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Ellyot Akashi.

Anonymous





Invité
Invité
Jeu 1 Juil - 18:12
Ellyot Akashi
"Tout le monde est faillible, parce que tout le monde est humain."
Akashi Ellyot
Alter
Psychic Blaze
Description : Le patient est capable, grâce à son alter, d'allumer, manipuler et éteindre des flammes à sa guise rien qu'en les regardant. L'activation de cet alter est visible à cause de ses yeux qui se mettent à briller lorsqu'il l'utilise.
Subtilités : Les flammes qu'allume le patient prennent une couleur tendant vers le rouge-violet et semble être contrôler par son regard. La seule exception est par rapport à lui où il semble capable de s'entourer de ses flammes sans devoir se regarder et est apte à les garder sans se brûler. Selon les examens passés, la puissance des flammes générées dépend de l'état mental du patient, ces dernières pouvant gagner en puissance quand le patient se laisse gagner par des émotions comme la colère ou la tristesse, au détriment du contrôle sur les flammes qui peut être totalement perdu. En dehors de cela, il s'agit de flammes comme les autres et possédant les mêmes propriétés.
Faiblesses : Psychic Blaze nécessite que le patient ne soit pas aveuglé pour être utilisé. Les utilisations prolongées fatiguent la vue du patient, pouvant aller jusqu'à des cécités temporaires et une utilisation abusive peut provoquer des dégâts irréversibles aux nerfs optiques, allant jusqu'à la perte de la vue. Les flammes sous l'influence de l'alter seront aussi influencées par l'état mental de l'utilisateur, ce qui amène au fait qu'un contrôle important de ses émotions est nécessaire pour éviter des accidents.
Informations sur le personnage
NOM : Akashi
PRÉNOM : Ellyot
TITRE : /
AGE : 25 ans
NATIONALITÉ : Belgo-japonais, a vécu en Belgique jusqu'à ses 23 ans.
GROUPE : Vigilants (travaille comme barman)
RANG : C
Avatar : Mikoto Suoh – K Project
Comment avez-vous connu le forum ? : Vous n'auriez pas vu passé un lapin se nommant Kaza récemment ?
CODE DU RÈGLEMENT : C'est ok. - Aslinn
Bien qu'il fasse bien attention à sa santé, Ellyot est un fumeur conséquent, consommant entre cinq et dix cigarettes par jour.
Même s'il est le propriétaire d'un bar, Ellyot est un énorme consommateur de thé et demandera toujours une tasse de thé avant de demander quoi que ce soit d'autre.
Quand il se sert de son alter, ses yeux se mettent à briller pour signifier qu'il maîtrise ses flammes.
Peu importe la tenue qu'il porte, même quand il ne porte rien, il conserve toujours ce collier qui est un souvenir important de sa mère.
Description physique
Le patient Ellyot Akashi mesure entre 1m92,5 pour environ 80 kilos de muscles. Ses cheveux sont rouges flamboyants, trait qu'il tient du côté de sa mère, tandis que ses yeux sont dorés, trait qu'il tient du côté de son père. De nombreuses cicatrices sont présentes sur le torse et le dos du patient, signes d'actes de violence perpétrés entre ses 4 et 5 ans. Il y a notamment une énorme cicatrice qui part de l'épaule droite du patient vers le côté gauche de son bassin, aussi bien sur le torse que sur le dos, cicatrice qui semble avoir été faite avec quelque chose dégageant une forte température. Il porte aussi en permanence un piercing sur le haut de l'oreille gauche. Au niveau de sa tenue, le patient est souvent vêtu de vêtements noirs, à commencer par son jean et sa veste. Il porte un simple t-shirt blanc sous sa veste et des bottes noires. Il complète sa tenue avec une chaîne en argent, un collier en corde fine sur laquelle pend une étoile à six branches en argent, un bracelet en argent à son poignet gauche et une double bague en argent à l'index de sa main droite, accessoires dont il ne se sépare jamais.
-Rapport du Dr.*****, printemps 2161.
Description psychologique
