-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 :: LE MANUEL DU FUTUR HÉROS :: VOS ORIGINES :: Fiches validées Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

L'incarnation de la Puissance

Chikara Shokanuru
Messages RP : 80

Feuille de personnage
Titre: North Star
Expérience: 430/700
Alter: Paint Job
Rang C





Chikara Shokanuru
Rang C
Dim 10 Jan - 23:32
Fist of the North Star
"Blood on your face ! Big disgrace !"
Shōkanuru Chikara
Alter
Paint Job :
L’alter de Chikara lui permet de changer la couleur des choses, par contact direct ou indirect, jusqu’à cinq ou six mètres. Sur le plan scientifique, il s’agit d’une modification des propriétés réfléchissantes d’un objet. Il ne peut affecter que la surface extérieure, comme une couche de couleur qui se répandrait sur les objets affectés. Plus la distance entre Chikara et l’objet affecté est grande, plus la zone affectée est précise ou large, plus la concentration nécessaire pour maintenir le changement est conséquente.

Tout objet solide ou liquide peut être affecté, qu’il soit organique ou non, en mouvement ou non. Dans le cas d’un liquide, la surface seule sera affectée. Si quelqu'un plonge dans le dit liquide et le regarde de l'intérieur, il ne verra pas la coloration. Paint Job peut modifier l’opacité de ce qu’il touche, mais jamais pour le rendre moins opaque que sa transparence d’origine. Il est par exemple possible de rendre du verre opaque, mais pas de rendre du ciment transparent.

Ses applications sont multiples. Chikara l’utilise au quotidien pour se maquiller, à tel point que les changements de couleur sur sa propre peau ne lui demande plus aucun effort. Elle peut également créer des surfaces réfléchissantes, comme des miroirs, pour observer au coin d’un mur. A l’inverse, si elle parvient à agripper un adversaire, elle peut former un voile opaque sur ses yeux pour l’aveugler.
Informations sur le personnage
NOM : Shōkanuru
PRÉNOM : Chikara
TITRE : North Star
AGE : 23 ans
NATIONALITÉ : Japonaise
GROUPE : Héros
RANG : C
Avatar : Noï from Dorohedoro
Comment avez-vous connu le forum ? : I was there, Gandalf.
CODE DU RÈGLEMENT : Flemme de valider. - Aslinn
Mon super costume !
Ma super fille !
Moi, je suis super !
Salut !
Description physique
Depuis plusieurs générations, la rumeur circule chez les Shōkanuru que la famille aurait des origines scandinaves par un au moins de leurs ancêtres. Personne ne la prenait au sérieux jusqu’à la naissance de l’imposante Chikara, avec ses cheveux blonds presque blancs et sa taille remarquable de 2m01. La qualifier d’impressionnante n’est pas exagéré, elle est large d’épaules, avec de grands yeux rouges vifs, une crinière blanche mal disciplinée, une musculature développée et une assurance débordante.

Ironiquement, elle a un visage plutôt rond et mignon, qui contraste avec le reste de sa silhouette. Personne ne semble relever ce dernier point, cependant. Sans doute en raison de son attitude solide et entreprenante. Elle se tient droite, se met en avant, elle parle fort et fait de grands gestes assurés. Elle porte peu de cicatrices, considérant son travail ou son passé, mais elle y voit la preuve de sa compétence.

Ses goûts vestimentaires sont simples. A l’occasion, elle sait s’habiller avec classe, mais plus pour impressionner que pour être séduisante. Elle a une image de rebelle ou de brute, et celle-ci lui convient très bien. Elle aime les tenues de biker à l’américaine, ou celles qui mettent en avant sa carrure comme des hauts sans manche. Et au quotidien, rien ne bat le confort d’une tenue de sport.

