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Karl Vladovich, vendeur d'arme à votre service [TERMINER]

Karl Vladovich
Age : 32
Messages RP : 0

Feuille de personnage
Titre: /
Expérience: 10/100
Alter: /
Rang E+





Karl Vladovich
Rang E+
Jeu 17 Mar - 23:45
[size=32]オールマイト All Might[/size]
"It’s fine now. Why? Because I am here!"
VLADOVITCH Karl
Alter
Ma main dans ta gueule, mon pied au cul et une balle entre les deux yeux… J’en ai pas si tu n’avais pas compris.
Informations sur le personnage
NOM : Vladovitch.
PRÉNOM : Karl.
TITRE : J’ai une tête d’être un héros ? Pas la peine de répondre, c’était une question rhétorique
AGE : 29 ans.
NATIONALITÉ : Russe né à Saint-Pétersbourg.
GROUPE : Vilain.
RANG : Rang E.
Avatar : Búho Negro de pinterest.fr lien https://www.pinterest.fr/pin/650910952405495940/
Comment avez-vous connu le forum ? : Google ayant écrit forum rpg héros
CODE DU RÈGLEMENT : Validé. - Aslinn
Contenu 1
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Description physique
On me demande de me décrire, de dire à quoi je ressemble, c'est ça ? Ouvre les yeux et regarde moi et je n'aurai pas besoin de le faire. A priori, ça ne suffit pas, ben voyons.

Bon, par où commencer ? Au premier coup d'œil, vous pouvez voir que je suis un homme. Si, si, je vous l'assure. Bien que j'ai trente ans, mon apparence me fait un peu vieillir. Est-ce mes cheveux semi-long noirs en épis, mon regard sévère, mon bandeau cachant en partie ma cicatrice coupant en diagonale mon œil et autres petites traces de blessure par-ci par-là sur mon visage, ma barbe taillée qui me rajouterait quelques années ? Je ne saurais dire. J'avoue que mon apparence reste secondaire sur le reste. Je ne dis pas que je ne prends pas un minimum soin de mon apparence. Je dis seulement que la vie d'aventurier à tendance à marquer le corps et l'âme. Je vous l'assure, entre les négociations de vente qui part en conflit ouvert parce qu'on n'est pas d'accord sur le prix. Le convoi de marchandises qui se fait soit attaquer pour être volé ou explosé pour éviter qu'il arrive chez le client. Les coups foireux lors de la finalisation de la transaction où des tocards d'un gang rival ou un groupe de commando, ou les deux en même temps, oui monsieur ! Je me suis déjà pris les deux dans la gueule en même temps et je peux vous dire que c'est une expérience des plus désagréables. La perte de la marchandise, partielle ou complète, ne pas recevoir mon paiement si les autres attaquent trop tôt et je ne vous parle pas des fusillades, agressions à l'arme blanche et les explosions avec leur débris pour finaliser le bordel. Disons que mon corps a été plus ou moins marqué par mes mésaventures. En majorité, des blessures superficielles qui ont quand même laissé des traces par-ci par-là.

Enfin, tout ça pour dire que je fais plus vieux que mon âge et que j'ai des cicatrices. Je mesure un 1 mètre 79. Non pas 1 mètre 80 mais bien 1 mètre 79, oui, je sais, il manque un centimètre pour faire un nombre rond, mais que veux-tu ? C'est ça la génétique, tu ne l'as choisi pas, tu fais avec ce que tu as. Je pèse dans les 88 kilogrammes du moins la dernière fois que je me suis pesé. J'ai les cheveux noirs, semi-long formant des épis prononcés, c'est naturel, je ne me coiffe pas pour les avoir comme ça, pas le temps pour ça. Par contre, la barbe, je l'entretiens un minium, taillé pour suivre la mâchoire, la moustache qui va avec et un léger bouc. Mes sourcilles sont, comment dire, ce n'est pas fin, ce n'est pas non plus épais et large, c'est entre les deux, par contre leur forme ne fait qu'appuyer mon regard sévère, sérieux pour ne pas dire vénère et pénétrant. Nous allons passer à mes yeux qui sont légèrement typés asiatiques, légèrement en amande si vous préférez, mais loin d'être formé comme nos amis chinois ou japonais.

