| Dim 12 Avr - 10:03 - Histoire ~ (Non important):
Toc toc toc !!
.. Hein ? Qui peut cogner à la porte ici ?
Komae ? Je le sais que tu es à l'intérieur !
Ouvrant les yeux, observant le plafond ainsi que le ventilateur remplis de poussière. Plus rien ne fonctionnais dans cette maison sauf le chauffage. Je parle bien sur de la maison de mes parents dont j'y ai retourné. J'ai refusé de laisser cette maison en arrière. Toute cette histoire ... Tout cela avait commencé lorsque les autorités m'ont trouvé une nouvelle famille pour m'héberger. Je ne les avais jamais acceptées malgré leur gentillesse. Je n'avais qu'un seul père et une seule mère, ce ne sont pas ces gens la qui me diront quoi faire. Ils me laissaient certaines libertés en sachant que j'étais en deuil. L'année d'après tout était beaucoup plus rude, l'homme perdais patience à me répéter qu'il cherchait à m'aider, mais je refusais tout de sa part et je continuais à les prendre pour des moins-que-rien. C'était vrai, car je voulais simplement sortir dehors et évité à tout prix d'être renfermé avec des gens. Ne voulant être seul que par sois même. J'ai même finis par retrouver a pied la maison de mes parents qui était toujours à vendre. Étant trop jeune pour l'avoir, je ne pouvais rien y faire. Je m'y était retourné pour m'y installer, je connaissait bien ces défauts et ainsi, j'ai pu y pénétrer et m'installer à nouveau. La raison pourquoi personne ne voulait la prendre ? L'eau avait pris possession du sous-sol, au moins l'électricité fonctionne toujours, mais je fait tout pour rien prendre, me concentrant sur les chandelles que j'ai ramené avec des couvertures et un oreiller compacté dans un sac. J'ai fait beaucoup de voyage pour m'installer et cacher mes objets. La famille a cherché à savoir ou est-ce que je me retrouve, ou est-ce que je dors et me faire des menace à la police si j'y retourne à la maison, ce qui pourrait me ruiner à ma réputation. À chaque fois, je chargeais mon énergie dans mon bras pour créer une vibration.
Je te défie de le faire, la maison sera explosé et je vivrais une vie différente. Seras-tu prêt à risqué ta maison pour moi ? Si tu veux la paix, fou moi la paix !
Retirant mon énergie du bras pour retomber au silence. L'homme se sentait impuissant face au regard froid de Komae. Il savait ce que je savais faire et je n'avais aucunement la gêne de le faire. Il ne voulait pas que je dérape du chemin et que je deviens un héros, mais fonctionné avec des menaces ne fonctionne pas. J'aime mieux vivre ma vie comme bon, il me semble. Seras-tu prêt à risqué ta maison pour moi ? Rien ne fonctionnait. Même après plusieurs années, je me demandais toujours ce que je faisais ici. Je n'étais aucunement pas bien. Seule ma maison m'aidait à me sentir aussi bien et libre.
Une soirée, j'entendais la dame pleuré, elle avait peur que j'attire des ennuis par mon caractère froid et impulsif. Elle disait qu'elle ne voyait que le mal. Je m'étais pointé dans le cadre de porte pour tout entendre. Elle avait abandonné de m'aider, montrée ses sourires et cherchée à être gentille. Ce qui me touchait au fond de moi, car j'avais aucunement remarqué depuis le tout début. Je ne restais que renfermer sur moi-même et attendre que la vie passe. Décidant de tout régler une bonne fois pour toute, elle m'a traité de vilains et de méchant qui ne mérite d'être en prison. À cet instant, j'ai poussé tranquillement la porte avec mes jointures. Restant droit devant la chambre sombre par les lumières fermé dans le soir. La lumière du corridor éclairait la chambre où je tombais face à face avec le couple qui me regardais les deux avec les larmes aux yeux et remplis de peur. J'avais gardé mon regard froid, fronçant les sourcils.