Au travail, North Star porte une combinaison pseudo-moulante rouge et bleue (les mêmes couleurs qu’All-Might ou Captain Celebrity, mais en beaucoup plus sombre) qui couvre tout son corps sauf les mains et la tête, inspirée des costumes portés par les héros américains. Une large étoile dorée est affichée sur son torse, en référence à son pseudonyme. Elle y ajoute deux accessoires notables :
un blouson de cuir brun, décoré avec le logo de son sponsor en grand dans le dos, destiné à casser une image d’héroïne trop propre ou trop conventionnelle.
des gantelets métalliques sur les mains, d’une solidité à toute épreuve. Les plaques sont connectées à des microbatteries à haute tension capable de délivrer un puissant choc électrique à l’impact - cadeau de Roar.
Description psychologique
Chikara a toujours eu le sang chaud, mais elle se soigne. Ses années d’enfermement ont été l’occasion de prendre du recul et d’apprendre la méditation. Elle réagit toujours au quart de tour mais désormais, ses coups de sang sont (presque toujours) de courte durée et elle reprend vite le contrôle. Elle est également plus portée aux colères froides qu’explosives. Alors qu’elle aime les solutions directes et rapides en temps normal, l’échec ou l’énervement peuvent la forcer à réfléchir, la rendre patiente ou vicieuse.

Elle a aussi une grande confiance en elle, à la limite de l’arrogance. Sa fierté débordante est comme un bouclier, grâce à elle nombre de désagréments ou attaques glissent sur elle car elle sait pouvoir les traverser et sortir gagnante. Elle est par exemple fière de son passé de vigilante et de détenue, elle sait pourquoi elle a fait ces choix et qu’elle referait les mêmes si elle devait recommencer. Son sens de la justice et du bien est plus important que la Loi ou l’opinion publique. Jamais elle n’encouragera quelqu’un à devenir vigilant, mais elle pourrait soutenir quelqu’un qui emprunte déjà cette voie.

Si elle a choisi de se ranger et de laisser derrière elle toute activité illégale, c’est avant tout par praticité. Devoir aider les gens sans se faire remarquer par la loi, quand son attention n’est pas anesthésiée par la corruption, c’est plus difficile. Le statut d’héroïne professionnelle offre des inconvénients, c’est sûr, mais aussi beaucoup plus d’avantages. Le premier, et non des moindre, étant un argument de poids pour obtenir la garde de Mitsukeru.

Chikara tient énormément à sa fille. C’est l’idée de pouvoir la retrouver qui l’a aidée à tenir en prison, et qui la motive encore aujourd’hui. Elle l’aime du fond de ses tripes, mais elle n’arrive pas à savoir si c’est réciproque. En fait, la peur que sa fille la déteste pour ne pas avoir été là pendant ses premières années lui tord le ventre, à peu près autant que la peur de mal l’élever et de ne pas la préparer au monde. Elle essaie d’être une bonne mère, à la fois aimante et stricte, et respecte autant que possible des horaires de bureau pour avoir le temps d’être avec Mitsukeru. Elle est aussi très fière de sa fille, comme toute maman-poule.

Pour le reste, Chikara a des goûts très occidentaux pour une jeune femme d’origine bien japonaise. Elle aime particulièrement le rock n’roll et le style des bikers américains - elle conduit d’ailleurs une moto plutôt qu’une voiture, avec parfois un side-car - elle lit des comics autant que des mangas, regarde le catch en buvant de la bière, et puise sans retenue dans l’irrévérence punk pour sa façon de parler ou de se comporter devant les médias. Elle avait une réputation sulfureuse avant même de commencer dans l’héroïsme, jamais elle ne pourra s’en débarrasser et elle le sait, alors autant en jouer.

Au travail, justement, Chikara est une bête. Elle adore l’adrénaline, elle adore se battre, et elle ne retient pas ses coups. Les criminels qu’elle arrête sortent souvent blessés, parfois gravement, tandis que l’héroïne savoure le plaisir d’avoir aidé son prochain, de l’avoir vengé ou protégé. Contrairement à nombre de héros, cependant, elle n’est pas du genre à se sacrifier. Plus maintenant que Mitsukeru l’attend à la maison. Alors si un ennemi s’avère trop coriace ou trop dangereux, elle n’hésitera pas à s’enfuir.
Histoire
Le quartier de Tabata, à l’extrémité nord de la banlieue de Tokyo, a toujours été peu fortuné. A l’apparition des alters, il fut submergé par le chaos, comme le reste du monde. Puis, quand les Héros apparurent pour ramener l’ordre et entamer un nouvel âge d’or, la reconstruction y fut difficile. Peu à peu, l’endroit attira les classes les moins riches, et devint le terrain fertile de plusieurs groupes mafieux. La police y était majoritairement corrompue, et les héros y mettaient rarement les pieds.