J'ai une musculature dans la moyenne d'un homme qui s'entretient un minimum et je peux vous dire que mon travail m'entretient suffisamment, pas besoin de salle de sport en dehors. Je n'ai pas une silhouette style armoire à glace. J'ai les épaules un peu fléchies vers le bas, je ne suis pas spécialement impressionnant, bien que si je remonte les manches de ma chemise, tu peux te dire que si je t'en colle une, ça va piquer un peu.

Continuons cette description sur ma personne par mon style vestimentaire. Le classique homme à chemise, manche courte ou longue. Pantalon ou jeans adapté à la situation, chaussures cirées ou ranger, selon les circonstances. Manteau ou veste avec col qui se plie et épaulette de préférence. Mes couleurs d'habit tournent autour du marron, du noir, du bleu foncé, un peu de blanc pour la chemise par exemple. Je préfère les couleurs sobres et classiques qui ne sont pas tape-à-l'œil et rien de moulant, l'habit collé à la peau non merci, j'apprécie la sensation de douceur et de liberté, je favorise donc les habits à base de coton. Ceci est pareil pour mes sous-vêtements, boxer oui, culotte non, même mon pyjama, je mets des pyjamas à revers pour rester dans mon style de travail ou de sortie. Je préfère vous avertir que je n'ai pas peur de me salir au besoin, si tu te dis que je ne vais rien essayer parce que je suis « bien habillé » tu risques d'être surpris.

         
Description psychologique
La psychologie est une chose des plus surprenantes et uniques. Malgré de nombreuses études à ce sujet, il n’est pas rare d’être surpris, que ce soit de façon positive ou négative. Ma psychologie comme pour tout le monde a été forgée avec le temps, l’expérience de la vie et quelque disposition génétique.

Il est difficile de se faire une description subjective, mais votre serviteur va faire de son mieux.

Pour commencer, je suis quelqu’un de plutôt calme avec une bonne maîtrise de soi dans la plupart du temps. Malgré cela, des signes de nervosité seront visibles à l’extérieur. J’ai développé un tic qui est de me frotter l’arrière du crâne plus ou moins énergiquement selon l’état de mes nerfs. Il y a aussi de profonds soupirs, le pincement du haut de mon nez en fermant les yeux. Il faut savoir que même dans les moments les plus difficiles où la peur au ventre devient pesante, je ne me laisse pas paralysé par ce dernier. Il est de même avec la colère, je ne laisse pas ce sentiment me contrôler et brouiller mes pensées. Vous pouvez vous dire que je suis quelqu’un qui ne serait pas ébranlé par quoi que ce soit. Il ne faut pas exagérer, la peur provoquera des tremblements au niveau des mains, de même pour la colère, mais disons que je suis de nature à serrer les dents, les poings et à utiliser les jurons et les cent pas pour canaliser tout ce ressenti, j’accumule plus que j’expulse.

Je suis de nature à essayer de relativiser les situations. Le seul moment où tout est fichu, c’est quand tu es mort. Il faut savoir tirer profit de toutes les situations et savoir à quel moment agir, ne pas foncer tête baissée. Je peux dire sans honte que je suis un opportuniste et que je ne suis pas trop regardant sur la personne qui est en face de moi. Toute personne peut avoir son utilité, que tu sois un vilain, un héros ou qui ce soit d'autre.

Mon travail ainsi que ma nature de base font de moi une personne de grande méfiance avec une légère paranoïa. Je préfère faire les choses par moi-même que de passer par un intermédiaire ou déléguer mon travail. On dit bien qu’« on n’est jamais mieux servi que par soi-même », et même si on doit se salir les mains. Vous savez, les affaires sont les affaires, il n’y a rien de personnel dans tout cela, je n’y prends aucun plaisir. Je ne suis pas pour autant un monstre, je favorise les solutions diplomatiques et on ne touche pas les enfants et les personnes non concernées. Je ne suis pas non plus en enfant de chœur, si tu ne respectes pas nos accords et nos conditions, que tu représentes une menace majeure pour nous. Je ferais le nécessaire pour que tu ne sois plus dans nos pattes. La fuite n’est pas forcément une solution face à moi, je n’hésite pas à prendre des déviations pour t’atteindre. Nous avons tous des points faibles, des rêves, des désirs. J’exploiterais tout ce que je peux pour t’atteindre au besoin sauf les enfants encore une fois, je menacerai ta femme, mais pas ton enfant par exemple.