Si j'avais réellement été vilain, vous n'auriez pas été ici, si je vous aurais réellement détesté, vous n'auriez pas été ici. Si vous voulez réellement m'aider, donnez-moi que du temps libre, j'irais vous parler lorsque je serais prêt. Je me sens aucunement comme chez moi malgré ces années, je me cache car je me sens mieux en étant seul, comme cela je peux être tranquille à médité sur moi-même. Je dors très mal ici, ne vous donnez pas de mal pour me faire du bien, ni à vous tordre en quatre. Oui, je suis retourné dans la maison à mes parents, mais au moins j'ai tout ce qu'il me faut. Écoutez ... Je me sens aucunement comme chez moi malgré ces années, je me cache car je me sens mieux en étant seul, comme cela, je peux être tranquille à médité sur moi-même. Je ne suis pas là pour vous faire du mal, à présent je vous laisse tranquille. Répétez vous cela en tête, c'est moi qui suis malade dans ma tête et j'ai besoin de solitude comme que j'ai besoin de manger.
Je suis parti froidement en fermant tranquillement la porte. Il faisait froid dehors donc j'avais un manteau de cuir ainsi qu'un foulard rouge pour me cacher le cou ainsi que le bas de mon visage. Depuis ce temps-là, j'ai eu le droit qu'à la paix, je voyais dans leur regard qu'ils voulaient m'aider, mais ils en étaient incapables. Ils ont vu depuis un certain temps que je partais toujours avec un sac et mon sac revenais vide. Ma chambre devenait de plus en plus vide. Ils ont deviné que je m'installais réellement dans l'ancienne maison. Cette dernière avait encore le chauffage qui fonctionnait pour garder une bonne température ambiante et évitée la moisissure. La maison était déjà beaucoup humide par l'eau dans le sous-sol. Je m'en foutais trop pour m'en rendre compte, tout ce qui comptais était de conserver l'ancienne énergie de la maison et mes souvenirs que je cherchais à revivre. Depuis que j'ai commencé à Yuei, je me suis installé ici et je mangeais chez la famille. Je me faisais des plats préparé dans des plats, prenais une douche et je partais pour retourner à la maison.
Toc toc toc !! Allez Komae, je veux juste qu'on se parle un peu.
Grrr ... Étant obligé de me lever de mon tas de drap au sol avec mon oreiller. M'étirant en faisant craqué mes os. Allant répondre à la porte, voyant un membre du personnel de Yuei en face de moi. Fronçant les sourcils.
Bon matin Komae ! J'avais peur de devoir demandé à la permission à la ville pour rentrer ici !
On est dans la forêt au milieu de nul part ...
Ça appartient tout de même a la ville ! On n'est pas là pour discuter de ça. Est ce qu-
Je suis au courant que ces illégal que je sois installé dans l'ancienne maison à mes parents sans adultes autours. Bon allez, craché le morceau.
Un peu de patience ! Je peux rentrer ? Histoire qu'on discute en face-à-face.
Je le laissais rentrer. Regardant la cuisine vide, il n'avait que deux chaises pliantes que j'avais été cherché à un commerce qui se trouvais au milieu. Venant s'installer, déposant mes bras sur les appuis. Regardant l'homme droit dans les yeux en gardant un air froid. Ce dernier dépose sa valise, avec un petit sourire qui cherchait à me réconforter, ce qui ne me fait aucun effet. Sa présence physique me dérange.
Écoute Komae .. Vie tu vraiment ici depuis un moment ? Dans une vieille maison sans entretient, pleine de poussière, humide et dans ces habits tout déchirés ?
Oui et je suis bien ainsi.
Hmm .. J'en ai parlé à tes parents et -.
Pardon ?
Enfin .. À ta famille d’accueil et puis ont à observé tes dossiers. On le sait que tu n'as toujours pas accepté ton deuil, que tes pensées te hante, mais tu dois savoir que pour être un héros, tu dois être capable de passer au travers.
...
Bon .. Ont à remarqué que tu t'éloignais de plus en plus du groupe, tu cherches tu à te renfermer ?
Je hais les gens qui ce retrouve dans mes jambes... Ta simple présence me dérange.
Je vais aller droit au buts dans ce cas. Tu ne me laisses aucune chance, on cherche à t'aider, mais je n'ai pas l'impression que tu prends les bons choix. Ont a l'accord du couple qui s'occupe de toi de t'inviter à déménagé dans un dortoir de Yuei !
Et si je refuse ?
Et bien, c'est toi, mais ces illégal ici et je serais forcé à amener les forces de l'ordre ici. Je ne fais cela que pour t'aider, t'installer dans un endroit meilleur et te rapprocher du groupe. Il y a des gens dans la classe qui te font du mal ?
Non.
