personne ne sera là pour vous aider, celle qui viendra vous chercher dans les ténèbres du monde, et quand tous ces soi-disant héros oublient des victimes, je serai là pour tendre la main.


Je voulais changer cette version du monde, ce monde si sombre et pourtant oublié de tous, je pris la décision de devenir une héroïne. Mais quelle école choisir ? Et comment faire avec un tel nom ? L’argent, je vais faire comment ? Le vol, cela était impossible pour moi, même si c’était pour des raisons nobles. Je devais revenir dans le droit chemin et dé aujourd’hui. Je cherchais un petit lieu pour travailler, je devais gagner de l’argent avant de penser dans quelle école aller, j’avais 1 an pour trouver l’argent. Je travaillais dur, parfois, je me demande s'il n’y avait pas de moyen plus facile. Mais je ne voulais sûrement pas utiliser l’argent de mes parents, de l’argent sale de ceux-ci ! Je préfère encore mourir que prendre ou demande leur aidez et puis il va refuser ! Qui dans ce groupe allait accepter que je devenais une héroïne ? Moi la fille de mafieux dans une école de héros ? J’entendais encore les remuer qui avais couru les rues et sa reparution !

Peu à peu, mes parents commencèrent à se poser des questions, car je gagnais de l’argent, mais ne l’utilisais pas. Ils n’avaient peut-être pas le temps de lui demander, car, à vrai dire, personne ne m’avait posé la question. Jusqu’à ce que mon grand frère rentra à la maison. Je lui faisais confiance, je croyais qu’il pourrait pu comprendre, mais, malheureusement, parfois les meilleures choses ont une fin. Notre relation sera à jamais détruite par ses sentiments et ses impressions. Cela avait été une chose débile, une erreur ? Aujourd’hui, je le sais, mais, pas quand on est jeune, on croit tous savoir, alors qu’on ne sait rien.

Cette nuit-là, mon frère est venu me voir pour comprendre pourquoi je me donnais autant de mal. Pourquoi travailler alors que je pouvais demander de l’argent à notre père, de l’argent sale ? Je lui dis mes raisons. Que je voulais changer de voie, il ne me comprenait pas, je lui expliquais que je voulais changer la face du monde, je voulais devenir une héroïne, comme ceux qui sont dans les films ! Qui sauvent les gens pour éviter que quelqu’un vive ce qu’on avait vécu. Il était devenu fou de rage et lui répondit que j’étais folle. Pourquoi vouloir devenir un héros, ils n’avaient pas besoin de héros, mais de vengeance et de sang, il fallait devenir encore plus horrible, encore plus violent pour provoquer la peur. Et que personne ne ferait de mal, plus jamais. Il ne comprenait pas que tout avait pu être évité.

Il a donc tout raconté à nos parents mes raisons et mes choix, cela était devenu une guerre, jusqu’au jour où je fus exilée de la famille à l’âge de 15 ans. Je n’avais plus ma place parmi eux, mais mon choix était fait. Je travaillais alors dans un petit restaurant qui je connaissais afin de gagner de l’argent pour mes études à Yuei et pour payer le loyer de mon studio que je louais au-dessus du restaurant.


Je m’entraîne d’arts martiaux, je pense que cela allait servir afin de devenir une bonne combattante et surtout de rester calme dans n’importe quelle situation. Depuis plus de 1 an, j’étais entraîné à utiliser mon alter, à passer d’une ombre à l’autre. C’était compliqué au début, combien de mur, j’étais prise, des poubelles que je faisais tomber, j’avais pourtant envie de continuer. Durant toute cette année, je n’avais fait qu’utiliser mon alter et j’étais devenue douée avec. Je me rappelais les techniques de combat que j’avais appris.
Je passais les tests d’admission pour Yuei et je les avais réussis avec bravoure. Je savais que cela serais compliqué. Entre mon nom de famille et mon histoire, qui pourrait me faire confiance ? Devrais-je vraiment en vouloir aux gens et aux élèves ? Non, je le sais bien, c’est à moi de prouvé que j’étais différente et tout faire pour changer leurs idées sur moi. Cela sera compliqué, mais j’avais vu pire.

Ce n’était pas en m’insultant de traître et autre insanité qui me feront changer d’avis. Je savais pourquoi je veux devenir une héroïne, cela n’est pas aussi noble que d’autres, mais d’un côté, la vie est comme cela, mon althée est un atout, bien que cela soit un héritage du mal. Je fais avec, si je pouvais échanger les ténèbres pour la lumière comme l’althée de mon frère alors le, je le ferais. Cet alter est le mien, je l’utiliserais pour faire le bien, peu importe d’où il vient.