Le profil psychologique du patient Ellyot Akashi montre que ce dernier est principalement nonchalant, à la limite de l'apathie. Toutefois, il montre un grand sérieux dans son travail, un grand sens de l'analyse et de la réflexion, traits en rapport avec son passé dans la fédération de MMA belge. Toutefois, il semble quitter son côté nonchalant quand il s'agit d'activités sportives en tout genre, principalement le basketball ainsi que le MMA (Mixed Martial Art), pour montrer une facette plus énergique, prise par l'envie de se donner à fond et de gagner. Généralement, il se montre poli et ne rechigne pas à discuter avec quelqu'un, n'hésitant pas à lancer la discussion avec quelqu'un s'il voit que cette personne en a besoin, point positif vis-à-vis du métier de barman qu'il exerce. Il semble aussi utiliser l'ironie dans certaines situations afin d'essayer de maintenir une ambiance calme et sans que des voix ne portent plus que les autres. Le patient montre aussi un grand pragmatisme sur de nombreux sujets et semble avoir conservé sa répulsion vis-à-vis des héros. Selon certains témoignages récupérés sur son lieu de travail, il ne montre aucun signe d'énervement malgré les problèmes auxquels il est confronté. Ces deux dernières informations sont des conséquences directes de "L'incendie de Liège" qui a eu lieu de 2157, évènement auquel il est directement lié. Actuellement, le patient est encore en reconstruction mentale et montre encore certains signes d'instabilité quand le sujet de ses parents est évoqué, signe que cette blessure n'est pas encore totalement refermée.
-Rapport du Dr.**********, psychologue, printemps 2161.
Histoire
"Bonjour M. Akashi."
Pas de réponse.
"Je suis le docteur ****** et je serais celle qui m'occuperait de votre entretien cette fois-ci. Aujourd'hui, nous allons faire un récapitulatif complet de votre passé en démarrant de votre enfance jusqu'à aujourd'hui, vous en sentez-vous capable ?"
Le jeune homme se contenta de sortir une cigarette de son paquet avant de l'allumer à l'aide de son briquet et de regarder la dame en face de lui.
"Vous n'osez pas utiliser votre alter pour allumer vos cigarettes ?"
"Les lois l'interdisent.", répondit-il calmement, haussant légèrement le sourcil gauche à la réflexion de son interlocutrice.
"Donc, malgré vos sentiments négatifs vis-à-vis des héros et du système, vous respectez les lois établies par rapport aux alters ?", questionna la doctoresse qui notait tout ce qui était en train de se dire dans un cahier.
"Je ne déteste pas les héros si c'est ce que vous pensez. Je garde simplement en tête qu'ils restent des humains avec des failles et qu'ils peuvent devenir des vilains.", répondit l'homme aux cheveux rouges, expulsant la fumée qui se dirigeait vers la dame en face de lui qui resta de marbre face à cet acte.
"Et vous avez un exemple de votre dis-"
"Celui qui fait que je vous parle aujourd'hui."
Un silence prit le contrôle de la pièce fermée dans laquelle se trouvaient les deux personnes, ne laissant que le bruit du néon accroché au plafond produire le léger son habituel. La dame continuait de remplir son cahier, mais n'acheva pas la phrase qu'elle était en train d'écrire, préférant poser son stylo et écouter le jeune homme en face de lui. Ce dernier tirait une nouvelle fois sur sa cigarette avant de l'écraser dans le cendrier posé sur la table.
"Contrairement à d'autres pays, la Belgique n'a pas bien vécu l'arrivée et la légalisation des alters. Pendant de nombreuses années, le gouvernement s'est posé la question de comment allait-il pouvoir gérer cette nouvelle donnée. Du coup, les lois en vigueur dans le pays ont changé une bonne dizaine de fois sur le dernier siècle, mais une chose n'a pas changé, c'est la hausse du taux de criminalité. Les rapports de 2160 rapportaient un taux de 42,3%, quasiment 5 millions de crimes commis sur l'année. Des chiffres affreusement élevés, notamment à notre époque. C'est dans ce contexte que je suis né en 2136…"
Il coupa sa phrase d'un coup, comme si la suite était difficile à prononcer. La dame en face de lui savait quels étaient les mots qui devaient suivre ceux précédemment prononcés. Il allait évoquer ses deux parents, deux anciens héros qui avaient travaillé en tant que tels jusqu'en 2158, année où ils décédèrent tous les deux dans ce qui avait été nommé "L'incendie de Liège". Comprenant que le jeune homme resterait bloqué sur ces quelques mots, son interlocutrice lui fit un simple signe de la main pour qu'il continue sans se soucier de cette partie. Le jeune prit une simple respiration avant de reprendre.