Donc il n'y a pas de mal, qu'en pense tu ? Je le sais que tu veux ton coin tranquille, mais tu aura quand même ta chambre privé et cela te ramènerais au groupe. Écoute, je le sais que tu veux rester seul, mais parfois les idées ne sont pas jolie, être en groupe ça peut nous aider à tenir le droit chemin et cherché du réconfort. À mes yeux, je trouve que ça serais idéal. Donc tu à le choix, sois tu restes ici et j'appelle la police, ainsi tu te retrouveras avec un dossier et tu ne sera aucunement accepté à Yuei, sois tu viens t'installer et tu te rapproche du groupe. Qu'est-ce que t'en penses ?
Grrr .... Et bien ...
J'ai détourné mon regard, regardant un peu autour de moi. J'étais en colère, je ne voulais absolument pas quitter, mais je devrais faire un sacrifice si je veux la vie que j'aimerais avoir.
Je le sais que ce n'est pas facile, mais tu dois vaincre ton passé et accepté le présent. Plus que tu te renfermes dans ton passé, plus tu t'en vas dans le mauvais chemin.
Mes parents ne seront pas plus fiers de me voir en tant que délinquant, je ne suis qu'obligé d'accepter cette demande ...
Bon choix, tes parents était de bon héros, ils attendront pareil de ta part ? Et puis ... Tu as bientôt 18 ans non ?
Mon choix est fait .. Et oui.
Tu as la richesse de tes parents ?
J'ai tout reçu.
Tu ne veux pas t'acheter des vêtements ? Car ce que tu as son tous en lambeau.
C'est quoi le rapport de l'âge ?
Arf .. La maison est toujours en vente, donc tu pourrais le racheter une fois passé l'âge, je le déconseille car il y a tant de réparation a faire. Ce n'est pas de l'eau que je vois en bas ?
Je me suis relevé de ma chaise, fermant la porte du sous-sol qui se trouvais en arrière de lui. Continuant à le fixé du regard intensément.
Je ne t'interdis pas, mais sache que parfois ça serais mieux de construire au côté.
J'aime mieux la conserver.
C'est ton choix .. Enfin bref, quand aimerais tu t'installer ?
Ma famille d’accueil n'a pas de véhicule et moi non plu, donc ça sera long, pour me laisser le temps de m'installer pour faire tous ces voyages.
Tu n'as pas d'amis qui peuvent t'aider ?
Je n'ai pas d'amis.
Je vois .. Si cela pourrait t'aider, je peux t'aider à faire quelque voyage. Je dois me rendre à Yuei pour avertir de la bonne nouvelle. Je suis heureux de voir une lueur d'espoir, on se demandait si tu allais quitter Yuei et vivre de tes blessures en devenant un vilain !
Jamais .. Un voyage me suffira.
Un voyage ? Es-tu sûr et certain ?
J'ai rien avec moi. Seulement des vêtements, nourriture, vêtements, le katana de mon père émoussé et c'est tout.
Même pas de téléphone, des haltère pour s’entraîner ?
Téléphone oui, mais rien d'autre ... À part une guitare acoustique.
Encore un truc caché que je n'attendais aucunement de toi ! Allez, amène tout ça, on doit être prêt dans quelques minutes.
Je me suis levé tout de suite sans dire un mot et j'allais chercher mes trucs. Mes couvertures dans le sac, l'oreiller. Les plats de nourriture avec des ustensiles dans un autre sac, la plus grande poche pour mes vêtements très limités en choix. Enfin bref, j'ai tout mis dans la voiture. La porte fermée, tout est fermé à clef. Sortant par la fenêtre, la fermant par après par dehors. Tout était bien fermé et vidé. Regardant la maison une dizaine de secondes.
Allez ! On y va !
Restant dans cette position quelques instants avant de m'incliner devant la maison. Ayant les images de toute la famille devant la maison qui jouait dehors d'autrefois qui n'existe plus. Quelques secondes, me relevant en jetant une larme au sol. Mes adieux sont faits, je dois tourner la page. Embarquant dans le véhicule pour m'amener à la ville en passant par les chemins de terre rarement entretenue. Regardant par la fenêtre pour voir le paysage défilé. Relâchant un soupir. L'homme était au téléphone, parlant avec les autres membres du personnel. Il parlait justement du choix que j'ai pris, la voix dans le combiné semblait très joyeuse et surpris. Me retournant vers la personne avec mon regard froid. Ce dernier en rigola en voyant mon regard ce pointé vers lui. Parlant au téléphone de ce qu'il se passe au téléphone. Ce dernier me tend le téléphone à l'oreille. Me disant qu'ils veulent me faire un message.