Je ne suis pas un grand sentimental… Oui et non. La plupart du temps, je n’investis pas émotionnellement dans ce que je fais. Par contre si tu es de nature à utiliser la violence, le sadisme à outrance et que tu sois le roi des dommages collatéraux, je prendrais certainement du plaisir à te faire disparaître de la surface de la terre, du moins si je ou mes collaborateurs sont visés. Pour finir, je peux me montrer en désaccord et désagréable face à l’autorité si ce dernier me prend trop pour un abruti.

Histoire


Vous voulez connaître mon histoire ? Je n’ai pas grand-chose à vous dire. Vous n’avez rien d’autre à faire, je suppose. Je m’en vais donc vous partager un résumé de ma vie.

Pour commencer, je fais partie de cette classe pauvre dans cette charmante et historique ville de Saint-Pétersbourg en Russie pour vous situer. Il me sera difficile de vous raconter quoi que ce soit sur ma famille du fait que je fus abandonné à ma naissance à l’hôpital. De ce fait, c’est l’état qui m’a pris en charge et je fus envoyé dans un orphelinat lorsqu’il m’était possible de quitter l’hôpital en sécurité. Au début, la vie semblait bien, j’avais un toit au-dessus de la tête, des habits propres, une éducation, trois repas par jour. Certes, ce n’était pas le grand luxe et la qualité de tout cela était négligeable, mais il est préférable parfois d’avoir un petit quelque chose que rien du tout.

Au fur et à mesure que les années passèrent, on essaya de m’incruster dans le crâne comme quoi j’ai de la chance, bien qu’abandonné de tous, mon pays a pris soin de moi. Je ne suis pas pour autant venu un grand patriote.

Ma jeunesse se passa dans de bonnes conditions, même s’il m’est arrivé d’avoir des discussions musclées avec certains de mes camarades de chambre. Vous savez, entre orphelin, nous nous aimions comme nous nous haïssions, nous étions amis comme ennemis, mais nous n’étions pas une famille, cette notion n’arrive pas à atteindre nos esprits et notre cœur, mais nous n’étions pas plus malheureux que ça. Je faisais partie de ceux qui n’ont pas développé d’alter, ce qui n’était pas le cas des autres, mais ce n’est pas pour autant que je me laissais marcher dessus. Il vous suffisait de connaître la nature de leur alter pour voir comment s’en sortir et taper là où ça fait mal. Il faut dire qu’ils découvraient encore leur nouvelle capacité et ne s’étaient pas vraiment entraînés pour la maîtriser. Nous pouvions les comparer à un enfant à qui on donne une arme chargée sans la sécurité, c’est aussi dangereux pour lui que pour les autres. Je n'étais pas partisan de régler tout à coup de claque, mais à un moment donné, il faut savoir se faire respecter et certains ne comprenaient qu’avec des méthodes physiques.

On ne peut pas vivre éternellement sous les frais de l’état, il faut les remercier en se rendant utile. Je suis devenu fonctionnaire en m’engageant dans l’armée. Je commençais mon service en tant que nouveau conscrit à l’anniversaire de mes 16 ans. Je choisis l’armée de terre et acceptai d’être envoyé dans les terres les plus isolées de notre pays, la solde était plus intéressante et autant aller à fond et montrer ce qu’on est capable. Je fus envoyé dans un avant-poste en plein milieu de la Sibérie. J'étais entré dans la compagnie logistique de la région. À partir de maintenant, j’allais « en chier » comme disaient les soldats de première classe. Les entraînements matinaux commencèrent à 05 h 00 du matin. Je ne me souvenais pas si je m’étais déjà réveillé si tôt et c’était parti pour un petit footing, en plein air, dans la nature… A – 30° avec de la neige jusqu’aux genoux et ce crétin, d’enfoiré, de fils à sa maman qui nous hurlait de bien monter les genoux. Je crois que pour lui, j’aurais accepté de payer pour pouvoir le frapper, avec respect bien entendu. Petit-déjeuner à 06 h 00 et c‘était parti pour des exercices de renforcement physique et mental, d’endurance, de maniement et d’entretien des armes pour finir par des exercices de défense à mains nues et arme de défense ou arme blanche comme les matraques télescopiques, couteaux, poignards et sabres