"Comme vous vous en doutez, à l'époque, il y avait les analyses classiques pour savoir si j'allais être détenteur d'un alter ou non et cela fut le cas."
"Le Psychic Blaze qui se trouve dans votre dossier.", répondit-elle, par réflexe.
"C'est le nom qui lui a été trouvé ? Je l'ignorais."
À ces mots, la doctoresse jeta un regard interrogateur à son interlocuteur qui se contenta de la fixer en baillant, faisant comprendre au membre du corps médical qu'il s'agissait là d'ironie.
"Bref, jusqu'à mes 4 ans, ma vie était tranquille, mais en 2140, mon… mon père fut gravement blessé et se retrouva en incapacité de travailler pendant plusieurs semaines."
"C'est à ce moment-là qu'il…", commença la dame au cahier.
"Qu'il ait commencé à me battre, oui.", répondit froidement le jeune homme tout en sortant une nouvelle cigarette qu'il se contenta de poser sur la table. "Pourquoi il faisait ça ? Aucune idée. Probablement son égo brisé à la suite de sa défaite face à un vilain. Ce traitement dura pendant environ un an jusqu'à ce que je finisse par utiliser mon alter pour me défendre. Je n'avais jamais osé auparavant, ma mère m'ayant fait promettre de ne pas répliquer, mais cette fois-là, j'avais réagi par instinct, allumant une flamme sur son œil droit pour qu'il me lâche.", expliqua le jeune homme en accompagnant son histoire d'une démonstration en allumant le bout de la cigarette posé sur la table en la regardant.
"Il criait de douleur et par peur, j'éteignais ce que je venais juste d'allumer. Ça n'avait duré que quelques secondes, une dizaine tout au plus, mais cela fut suffisant pour que ma mère ait le temps de réagir et tente de l'arrêter. Ils se confrontèrent l'un à l'autre pendant quelques minutes avant que la police ne finisse par rappliquer, le forçant à fuir."
"C'est à ce moment-là que vous avez commencé à être suivi par un pédopsychologue et qu'après un peu de plus de six mois, vous avez pu reprendre une vie normale ?"
"Plus ou moins. À la suite de cet événement, je n'ai plus osé utiliser mon alter avant un moment, mais j'ai pu reprendre des activités classiques comme le basket ou les sports de combat. J'avais même réussi à rejoindre la fédération de MMA de la Belgique où je gagnais ma vie sans difficulté.  Du côté de ma mère, elle put reprendre ses activités héroïques et même une vie sentimentale. Quand j'avais la quinzaine, elle se remaria avec une autre héroïne belge et tout se passa bien jusqu'au fameux "Incendie de Liège"."
"Vous vouliez dire un héros, non ?"
"Non, une héroïne."
"Très bien, c'était pour être sûre. Et donc, c'est durant cet événement que vous… Enfin, vous voyez de quoi je veux parler ?", questionna la doctoresse, serrant ses mains l'une contre l'autre pour ne pas montrer les légers tremblements qui semblaient la gagner.
"Oui, c'est à ce moment-là que j'ai eu cette cicatrice.", répondit le jeune homme en étirant légèrement son t-shirt, montrant la cicatrice se trouvant du côté de son épaule droite et qui semble s'étendre sur une bonne partie de son torse. "La femme que ma mère avait épousée bossait pour mon père qui semblait avoir pris la voie du crime peu de temps après avoir fui, mais il n'avait jamais oublié ce qui était arrivé. Un soir, alors que je revenais d'une soirée de la fédération, je me suis fait attaquer par plusieurs membres de son groupe qui m'ont rapidement bandé les yeux pour m'empêcher d'utiliser mon alter avant de m'emmener quelque part. Lui et sa bande avaient investi un des vieux bâtiments abandonnés de Liège, un peu à l'écart de la ville et difficilement accessible, une planque parfaite en somme.", dit-il avant de s'interrompre. "Je peux vous demander de m'amener un verre d'eau ?"
La dame, sans répondre, se leva et quitta la pièce pour aller chercher ce qui lui avait demandé. Elle revint une minute après, posant le verre devant le jeune homme avant de se rasseoir. Une fois le verre devant lui, le patient sortit un petit étui de sa poche gauche afin de placer un petit sachet dans l'eau, cette dernière commençant à se colorer d'une légère teinte ambrée. Il leva le verre avant de mélanger le liquide à l'aide de la petite ficelle attachée au sachet, transformant l'eau en un thé dont il but une gorgée.