C’est là qu’est née Chikara Shōkanuru, fille de Tenin et Waka Shōkanuru. Dès son plus jeune âge, Chikara était une enfant imposante, qui dépassait ses camarades d’une tête. Sa mère n’avait pas d’alter et son père possédait un alter de mutation particulièrement visible, donc les parents crurent que leur fille avait hérité d’un alter complètement inédit, un alter de force physique. Ils n’avaient qu’à moitié tort, comme il le découvrirent vers les quatre ans de Chikara, quand elle se repeint en bleu par accident. Son alter, simple et inoffensif, la destinait à une vie tranquille… à deux détails près.

D’une, les enfants sont cruels. Au lieu de simplement ignorer Chikara, qui pouvait difficilement se vanter de son alter comme eux, ils la prirent pour cible privilégiée. La violence et le crime étaient monnaie courante à Tabata. Dès leur plus jeune âge, les enfants du coin étaient habitués à considérer la force comme quelque chose d’important, à la rechercher et l’admirer. Alors, pour eux, Chikara valait à peine mieux qu’une sans-alter, soit pas grand chose, et il fallait qu’elle le sache.

De deux, et malgré ce que pensaient ses camarades, elle était forte. Physiquement, et moralement. Même sans utiliser son alter, elle était capable de rendre coup pour coup et de faire mordre la poussière à ses bourreaux. Cela lui valut de se faire gronder ou punir nombre de fois, car elle était souvent accusée d’être à l’origine des bagarres, mais elle s’en fichait. Ses parents lui avaient appris à être quelqu’un de bien, à admirer les héros plutôt que les criminels, alors elle se sentait dans son bon droit. Et elle se sentait puissante.

Peu à peu, alors qu’elle grandissait, elle commença à se définir par cette force. Au lieu de juste se défendre, elle voulut aider les autres. Protéger ceux qui étaient harcelés comme elle mais n’arrivaient pas à s’en sortir seuls. Le premier fut son frère Taikyū, de trois ans son cadet, qui n’avait pas hérité de sa force physique. Ensuite elle étendit sa protection, d’abord à l’école, puis autour aussi. Quand elle entra au collège, elle commença à sécher les cours pour pourchasser les petites frappes. Enfin, au lieu d’aller au lycée, elle se mit en tête de déclarer la guerre aux yakuzas eux-même.

A cette époque, elle avait déjà arrêté de vivre chez ses parents. Elle aimait sa famille, mais ils réprouvaient fortement ses choix de vie. Et ils avaient peur pour elle. Alors, pour ne plus les entendre s’inquiéter et s’énerver, elle avait déménagé dans un squat avec d’autres parias comme elle. Elle y vécut de quinze à dix-neuf ans, jusqu’au jour où elle se lança à l’attaque du quartier général des yakuzas, pour ce qui allait être l'apogée de sa carrière de vigilante… à deux détails près.

D’une, Chikara était enceinte de plusieurs mois à ce moment-là. Jamais elle ne révéla l’identité du père à qui que ce soit, et encore aujourd’hui elle est la seule à savoir. La grossesse, cependant, pesait sur son organisme ce jour-là. Elle était fatiguée, nauséeuse, elle se sentait lourde. Dans cet état, et même avec sa force légendaire, n’importe quel larbin aurait pu la mettre au tapis voir la tuer. Elle courait à la mort et elle refusait de l’admettre.

De deux, elle n’arriva jamais dans cet ultime bastion du crime. Alors qu’elle approchait du bâtiment, elle fut immobilisée d’un coup qui la mit au sol. Et quand elle essaya de se défendre, de se débattre, de voir qui l’avait capturée par surprise, elle découvrit la dernière chose qu’elle s’attendait à voir. Un héros.

Dans les mois qui suivirent, toute la pègre de Tabata fut démantelée. Des centaines de yakuzas, d’hommes de mains, ou de flics corrompus furent arrêtés et jetés derrière les barreaux. Commença ensuite un grand plan de rénovation pour élever le quartier, le sortir de la misère, et s’assurer que le crime ne revienne pas s’y installer. Aujourd’hui, il abrite plusieurs startup de l’informatique, et personne ne reconnaîtrait le quartier d’il y a cinq ans.