Depuis que j’étais à Yuei, j’étais fière d’avoir réussi et cela ne se décourage pas. Parfois, mon comportement reflète mon passé et cela me fait passer pour une petite rebelle de service. Mais j’essayais de ne pas retomber là-dedans, j’étais ici comme n’importe quel élève, apprendre à devenir un héros. Il m’arrivait d’être une bonne élève, les professeurs croyaient qu’on m’avait échangé ou métamorphosé. Je reste seule la plupart du temps, car, malheureusement, personne ne me fait confiance, à cause de mon nom de famille. J’aurais pu le changer, mais non, il ne fallait pas oublier d’où l’on vient, le chemin qu’on n’a parcouru jusqu’ici. Tous ses combats pour arrivée où je suis arrivée. Je pense que cela fut une belle erreur, je me croyais dure ? Mais j’étais juste une gamine, sans cervelle. Qui croyait en un rêve hors de prote !


J’ai cru que ma famille m’avait laissé tranquille, mais en vrai durent deux ans, j’ai pu vivre mon rêve. À mes 18 ans, le cauchemar commença, je rentre chez moi, après les cours ! J’ouvre la porte et là se trouvais, mon grand frère avec deux gardes du corps. Ai étais dans la salle de bain, enferme ! La discutions tourne vite en un combat, j’aimerais bien vous dire que je les battu et que j’ai gagné le combat ! Mais c’est faux ! Trois contre un, même avec un Alter comme le mien, je ne pouvais rien. Trop jeune, incompétente, trop naïve… Je suis juste une débile ! Je pense qu’ils auraient été gentils, après tout, j’étais sa sœur, de sa famille ! On avait le même sang dans les veines. Je suis tombé de hautes ! Je finis par être blessée à l’avant-bras gauche par une belle entaille ainsi que sur l’omoplate, des bleus et des fêlures sur les côtes, la lèvre fendue, un œil au beurre noir à droite, l’épaule gauche déboîtée, le nez cassé, des bleus dans le cou ayant la forme d’une main, une double entorse au poignet droit et quelques écorchure sur tout le corps. Au sol, la prote de la salle de bain brisa sous les coups d'Ai. Je ne pourrais pas vous expliquer, car les images son trop complique, mais Ai a combattu comme une lionne ! Elle a tout fait pour me protéger ! Son corps tomba aux sols, je m’avance vers elle. Je la pris dans mes bras. Je lui avais dit ses quelques mots.
 
« Tu t’es bien battu ma belle, repose toi, tout va bien se passer. »

Elle ferma ses yeux et elle avait du mal a respiré, je ne pouvais la quitte. Mes yeux commencent à devenir de plus en plus rouges de colère ! J’avais envie de vengeance, beaucoup trop loin, beaucoup trop de colère, il était fini, eux ou moi !

« Je m’en contre-fiche, tu peux me brise les bras, les jambes, me fracassent le crâne, mais PERSONNE NE TOUCHE A MOI CHIEN !!!!!!! »

Elle avait donné son dernier souffle dans mes bras, les larmes se mis à coulis, comme le Titanic. Je me levais avec effrois, prêt-à, les détruire devant eux se trouve une folle. Je commençais à ne plus me contrôle, sans faire attention que j’empirais ma situation et ma santé. Je finissais par tuer les deux types alors que mon frère quitte les lieux. Bien sûr, je quitte mon école, ma mission ! Je finissais par me réveiller à hôpital. Mes projets avais changés.**

Une sombre nuit toujours sur ce bâtiment avec cette question ! Qui je suis ? Tu veux le savoir l’ami ! Je suis une ombre ! Je suis la nuit ! Je suis BloodShadow ! Je me levais devient cette nuit et la lune pour seul témoin !

« Qui je suis ? Son cœur est celui d’une courageuse, son esprit est celui d’une rêveuse et son âme est celle d’une héroïne, elle se nommait Raidã, elle est née mafieuse et elle sera une héroïne !! Que l’obscurité consume votre âme, car jamais elle n’abandonnera l’idée pour laquelle elle se bat.

Pour un monde où la justice à un vrai sent, un monde où la douleur ne sera pas oubliée, un univers où une âme brisée comme elle sera sauvée. De l’ombre naît la lumière. Alors voilà, elle se nomme BloodShadow. Elle est là, dans l’ombre, à observer afin de toujours être prête si quelqu’un en a besoin d’elle. »

Tu vas m’écouter avec beaucoup d’attentions, tu n’es pas une mauvaise personne ! Tu es une bonne personne à qui il est arrivé des choses mauvaises, tu comprends ça ?! Et puis, le monde n’est pas divisé, entre super vilains et héros, il y a aussi, le sombre en nous et il y a le clair en nous. Ce qui important, c’est quelle part que nous mettons en action ! C’est notre vraie personne !