"Il avait énormément changé durant ses 17 années qui avaient séparées notre dernière rencontre. Avait-il pensé continuellement à cette vengeance pendant tout ce temps ou le fait de me voir adulte avait-il ranimé son animosité à mon égard ? Aucune idée et pour être honnête, cela ne m'intéresse pas plus que ça aujourd'hui. Bien évidemment, aucune politesse à mon arrivée, juste sa voix cassée et pleine de rage qui se contenta de m'informer que j'allais subir quelque chose d'équivalent à ce que je lui avais fait plus jeune. Il utilisa son alter pour chauffer ses doigts et le posa sur mon corps avant de commencer à tracer l'énorme cicatrice que je porte.", raconta le jeune homme aux cheveux rouges avant de poser sa main gauche sur la cicatrice, comme ci raconter cette histoire ravivait la douleur de ce jour.
"Cela dura pendant longtemps et même mes cris de douleur ne l'arrêtèrent pas. Une fois son œuvre finit, on finit enfin par me lâcher, chutant sur le sol en étant au bord de l'évanouissement. Je pensais que tout allait être fini, mais c'est alors que j'entendis la voix de ma mère, le suppliant de me laisser vivre et de la tuer à ma place. Malgré toute la douleur, ma colère prenait le dessus et j'attendais le moment où le bandeau sur mes yeux finirait par libérer au moins un de mes deux yeux. L'attente était longue, le temps semblant s'être dilaté, mais on finit par attraper ma tête comme pour me montrer quelque chose. Le mouvement fut assez violent pour que le bandeau recouvrant mes yeux descende légèrement, me permettant de voir le tableau devant moi. Ma mère était en sang, tenue au cou par la main de ce monstre, mais elle souriait et se contenta de me jeter un dernier regard tout en prononçant son dernier mot : Brûle."
"Vous avez donc libérez votre alter sans aucune retenue, provoquant ainsi "L'incendie de Liège" et vous octroyant votre première cécité partielle, c'est cela ?", demanda la dame qui avait recommencé à écrire dans son cahier.
"Je ne pensais pas survivre, je me moquais donc des conséquences et laissait donc exploser toute ma colère. Le bâtiment fut réduit en cendres et aucun cadavre ne fut retrouvé. Il n'y avait que moi, évanoui au milieu de ce brasier. Une fois trouvé, on m'a amené le plus rapidement possible à un hôpital où je rejoignais l'aile des soins intensifs pour traiter mes blessures ainsi que les contrecoups de l'utilisation abusive de mon alter. Je suis resté plusieurs semaines alitées, le temps de recouvrir la vue et d'avoir plusieurs entretiens avec des psychologues et des membres des forces de l'ordre. Voilà, vous savez tout.", termina le jeune homme en finissant son thé.
"Très bien. Vos dires continuent de concorder avec tout ce qui a été rapporté jusqu'ici. Depuis cet incident, vous avez quitté la Belgique et avez rejoint le Japon où vous êtes le propriétaire d'un bar qui vous permet de vivre. Les derniers rendez-vous avec vos psychologues indiquent que vous n'avez pas fait de rechute sur les trois dernières années, ni même subit une cécité partielle. Il a donc été convenu que cet entretien serait votre dernier et que vous n'auriez plus de suivi psychologique.", expliqua rapidement la doctoresse en refermant son cahier et en se levant de sa chaise afin de quitter la pièce, suivie par le jeune homme qui resta silencieux, se contentant d'un simple mouvement de la tête pour dire au revoir à la psychologue avant de quitter l'hôpital.
"Plus besoin de suivi, hein ? Ce n'est pas plus mal, ça devrait rendre mon "travail" plus facile.", marmonnait-il tout en jetant un œil à l'heure. "Plus qu'une heure avant l'ouverture… Pas le temps de s'occuper du type dont on m'a parlé hier. Je m'en occuperais ce soir du coup. J'espère que le nouveau a pas fait d'erreur dans la commande cette fois.", se disait le jeune homme en se dirigeant vers son lieu de travail, une cigarette allumée à la bouche.
Cela devait faire 18 mois qu'il était dans l'illégalité à utiliser son alter pour faire ce qui lui semblait juste, même si "juste" signifiait simplement s'occuper des plaintes des personnes qui passaient à son bar. La journée, il servait des boissons à des personnes en écoutant leurs maux, récupérant le plus d'informations possibles et à la fermeture, il passait à l'action, s'occupant de ceux dont il avait récupéré assez d'informations. Pourquoi faire cela ? Par manque de confiance envers les héros ? En partie, mais ce n'est pas la seule raison.
Avant son arrivée au Japon, il voyait de nombreux petits crimes être commis et les héros n'arrivaient pas toujours à temps pour appréhender le responsable qui avait le temps de récidiver au moins trois ou quatre fois avant de se faire capturer. Quand il arriva au pays du soleil levant, il pu constater que ces actes continuaient d'être perpétrer, mais que cette fois, il allait agir. Cependant, il ne portait pas le titre de héros et s'il se faisait prendre à utiliser son alter comme il le voulait, c'était direction la case prison, voire la cellule psychiatrique avec ses antécédents. C'est ainsi que lui vint l'idée du bar et des journées types qu'il allait passer.
Le matin : réveil à 8h00, sport (footing/basketball/kickboxing) et entraînement avec son alter afin d'en garder le contrôle jusque 11h00. De 11h00 à 12h00, courses et préparations pour l'ouverture du bar.
L'après-midi : travail au bar de 12h00 jusqu'à 18h00.
Le soir : travail de vigilant de 18h00 à 21h00 avant de retourner au bar pour travailler jusqu'à minuit.
Ce plan était surtout ce qu'il essayait de tenir, mais ce n'était pas toujours évident, notamment au début comme il travaillait tout seul à son bar. Quand il fut bien installé et que les rentrées commencèrent à suivre, il put se permettre d'engager quelques employés afin d'avoir une équipe pour faire tourner le business un peu plus longtemps et lui permettant de dégager du temps pour ses interventions cachées. Jusqu'ici, il s'était principalement retrouvé face à des petites frappes qui faisaient du vol à l'arrachée ou du racket, rien de bien transcendant, sauf une fois.
Un soir, un vilain bas de gamme était venu faire un peu de grabuge dans le quartier où se trouvait son bar, rien de bien méchant, mais assez pour qu'un héros fasse son apparition. Bien entendu, il s'occupa du fauteur de troubles, mais alors que le criminel commençait à prendre la fuite, le héros ne le poursuivit pas, prétextant qu'il n'oserait pas revenir avec la raclée qu'il lui avait mise. Une excuse bidon que le jeune barman prenait comme une insulte. Il quitta le bar, prétextant qu'il était fatigué à ses employés, avant de passer à côté du héros auquel il murmura qu'il était une blague avant de continuer son chemin, sans même se retourner vers la personne qu'il venait d'insulter.
Il mit une petite demi-heure à retrouver le vilain qui s'était échappé, ce dernier s'étant réfugié dans des ruelles abandonnées un peu à l'écart de toute l'agitation. A l'a vue d'un simple civil se dirigeant vers lui, le fuyard se jeta sur ce dernier avant d'être accueilli par un coup de poing enflammé qui l'envoya valser trois mètres plus loin. S'en suivi une correction de quelques minutes avant que des sirènes de police ne commencent à retentir, signal pour le jeune homme aux cheveux rouges qu'il était temps de partir. Les policiers retrouvèrent le vilain inconscient entre deux poubelles, sans la moindre trace de quelqu'un d'autre. Cette soirée était restée dans l'esprit d'Ellyot comme une preuve irréfutable que peu importe leur nombre et leur puissance, les héros ne seraient jamais suffisants.
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Endeavor
Messages RP : 4

Feuille de personnage
Titre: Héros Incandescent
Expérience: ???
Alter: Hell Flame
Rang S+





Endeavor
Rang S+
Ven 2 Juil - 17:43


« Fiche Validée ! »

Est devenu un Vigilant, au rang C


Enfin ta validation ! Mais avant de commencer à nous conter tes récits et aventures fascinantes avec les autres membres du forum, il va te falloir :

→ Recenser ton avatar. (Ici.)

→ Faire une fiche technique. (Ici.)

→ Et, si tu le souhaites, faire une fiche de Prouesses. (Ici.)

Encore bienvenue et bonne aventure à toi parmi nous !


«Plus Ultra !»


Codage par Saphira pour EPICODE
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