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Geko Myavi ▬ La secretaire d'enfer (uc).

Myavi Geko
Messages RP : 0

Feuille de personnage
Titre: Nouveau
Expérience: 0/0
Alter: L'alter du personnage





Myavi Geko
Mar 16 Jan - 14:47

Informations sur le personnage

  • Nom : Geko
  • Prénom : Myavi
  • Titre : Paper-plane.
  • Âge : 21 ans.
  • Nationalité : Nippones.
  • Groupe : "Héroïne" de rang C.
  • Avatar : Mei mei de JJK.
  • Comment avez-vous connu le forum ? Je sais plus :O

  • CODE DU RÈGLEMENT : Validé. - Aslinn




Alter

Miss paper

Permet de s'assimiler, et de contrôler le papier qu'elle touche, pour lui donner une forme, texture et propriétés qu'elle souhaite. Plus le contact est prolongé, plus elle sera en mesure de contrôler de papier, et plus elle se transformera en dame de papier.




Description Physique


La brume s'étendait partout, devant elle, comme un voile opaque et sirupeux. Le moindre bruit était comme amplifié à ses oreilles, le moindre bruissement se faisait cahot, et le moindre pépin se faisait chaos. La brume dévorait tout, impossible de prévoir quand elle frapperai de ses quenottes, ni ou elle attaquerait. La jeune secretaire était donc alerte, tous les sens sur le qui vive. Ses cheveux cendrés, plus blanc que blond, lui tombaient à hauteur d'épaule, mais remontée en un chignon fort conventionnel, ne la gênait pas. Elle marchait souplement, mais très vite, avalant les kilomètres comme une souris grignotait du fromage, petit pas par petit pas. Myavi espérait sans trop y croire, qu'aucun vilain n'était sur le coup. Qu'elle était la seule à franchir le manteau blanc qui entourait la ville, pour aller y rechercher quelques rescapés abandonnés. On pouvait dire ce que l'on voulait sur kyoto, mais les yens n'avaient pas de nationalité, et son paiement excluait toute forme de racisme de la part de la Geko.

Son corps preste, souple et aux courbes féminines peu marquées, n'appâtaient aucun homme équilibré. Il n'y avait que les plus marginaux pour aimer les femmes dans son genre. Yeux noir d'obsidienne étincelants dans la nuit naissante, bien qu'elle n'eut pu dire l'heure avec précision. Une vitesse et des réflexes taillés pour le combat, et des gestes précis, calculés. Elle était austère, ne souriait presque jamais, et les seules moues qu'on lui connaissait, étaient soit de l'ennuie, soit de la colère, soit de l'hardiesse à vaincre ses adversaires.

Elle se considérait elle même comme un outil, une arme à double tranchant, difficile à manier mais dont la société pouvait profiter pour le moment. Pas plus d'un mètre soixante quinze, elle compensait en hauteur, par son exécution parfaite de la "gestuelle". Une routine d'entraînement, des figures de guerre, qu'elle répétait tous les jours, se gardant ainsi de la mort, et évitant d'être rouillée à l'aune de ses vingt et un ans. Pourtant, son regard semblait centenaire. Pourtant, ses blessures étaient plus profondes que celle, vilaine, qui courait sur ses bras délicats ... Car Myavi était belle, comme un charme, une magie, un mystère qu'elle cultivait avec beaucoup de soin... Comment quelqu'un d'aussi jolie, pouvait se battre autant comme un chiffonnier ? Adepte des corps à corps, elle ondulait plus sous les coups de poings, que les coups de butoir.

Fine comme une branche de bois vert, elle en avait aussi le mordant, quand on savait comment la manier. Elle pouvait faire mal, et le faire bien. Son glaive passé dans son dos, sa chemise en lin blanche d'une simplicité toute bête, ses bottes cloutées cirées tous les jours et son hygiène irréprochable .... Elle était bien une femme, et une qui ne se laissait pas aller.


Description Psychologique


*bip bip bip bip*

Le réveil sonne pour la secrétaire exécutive d'Aegis. Ses rêves héroïques ou elle se trouvait en dehors dehors de la ville, étaient tous les mêmes. Ils se terminaient avant d'avoir rencontré quelconques problèmes. Et pourtant, c'était pas faute d'essayer de s'imposer, mais la machine, concassait ses rêves de devenir une figure majeur de l'entreprise, plus qu'une secrétaire s'occupant de la paperasse. Il faut dire qu'elle aime le papier, les livres, l'encre qui sèche, les coups de tampons, autant qu'elle aime les afterworks, et les cocktails hors de prix. Bagarreuse quand il le faut, propre sur elle et toujours très méthodique. Elle aime le contact humain, mais préfère son chat "pépère" qu'il s'appelle, quand elle rentre chez elle, après une longue journée de labeur.

Son boulot c'est faire les rapports de missions, suivre les héros expérimentés sur le terrain pour noter ce qu'il se passe, fait remonter l'information. Elle est au coeur de l'action, mais ne se bat que rarement avec des vilains ou des criminels. Protectrice et amicale, elle est difficile à cerner de prime abords, se prélassant de son petit côté pernicieux, mi figue mi raisin, un peu acide mais ronde en bouche. Malicieuse et maligne, elle n'est pas une tête non plus, et bonne oratrice, sait toujours comment se sortir des situations complexes en usant de diplomatie.