Nos instructeurs disaient qu’il fallait renforcer le corps et forger l’esprit. Les meilleurs résultats faisaient apparition dans les larmes, le sang et la sueur. Ils sont complétements cinglés, il faudrait qu’ils consultent. Le plus beau, c’est que vu que je n’avais pas développé d’alter, lorsque mes camarades s’entraînaient à maîtriser leur capacité pour éviter d’être des menaces sur patte, moi, j’avais eu droit à des séances complémentaires pour le combat au corps-à-corps et le maniement des armes, avec le sergent instructeur. Je crois que je le haïssais celui-là. Ce sont des gars qui devaient me porter jusqu’à ma chambre après ces entraînements. Je n’avais jamais atteint un tel niveau de fatigue et de douleur. Il n'allait pas avec le dos de cuillère l’autre enfoiré. Le pire, c’est que j’en redemandais. Je pense que ma fierté, mon orgueil et mon envie de vengeance me poussaient à retourner sur le terrain et à essayer de le défoncer. Ce furent des échecs consécutifs, mais j’ai eu droit à un compliment, on a reconnu ma ténacité et ma volonté de fer. Mon pied au cul

Les années passèrent, le traintrain quotidien avait pris sa place avec ses hauts ses bas. J’accomplissais mes classes et montais petit à petit les grades. Je devais faire 10 fois plus d’efforts que mes congénères pour qu’on me prenne au sérieux et qu’on me juge apte à prendre des hommes sous mes ordres. La fermeté et le respect étaient les maîtres mots pour se faire entendre et obéir. Les missions s’enchaînaient, les convoyeurs de l’extrême qu’on nous appelait. Qu’importe, l’heure, la météo, l’état de notre matériel ou de nous-même, nous accomplissions nos missions dans les larmes, le sang et la sueur… Ça me disait quelque chose cette phrase. On nous a annoncés que mon escouade allait devoir faire ses preuves dans une mission dite de haut niveau de confidence à cause de la nature de la marchandise. Nous avons même été détachés de la compagnie logistique pour être rattachés à une nouvelle équipe sous les ordres du colonel Ivan Dragounov. Un inconnu, jamais entendu parler de celui-là. On nous a expliqués qu’on allait transporter de la marchandise expérimentale pour test sur le terrain. Nous devions seulement transporter le colis jusqu’à un lieu de rendez-vous, donner la marchandise, récupérer une ou plusieurs mallettes et l’emporté à un autre endroit. Nous avions dû signer un document nous expliquant qu’on n'avait aucun droit de divulguer ce que nous allons faire, voir et entendre, que nous étions rattachés au département Recherche et Développement du Colonel Ivan Dragounov et que nous avions des comptes à rendre qu’à lui. Pour finir, car je vais vous épargner le baratin classique de ce genre de document, on nous a fait bien comprendre qu’en fait, le non-respect d’une des conditions se traduisait par un départ précipité pour la mort. Mes camarades et moi-même nous étions assez perplexes de cette situation. D’un côté, nous étions agréablement surpris de constater que notre professionnalisme a été reconnu et la nouvelle solde était bien plus conséquente, mais de l’autre, on se demandait dans quel merdier nous allions nous retrouver. Ce n’est pas comme si on avait eu le choix, notre avis n’a pas été demandé. On l’accepta et commença notre nouvelle affectation.

Cette décision était une catastrophe. Nous n’avons jamais subi autant d’attaques dans notre propre territoire. Nous étions venus des pions dans un jeu entre grand responsable d’état et industrielle où chacun veut se montrer meilleur que les autres en matière de nouvelle technologique pour combattant. Il y a trois grands groupes, un groupe privé russe, un groupe militaro-industriel d’état dont je fais partie et un dernier groupe multinational chinois russe. Chacun inventait, concevait et testait leur matériel qui est en fait de l’équipement et arme pour héros nationaux. C’est un plan qui veut assurer la supériorité des héros du pays face à tous les vilains et héros non officiel avec des tenues, accessoires, armures, combinaisons et armes technologiquement supérieures. Imaginez un héros balèze avec son alter spécialisé dans le corps-à-corps qui, grâce à une armure et une arme de soutien à distance, devient une forteresse sur pied. Le rendant plus résistant aux attaques à distance de ses adversaires et lui permettant de contre-attaquer le temps de les atteindre. Nous pouvons autant réduire ses points faibles qu’augmentés ses capacités de base avec la technologique. Le héros adversaire qui vient juste avec son alter et son juste corps à paillette qu’on voit à des kilomètres à la ronde va se faire atomiser, du moins en théorie

En-tout-cas, il y avait une forte concurrence entre les trois sociétés et chacun n’hésitait pas s’attaquer à l’autre que ça soit de façon directe ou indirecte. Les attaques se passaient pendant les transferts sous forme d’embuscade et sur les lieux de test. Par moments, les expérimentations se faisaient avec l’aide des criminels locaux. On leur donnait de l’équipement expérimental et on regardait de loin l’efficacité de notre matériel. Les différents syndicats du crime devaient être régulés. Il est impossible pour le moment de s’en débarrasser définitivement, alors autant, faire avec et les utiliser à notre avantage en les aidant à éliminer les plus gênants. Bien sûrs, nous leur prêtions le matériel, ils devaient nous le rendre lorsqu’on le demandait. Il était difficile de pouvoir fuir avec, car chaque équipement est équipé avec un traceur GPS incorporé dedans et un système de destruction au pire des cas. Vous allez me dire, pourquoi utiliser des criminels pour les tests ? D’un, c’étaient des prototypes, ce n’était pas sans risque et de deux, ça permettait de faire des essais en situation réelle. On n’allait pas se tirer dessus avec ces armes entre nous. Bien que cette affaire fût tolérée par le gouvernement, c’était sous surveillance et il ne fallait pas trop de débordement, il faut croire que le gain était plus important que les pertes. C’est pour ça que tout cela se passait dans les régions les plus reculées de la Russie. Je peux vous dire que traiter avec des criminels, sous le secret sans que certaines autorités locales étaient au courant, nous mettez dans des situations délicates. Sans oublier les règlements de comptes entre les sociétés qui utilisaient leur collaborateur criminel pour mettre des bâtons dans les roues des autres. Nous passions de mission logistique à missions de sabotage et perturbation. Heureusement que ça payait bien et qu’on avait droit à une sacrée prime de réussite. La pire mission que j’ai eue, c’était lors d’une livraison, au lieu de rendez-vous , où nous allions réaliser des tests. On s’est retrouvé à se battre contre la mafia intéressée par nos armes et une force d’intervention de police qui n’avait rien à faire ici et nous non plus techniquement, vu que nos missions étaient secrètes. Un cauchemar, tout le monde tirait sur tout le monde, tout le monde hurlait sur tout le monde. Ce jour-là, on m’a surnommé « L’exécuteur ». Des personnes ne devaient pas être ici, ils avaient trop vu et nous avions eu l’ordre de nettoyer la zone, de laisser aucun témoin, que ce soient les criminels ou les forces de police. Personne n’était motivé à faire cela, ce n’était pas pour les criminels qu’on hésitait, mais bien pour les forces de police qui n’avait rien fait de mal à part d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Nous avions deux fois, soit faire disparaître les témoins et les preuves de ce qui s'était passé ici ou ne pas le faire et c’est nous tous qui allions disparaître. J’allais faire le nécessaire pour éviter que les autres n'aient besoin de le faire. J’exécutais les blessés, les prisonniers, et abattis les fuyards avec l’aide d’un fusil à lunette semi-automatique. Oui, avec l’aide de notre arme expérimentale et mon talent pour hurler des ordres et abattre les cibles à distance, nous avions pris l’avantage et pris contrôle de la situation. Ce jour-là, je subis plusieurs blessures physiques dont mon œil et une blessure émotionnelle et mentale. Depuis ce jour, je n’étais plus le même homme.