Coucou Komae !
...
... Je t'entends respirer, on est heureux de ton choix ! On te souhaite de te faire des amis et que tu retrouves ta joie de vivre !
On verra ...
Ayant remis le téléphone à l'oreille, ayant un sourire maladroit en cherchant à expliqué que je ne voulais pas réagir froidement même si c'était ce que je voulais. Je veux juste avoir la paix deux secondes, je n'aime pas me retrouver entouré de gens. Regardant une fois de plus dehors pour voir la vue défiler. Ont avant passé chez le couple pour ramasser ce qu'il restait de très peu. Le couple est venu me faire un câlin, ce qui me fut une petite chaleur à l'intérieur. Sachant que j'ai fait un bon choix et que tout allais changer à partir de ce jour. Ils étaient heureux pour moi, entourant mes bras machinalement autour d'eux. M'en allant en leur disant un dernier au revoir.
On est arrivé devant le grand bâtiment qui ressemblait drôlement à Yuei. Était-ce le but ? Haussant un sourcil en regardant l'endroit avant d'entrer avec mes trois sacs, mon katana dans son fourreau scellé et la guitare dans son étui. Je venais d'arrivé avec un responsable de Yuei pour déménager à la dernière minute. Il était gentil de m'offrir son service en même temps de transport vue que j'avais personne. Es-tu sur que tu ne veux pas un peu d'aide ? Prends un sac ... Touche pas au katana !Oui oui, j'ai compris, ne bouge pas trop ! Je passais mon temps à médité sur moi-même, jouer quelque petit morceau et ainsi quelque temps à pratiquer mes mouvements de combats. J'avais presque rien et j'en avais besoin presque rien non plu pour vivre. Je le ferais plus la nuit ici. Je ne suivais que l'homme qui me dirige vers une chambre avec mon nom déjà dessus. Ha bon ? C'était rapide. M'expliquant en même temps de me montrer la salle a mangé, le salon, les toilettes, les douches et ainsi de suite. Les filles séparées des hommes, pour moi plus qu'ont était séparé mieux j'étais. Arrivant devant la chambre, me laissant le tout pour décorer comme que je le voulais. J'avais donc le choix ? J'en ai profité pour en faire une copie de la chambre que j'avais chez moi à la tradition japonaise avec le lit double directement sur le sol. Le katana fixé à l'horizontale sur le mur et la guitare sur son trépied dans le coin. Un seul meuble pour contenir mes vêtements et ces tout. J'avais été cherché au magasin à pied pour les décorations traditionnelle japonaise. Le soir était tombé, je savais que les gens allaient revenir, enfermant donc dans ma chambre. Prenant la guitare et jouant quelque petit morceau tranquille en frôlant les cordes sur mes doigts. J'entendais les pas devant la porte et ainsi quelques voix de surprise en voyant mon nom sur la porte. Je jouais un petit morceau que j'avais entendu d'un jeu vidéo dans le temps, un jeu qui m'avait marqué que j'ai aucunement joué. Un thème apocalyptique qui se démarquait très bien des classique que j'ai entendu parlé. Mes recherches ont tombé sur cette musique que je me suis souvenue, très simple à jouer. Les laissant parlé. J'ai eu une journée mouvementé mentalement et je cherchais à reprendre un peu. Étant pas prêt pour socialiser. Laissant le temps avancé, jusqu’à temps que le corridor ce vide. Décidant de sortir, ayant encore mon style de vêtements déchiré sur le dos dont je me foutais légèrement. Profitant pour descendre au rez de chausser pour sortir dehors. Passant au côté des gens sans leur adresser un regard. La guitare a la main, j'avais prévu d'en jouer dehors. Je me suis dit que parfois ça serais du bien un peu de social, je devrais me forcer dessus à en avoir, car il était vrai que je me renfermais trop sur moi-même. Me disant que ça sera pour la prochaine fois, j'ai dû faire mes adieux à la maison de mon enfance avec de bons souvenirs pour venir m'installer ici. C'était déjà un choc de changé de lieu, en plus me retrouver avec des gens de ma classe, encore plus difficile pour moi de l'accepter. Sortant dehors pour m’asseoir sur la pelouse et jouer quelque petit morceau tranquille sur la guitare, laissant la mélodie se promener dans l'air, apaisé les mauvaises énergies et laissé son inspiration libre comme l'air qui nous caresse la peau. |
|