Bonne psychologue, elle sait quand frapper, quand cajoler, quand être rigide, quand être souple ... Une bonne personne, altruiste par le fait d'une société qui glorifie le bien. Elle, s'en fiche du bien ou du mal, tant que ça paye !

Toujours bien peignée, toujours bien mise, elle est propre sur elle, bien parfumée, féminine et ne recule devant aucune stratégie pour gagner les coeurs et les combats. Paper plane, l'héroïne de la paperasse et du secretariat, fais rêver la ménagère. Tous les bureaucrates aimeraient lui ressembler.

Et qu'on l'idolâtre, ça, elle aime.




Histoire


J’ai vécu une enfance heureuse, dans l’opulence grasse de la mafia nipponne, dissimulée aux yeux de tous, à Hokkaido. Je pensais mon bonheur ne pouvait pas être plus complet, dans cette famille qui m’avait fait naître, moi une jeune et belle fille. Je découvris mon pouvoir à l'âge de six ans. J'étais aux anges, ayant toujours aimé les lettres et livres, je pouvais les contrôler à volonté, quel plaisir. Pourtant, tout n'était pas tout rose, finalement ...


Une école privée, avec des grands noms d’Hokkaido, parfois à peine chuchoté par peur d’invoquer leurs plus puissants détenteurs. Rapidement, les cours qu’on leur prodiguait, et la force de l’évidence lui fit se poser les bonnes questions : Pourquoi son père cachait-il tout de ses affaires ? Pourquoi son frère ainé disparaissait-il aussi souvent, revenant avec à chaque fois, des cadeaux plus fous les uns que les autres, pour elle ? Elle ne voyait personne rien faire de ses journées, et pourtant, si l’on croyait les discussions dans les couloirs, et les bribes de conversation entre professeurs… Sa famille était une des plus riches du Japon, avec d’autres. Tout ça était trop pour Miyavi, qui tombait dénue. Sa vie entière était basée sur un mensonge, et la fortune de ses parents, sur des malversations.

Moralement, quand on se croyait irréprochable et qu’on se rendait compte que même les fringues que l’on portait provenait du sang et de la sueur d’autres, ça foutait un coup. Elle décida d’arrêter l’école, et s’enfuir de chez elle. Elle ne voulait pas avoir à faire encore une fois avec ses hypocrites, et sa fugue fut remarquée deux ou trois jours plus tard, lui laissant le temps de se cacher dans un tonneau d’un navire qui partait quelques heures plus tard.

***

Déjà que le tonneau sent pas la rose, je vous laisse deviner que la jetée du port sur lequel il roule sans pouvoir contrôler quoi que ce soit, est bien pire. Il s’habitue à cette façon d’être charrié juste avant qu’on ne le dépose dans un petit dépôt, avec les autres bidons. Putain, l’était lourd celui là, t’es sur l’patron c’est pas gouré ? C’était le dernier t’façon, laisse tomber Johny. Rétorque une seconde voix, avant de s’éloigner. Pas qu’elle est claustro, mais rester pendant deux jours entiers dans une même position, dans un tonneau à peine plus grand que soit même, ou l’on doit se plier et se contorsionner, ça peut être oppressant au bout d’un moment. Utilisant son épaule comme bélier, la jeune Geko va se libérer du dépotoir ou on l’a collé.

Un marin  lui crie dessus quand elle manque de lui rentrer dedans, trop pressée de fuir les lieux de son « crime », dont personne n’en avait rien à cirer à Tokyo. Tokyo la métropole, la matrone qui vous prend qui vous jette, comme un paquet de cigarette. 300 yens, les Malback à 300 yens ! Entend la jeune femme, tout en continuant sa découverte des lieux.

La gamine, qui n’a jamais connu rien d’autre que son quartier tranquille d'Hokkaido, découvre avec beaucoup d’étonnement, de plaisir en dégoût, un ailleurs aux senteurs exotiques. Des épices, dans le quartier des plaisirs culinaires, qu’elle n’avait jamais vu, des couleurs plus vives, plus intenses, peut-être un effet secondaire des produits chimiques dans l’air, ou bien y’avait-il quelque chose dans le tonneau qui l’avait emmené jusqu’ici ?

Elle continue sa marche prudente, et s’enfonça plus en avant dans les rues, des échoppes avec des tables remplissent de machineries, de gadget et d’armes se suivent à la queu leu leu, comme des enfants sages et avides de croquer une part du gâteau.  L’air se fait de plus en plus vicié, irrespirable. Elle tousse des glaires grisâtres, sans doute chargés de pollution, elle se découvre une sensibilité particulière à ce genre de choses.... Elle ne fait plus un pas sans avoir du mal respirer, une douleur aigue aux côtes ventrales le prend à mesure qu’elle déambule.

Quand elle essaye d’attirer l’attention, sa respiration se coupant et sa vision se floutant, elle n’attise que l’indifférence totale de son environnement. Ah oui, c’est vrai qu'elle n’était personne ici …

***

Elle se réveilla dans une grande salle, sans fenêtre, et une étrange sensation de picotement au bout des membres, et derrière sa nuque. En tombant, elle s’était cogné et avait saigné, un bandage faisait le tour de son crâne, et il lui semblait avoir dormi un peu trop. Qui donc pouvait l’avoir retrouvé et amené ici ? Pas vraiment sur ses gardes, toujours naïve, à l’orée de sa majorité, elle se leva et tâta son corps. Non, il ne lui manquait rien. Au moins son sauveur ne vendait pas d’organes.

Il ne devait pas être si pire que ça, non ?
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