Je fus promu lieutenant pour devoir rendu et avoir mis l’intérêt de la nation pas dessus toute autre chose. On me soigna et on m’offrit un bandeau pour mon œil. Il y a peu de chances que je puisse le récupérer. Mon action, qui a pu impressionner certains supérieurs, a pu être choquante pour d’autres dont les membres de mon escouade. On m’appelait plus Karl ou camarade, mais l’exécuteur… Je n’aime pas ce surnom. Les missions continuèrent, avec un taux de réussite positif. Ce n’était plus comme avant avec mes hommes, il n’y avait pas d’enthousiasme, plus que la peur, le mépris, la colère. Pourtant, ils sont encore en vie grâce à moi, les ingrats. On savait que ça ne pouvait plus continuer comme ça.

Le colonel Ivan Dragounov, mon supérieur direct, me convoqua pour me proposer un nouveau travail. Le colonel savait ce qui s’était passé et ce qui se passait maintenant. Il me proposa une nouvelle mission. Il m’expliqua que les tests réalisés ici étaient plutôt bons et que nous avions fait de grands progrès dans les recherches. Il me rappela l’importance de ce qu’on faisait et que c’était pour protéger notre mère patrie d’un éventuel conflit armée avec d’autres pays et que notre recherche fera la différence contre les autres. Il fallait maintenant tester notre matériel contre des adversaires plus coriaces pour mettre à rude épreuve nos prototypes MK II. L’objectif est d’aller au Japon, trouver des cobayes viables, leur donner du matériel et voir comment ça se passait avec les héros locaux réputés balèzes, du moins si on se fit au rapport. Beaucoup de héros, pas beaucoup de vilains comme ils les appellent, par contre, c'est de sacrer spécimens. Vu ma situation, j’acceptais cette nouvelle tâche. On me forma pour que je puisse parler correctement l’anglais, le japonais ainsi que le français bien qu’on ne pût rien faire pour mon accent du pays ainsi qu'une formation dans l'ingénierie. Pourquoi donc cette formation ? Afin de me permettre de manipuler, modifier et réparer le matériel qui me sera remis en temps et en heure. Une formation complémentaire à mes connaissances en mécanique, vous ne pouvez pas travailler dans la logistique sans savoir vous débrouiller avec vos outils de travail comme les véhicules. On me créa une nouvelle identité, un commercial international dans l’import-export Russie-Japon. Une fois au Japon, je devais être discret, faire de la reconnaissance, m’assurer que le terrain était propice aux tests et trouver des clients tests. Je ne devais en aucun cas être capturé vivant, mon pays ignora toute implication et si je n’arrivais pas à mettre fin à mes jours, quelqu’un d’autre s’en chargerait.

Je suis Karl Vladovich, commercial international import-export Russie-Japon et je dois devenir vendeur d’armes haute technologie dans la pègre. Pour la Gloire et la Rodina ! Foutaise…

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Endeavor
Messages RP : 4

Feuille de personnage
Titre: Héros Incandescent
Expérience: ???
Alter: Hell Flame
Rang S+





Endeavor
Rang S+
Sam 26 Mar - 19:55


« Fiche Validée ! »

Classifié en tant que Vilain, au rang E+


Enfin ta validation ! Mais avant de commencer à nous conter tes récits et aventures fascinantes avec les autres membres du forum, il va te falloir :

→ Recenser ton avatar. (Ici.)

→ Faire une fiche technique. (Ici.)

→ Et, si tu le souhaites, faire une fiche de Prouesses. (Ici.)

Encore bienvenue et bonne aventure à toi parmi nous !


«Plus Ultra !»


Codage par Saphira pour EPICODE
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