Chikara, de son côté, fut condamnée à six ans d’incarcération pour vigilantisme. Le juge se montra compréhensif face à son état de santé et son historique. Elle n’avait tué personne, et la corruption qui régnait à Tabata avait éclaté au grand jour. Il proposa donc un sursis de deux ans en cas de bonne conduite. Ainsi, Chikara accoucha en prison, fut séparée de sa fille dès sa naissance, et passa les quatre années qui suivirent derrière les barreaux.

Pendant ces quatre ans, elle se comporta en prisonnière exemplaire. Ses parents vinrent lui rendre visite au parloire et elle put se rabibocher avec eux. Elle ne causa aucune bagarre, et parvint même à en éviter une ou deux en ne répondant pas aux provocations des autres détenues. Ce changement de cadre lui donna l’occasion de se calmer, de prendre du recul sur sa vie, et d’enfin regarder vers l’avenir. De réfléchir à long terme. Elle reprit les études en ligne pour rattraper son retard scolaire, usa les machines de la salle de muscu, et profita globalement de chaque seconde en cage pour remettre sa vie sur les rails, jusqu’au moment fatidique de la libération. Avec l’approbation de tout le personnel carcéral, qui avait appris à l’apprécier avec le temps, elle fut libérée dès le début de son sursis et retourna s'installer, sans un sous en poche, avec ses parents et son frère - qui commençait un apprentissage dans un atelier de feux d'artifice. Ceux-ci étaient ravis mais ils ne pouvaient s’empêcher de s’inquiéter. Leur fille risquait de rechuter, elle avait un casier désormais, et aucun projet d’avenir… à deux détails près.

D’une, cinq jours seulement après sa libération, elle s’inscrivit en candidate libre au concours de licence héroïque. Loin de vouloir abandonner sa lutte contre le crime, elle avait simplement décidé de poursuivre dans les règles. Même sans avoir reçu la formation d’une école héroïque, elle avait son passé de vigilante derrière elle, et quatre ans de préparation. Autant dire que les examens furent une formalité, et elle put rapidement créer sa propre agence. Une petite agence indépendante, sobrement nommée X², marquée par la réputation sulfureuse d’une ancienne criminelle devenue héroïne. Ce fut cette réputation qui lui permit de trouver son premier sponsor : Roar, une marque de boissons énergétiques récente qui voulait entretenir son image de rebelle auprès du public adolescent japonais.

De deux, elle retrouva sa fille Mitsukeru et demanda à en reprendre la garde. Pendant ses années de prison, elle avait réussi à établir le contact avec sa famille d’accueil et à s’entendre avec eux pour que la petite vienne la voir au parloir régulièrement. Aussi, dès qu’elle eut un travail stable et son propre logement, elle entama la procédure pour que sa fille vienne vivre avec elle. Par contrat, la famille d’accueil conserve un droit de visite ainsi que la garde un week-end sur deux, mais Mitsukeru est officiellement sous la responsabilité de Chikara. Celle-ci sait que les débuts seront difficiles, qu’elle a été trop absente jusqu’ici pour que sa fille l’aime vraiment comme une mère, mais elle est déterminée à tout faire pour reconstruire leur relation.
Revenir en haut Aller en bas
Endeavor
Messages RP : 4

Feuille de personnage
Titre: Héros Incandescent
Expérience: ???
Alter: Hell Flame
Rang S+





Endeavor
Rang S+
Lun 11 Jan - 15:17


« Fiche Validée ! »

Admis au sein des Héros , au rang C


Enfin ta validation ! Mais avant de commencer à nous conter tes récits et aventures fascinantes avec les autres membres du forum, il va te falloir :

→ Recenser ton avatar. (Ici.)

→ Faire une fiche technique. (Ici.)

→ Faire une fiche de Prouesses. (Ici.)

Encore bienvenue et bonne aventure à toi parmi nous !


«Plus Ultra !»


Codage par Saphira pour EPICODE
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Boku no Hero :: LE MANUEL DU FUTUR HÉROS :: VOS ORIGINES :: Fiches validées-
Sauter vers: