"C'est bien aimable à vous de nous aider comme ça..."
Les sources d'Irumu étaient loin d'être un taudis, mais il apparaissait clairement que le maigre personnel était dépassé par leur entretient. Toute une aile était fermée au public pour cette raison.
Chambres en désordre, bassins sales, poussière dans tous les coins... Aujourd'hui, les apprentis héroïques s'étaient proposés pour aider M. et Mme. Obari, les tenanciers de l'établissement.
La récompense au programme ? Un accès illimité aux fameuses sources chaudes, de quoi délasser n'importe qui après une journée de nettoyage...
« Un honneur qu’est de servir la famille suzeraine de ces lieux sacrés du bien-être. Vos efforts n’auront pas été vains, car nous nous engageons à récupérer vos terres qui ont été injustement prises par la corruption du temps et de la souillure ! »
Annonce fièrement l’apprenti bras tendu et doigt pointé vers le panneau « zone condamnée », bombant le torse sous son armure à plaques. Sur cette armure, pour travailler efficacement à Hokkaido, de la fourrure a été rajoutée spécialement afin de combattre son froid implacable, si bien qu’elle dépasse quelque peu autour du cou et sur les hanches. Sa voix, qui est très puissante et exagérément expressive pour un adolescent, complète sa posture volontairement chevaleresque frôlant le sentai.
Quant au reste, à savoir son épée et son sac de sport, le premier sera évidemment déposé à l’entrée, alors que le second contient du matériel de nettoyage ainsi que son habit de croisade – aussi communément appelé « survêtement léger usé » –. C’est une tenue qu’il a déjà arborée dans d’autres de ses conquêtes pour la sainte propreté, notamment pour nettoyer et lustrer la scène de son collège avec ses camarades de club. Puisqu’ils sont amples ils s’avéreront certainement utiles, en plus de porter la croix bleue des templiers de la propreté, qui sied si bien au code couleur de son armure.
Puisque c’est sa première présence publique, autant envoyer le paquet. Surtout avec cette version inégalable de l’armure sur les épaules.
Kaito était lancé dans une mission aléatoire qui avait pris sur le bord pour se lancer dans une nouvelle aventure qui croyait être une aventure formidable comme tous les autres qui avait eux. Hélas, il est arrivé devant simplement des sources chaudes avec un autre élève de Yuei à ses côté qui était plus grand et pas mal énorme pour son armure. Kaito était habituer d'être massif, mais la il admet qu'il y a de la concurrence au niveau physique, Kaito toutefois avait la carrure beaucoup plus développer qui permettait de le rattraper. Il était pas mal rapide et parlais beaucoup trop bien aussi à son goût. Il regardait le panneau condamné dont l'étudiant pointait sous son armure avant de ce retourné vers le propriétaire de ses lieux en rajoutant.
Tout sera comme un neuf ! Nous avons du pain sur la planche ! Allez le géant, essait de ne pas tout brisé avec ton armure !
Il donne un coup-de-poing pour l'agacer sur l'épaule armure de ses mains énormes. Il avait son amure lui aussi sur son dos, mais elle n'était pas aussi complète que l'étudiant. On pouvait bien différencier les styles des deux élèves d'un chevalier sérieux et un bagarreur téméraire. Pour quelqu'un qui était sensé avoir son âge, il a une voix assez unique qui donnait presque envie à Kaito de le défier en direct et de voir si il sera encore capable de tenir debout et de montrer si son mental tiens le coup. Ce n'était pas le moment idéal pour se battre, pour l'instant, il était curieux de voir qui se trouve sous cette armure massive et de tenter si ses poings seraient capables de lui percer son armure ou bien s'il est intouchable. Il avait plein d'idée en tête pour le défier, mais il avait une mission à faire avant en regardant tout l'équipement nécessaire dans un coin avant d'aller en cherchée. Il regardait l'étudiant de Yuei qui était inconnus à ses yeux et se présente sous son ton amusé.
Kaito telle est mon nom ! Sinon le Berserker, qu'est-ce que t'en dis qu'on débute l'intérieur et ont fini par le bassin ? On ne salirait pas le plancher en retournant dans les chambres, qu'est-ce que t'en dis ?
Malgré l’épreuve de force imposée par son allié, Fusamasa ne bouge que de quelques centimètres de sa posture défiant le panneau de signalisation en combat singulier. Un gong vient alors tout de suite chauffer la foule qui l’acclame :
« Maman maman ! Tu crois qu’ils tournent un film ? Il est rigolo le monsieur au casque ! »
« Va rejoindre tes copains dans le bassin, il vaut mieux pas les déranger dans leur travail. »
« Eeeeh ? D’accord… »
Ne se laissant pas démolir par l'impitoyable critique des spectateurs, le fier chevalier joint son camarade. Et ce, bien évidemment, une fois les politesses échangées avec la propriétaire qui n’est absolument pas médusée de leur entrée. Le garçon qui l’accompagne dans cette quête se présente alors, proposant une stratégie minutieusement pensée, parfaitement adaptée, à la situation délicate qui les attend. D’un ton tout aussi imposant que précédemment, quoique plus calme, il obtient réponse :
« Effectivement, nous ne saurions corrompre la terre sainte une fois son chemin de pèlerinage libéré de cette hérésie. Ainsi ajouterai-je que nous troquions notre armure afin de la préserver et travailler plus efficacement. Les armes que nous utiliserons pour progresser sont si puissantes… » le poing du chevalier se serre devant lui pour ponctuer le danger « … qu’à chaque seconde nous risquerions sa vie. »
Il marque une pause avant de reprendre solennellement, main sur le coeur :
« Je m’appelle l’Artiste, chevalier de la Commedia dell’arte. Que notre reconquête puisse honorer les générations qui nous ont précédés, et puisse inspirer les générations futures. »
Kaito avait écouter la discutions encore le fils et sa mère qui parlait d'un sujet à propos des deux étudiant armuré en pointant surtout son partenaire. Kaito n'a pas pu retenir son rire en trouvant la situation assez drôle. Les mains sur ses hanches et regarde son partenaire en attendant que Kaito se présente avant qu'il se mette à parler et que Kaito le regarde avec un air un peu plus confus en étant conservé son sourire.
He ?
Kaito ne savait pas comment réagir face aux paroles imposantes du chevalier, c'était de jolie paroles remplie de détermination prouvant sa foie mais pour Kaito, c'était aussi inutile dans la situation actuel alors qu'ils n'étaient là que pour nettoyer les sources chaudes. Il se gratte la tête en rigolant une fois de plus et le laisse se présenter. Kaito était surpris d'entendre le chevalier parler, il avait une manière de parler si unique qu'il aurait dit que quelqu'un est venu le chercher dans le passé pour finir sa quête dans le présent.
Enchanté mon cher preux chevalier ! J'adore l'idée des jolies paroles, mais tu le sais qu'on est là que pour nettoyer des sources chaudes ? Mais je serais curieux de te voir en plein combat par exemple ! Le jour que j'en aurais de besoin, j'irais te chercher !
Lui faisant un pouce en l'air avant de retirer son armure et qu'il se retrouve en t-shirt et jogging tout simplement malgré l'air froid, mais le corps très chaleureux de Kaito le rendait moins sensible au froid. Il pouvait en profiter pleinement de s'épuiser sans mourir de chaud. Il va déposer son armure à l'intérieur dans un coin qu'il ne dérangerait pas vue que sa ne rentrait pas dans de simples cassiers. Il n'imaginait pas la taille de l'armure de son partenaire et comment il fera pour la retirer s'il le fait. Kaito agrippe l'équipement et s'en va vers la pièce fermée en se rendant compte de l'état.
Ha ouai ...
Il voyait la poussière accumulé, les chambres en désordre, il le voyait de plus près et après quelque reniflement, il éternue et fait relevé la poussière.
À nous de jouer, je compte bien inviter quelqu'un ici, donc faisons en quelque sorte que tout soit propre !
Kaito serrait le tissu dans sa main avant de se mettre à la tâche.
Malgré l’importance indiscutable de la quête aux yeux du chevalier, son acolyte ne peut s’empêcher de témoigner son incompréhension sous la forme d’amusement, mêlée à une tentative de relativisation de la situation. La réponse s’ensuit alors pendant que l’armure à plaques s’ouvre par endroits dans le dos, comme par magie :
« Chaque instant est un combat, peu importe la raison ! Le plus important… » commence l’étudiant qui apparaît derrière l’armure, « … c’est de savoir pour quoi l’on se bat ! »
À côté de l’amure qui demeure debout, le garçon au torse nu retire son heaume, révélant son visage intensément sérieux avec un sourire en coin. Masquant sa fierté d’avoir élégamment défié son partenaire, il tend le casque à son armure qui le récupère sous le coude :
« Bob, Bobby, votre rôle va être crucial : restez à l’entrée pour accueillir les curieux. Nous avons du pain démoniaque sur la planche et nous ne pouvons rater sa dangereuse préparation. Ne laissez passer que monsieur et madame Obari. »
L’armure sans tête fait un signe militaire de sa main libre tandis qu’une voix rauque résonne dans le casque de métal :
« Wenn es meines Gottes Wille ! »*
Hochant la tête, le jeune garçon puis l’armure s’éloignent alors, laissant le premier prendre le poste de garde tandis que le second ouvre son sac pour y retirer ses affaires, et ainsi se changer rapidement, loin des regards indiscrets du public. Il réapparaît alors avec son sac dans une main main et le balai dans l’autre. Habillé de sa tenue de nettoyage, le chiffon sur le nez et la charlotte sur la tête :
Kaito se retourne vers lui avec son pouce à l'air de son bras tendu en faisant un clin d'œil après qu'il ait sorti après ses paroles digne d'un grand chevalier.
Simplement par pur plaisir !!
Ensuite, Kaito fut surpris et confus a la fois en voyant l'armure tenir debouts tout seul sans problème et même maintenir le casque. Il regardait l'armure et ainsi que son équipier de mission qui parle à son armure qui semble bien vivant. C'était déjà trop pour le cerveau de Kaito qui semble surchargé en comprenant rien du tout de ce qu'il se passe. L'armure répond en plus avant de se positionner et Kaito continuait de regarder l'armure partir et ainsi que l'artiste s'éloigner avec. Kaito prit son armure qui avait rangé et le met debout avant de le relâcher au sol et le laisser tomber. Il prit un temps à se gratter la tête et réfléchir quelques instants avant de ranger son armure avec un air extrêmement sérieux et pensif. Il cherchait une logique, mais rien n'arrivais en tête. Il finit par aller voir la bouteille de produit et lire les ingrédients dessus.
Dit moi que je ne me suis pas fait droguer !
Il prit même le temps d'ouvrir la bouteille et la sentir avant de constater que c'était bien simplement du liquide nettoyant. Il remet ensuite le spray dessus en regardant son partenaire qui est déjà changer et bien chargé pour tout nettoyer. Il avait un visage de nouveau confus. Kaito se frotte le visage de sa main avant de se retourner.
F*ck That ! Je réfléchis pu ! Éliminons cette saleté une bonne fois pour toutes ! On perd du terrain !
Kaito se lance pour ramasser le bordel avant de nettoyer les murs. Il avait pas mal de truc qui traînait au sol. Il se dépêchait et éternuait quelques fois en se frottant le nez. Il avait pas mal de poussière qui lui agressait le nez. Il prit même le temps de temps de retirer son t-shirt et se faire un foulard pour cacher son nez.
Qui profitera d'une bonne source chaude ? Ça sera nous ! Ça nous fera du bien après un temps froid et des épreuves difficiles ! Qu'est-ce que t'en penses ? As-tu une personne en tête que tu vas inviter ?
Même si le grand brun hésite un instant pour une raison que le chevalier ignore, le duo se met au travail sans plus de questionnements… ou presque. En effet, le premier demande au second une chose à laquelle celui-ci n’a pas réfléchi jusqu’alors ; le doute l’assaille un instant avant de répondre, fermant la porte puis ouvrant les fenêtres de la pièce principale :
« Le vieux de ma vieille, le genre qui travaille d’arrache-pied sans perdre un seul orteil ; sa fougue est tel un brasier incandescent qui ne s’éteint jamais de lui-même, il faut lui jouer du pipeau pour dompter sa danse flamboyante. »
Malgré les frissons qui parcourent le chevalier à l’armure de tissu, le jeune garçon aide son camarade à trier et déblayer les possessions, parsemées dans ces terres hostiles, qui gênent à la conquête des fresques murales de teintes de bleu. Selon les dires des propriétaires, ces motifs hérétiques sont dues à la corruption mêlée à l’humidité des pièces voisines ; à croire que le Mal sait user des imperfections de la Terre Sainte pour ses propres outrages, comment nos protagonistes pensent pouvoir vaincre un ennemi aussi méticuleux ? La réponse est simple : la coopération !
« Et vous frère templier, pour qui vous battez-vous à mes côtés ? À qui partagez-vous votre geste de noble bravoure ? »
Et alors que leur échange afin de faire de plus amples connaissances se poursuit, l’Artiste pose une main sur son sac de sport et tient le balai dans l’autre, incantant quelque chose à voix basse avant que les deux objets se mettent à bouger.
Il était toujours surpris d'entendre les paroles de son partenaire de ménage. Il avait un vocabulaire si différent de ce qu'il était habitué d'entendre. C'était remplie de bonne pensée et l'ado était obligé de prendre un instant à réfléchir afin de comprendre ce qu'il dit. Il voyait bien les bonnes ondes dont l'artisan dégageait.
De si jolies paroles ! J'ai une question ! As-tu attiré beaucoup de dames avec ce vocabulaire aussi soigné ?
Dit-il en même temps de faire le ménage de la pièce. Il s'y prenait plus ou moins bien, mais le résultat était bon. Kaito se dépêchait et essuyait la sueur de son front qui coulait. Il ressentait aussi bien la chaleur et l'humidité de la pièce au côté. Il finissait par retirer son haut et être torse nue. La musculature massive de l'adolescent faisait fureur, kaito regardait le ménage qu'il restait à faire. Sa respiration fut de plus en plus brusque. Il n'avait pas l'impression qu'il avait faite quelque chose. Il penche son dos vers en-avant et sa peau fut rosée.
Pour une chère amie ...
L'image de Hikage fut en tête, il voulait absolument compléter sa tâche et éviter d'y rester pendant toute la journée. Kaito était un homme qui était fait pour le combat et la défense. Il profite de la rapidité de son Alter afin d'arrivée à faire le ménage et le grand nettoyages intérieur de la salle. Il avait bien vu que son partenaire utilisait son alter afin d'animé des objets, il va devoir prendre bouché double pour montrer qu'il peut autant en faire.
Dont je ne laisserais jamais tomber !!!
Kaito se laissait emporté par la colère, il détestait avoir l'impression qu'il ne sert à rien face aux autres. Sa vitesse améliorée lui a permis de se projeter vers le ménage et frotter les murs. Le courant d'air qu'il crée lui à permis de faire respiré la pièce d'avantage qui était extrêmement humide. Ce qui lui a permis rapidement de terminé ses tâches. Il regardait son partenaire de son regard psychopathe avec son grand sourire et ses yeux perçant.
Il nous reste les bassins ! Nous allons-y arriver !!
Il va sans dire que le pouvoir possédé par le Berserker s’avère extrêmement utile ; notamment pour purifier en profondeur chaque parcelle de la première pièce, le tout bien sûr grâce à cette fougue frénétique que cette aptitude procure. Et alors que la colère anime le jeune apprenti, son collègue redouble de fanfaronnades avec ses nouveaux alliés. Des alliés… dévoués à leur Major qu’est Tom le balai à franges.
Si premièrement l’Artiste semble se déplacer avec plus d’aisance depuis qu’il a invoqué ses deux meilleurs amis, c’est désormais encore plus flagrant si l’on compare à lorsqu’il portait encore son armure. Car oui, le chevalier ne se contente pas d’animer le contenu de son sac ; à son contact une partie du meublier se met à gesticuler, se tortiller, voire marcher en soulevant sa jupe de bois, pour laisser la tornade rouge faire son œuvre ; chacun expose ses sales péchés en appréciant la grâce accordée par nos deux templiers. Le chevalier sans armure répond d’ailleurs à la question de son confrère, sourire aux lèvres, alors qu’il guide Tom et ses hommes de ses mains tel un chef d’orchestre :
« Alit lectio ingenium.* Bien sûr, mon verbe est tel que même les sirènes s’en inspirent pour leurs chants. »
Le balai magique quant à lui profite de cet élan de propreté pour baptiser le sol ; accompagné par son écuyer le chaudron magique modèle réduit, le légendaire récipient capable de contenir n’importe quelle concoction, sacrée comme profane, même pour réveiller les morts ; ainsi que son fier destrier le souffleur inversé de tempête, qui avait pour tître d’être le meilleur berger à moutons de tous les temps, jusqu’à l’avoir légué à son enfant il y a bientôt des décennies. Tous les trois progressent ardemment, ne fléchissant point devant l’adversité, à raison de trois mètres carrés par minute ; une chance que ces terres soient récemment habitées par un peuple prêt à les soutenir, tel que pulvérisateur d’eau bénite ou encore l’armée des chiffons. Constatant que leur Dieu et son frère templier – fanatique – semblent avoir fini leur œuvre dans l’entrée, un regain de volonté anime ce trio afin de pouvoir les rattraper sur les terres plus profondes.
Pendant ce temps, l’Artiste tente de maintenir son calme en présence du Berserker, dont la stabilité mentale soulève des questions en son for intérieur. La légende raconte que certains Alters impactent directement avec la psyché de leur possesseur ; si ce fameux Kaïto était sain d’esprit jusqu’à voir sa peau rougir, serait-ce là l’explication, ou au contraire deviendrait-il rouge seulement en embrassant sa folie ? Une chose est sûre d’après le chevalier, Shiketsu ne prendrait pas ce genre d’élèves s’ils n’avaient pas de contrôle dessus, même si leur exclusion récente du Chevalier Blanc montre que parfois certains téméraires passent entre les mailles du filet. Une bataille mentale entre sa morale et son instinct primaire débute alors, sous le masque héroïque qu’arbore le jeune homme :
« Commençons par le gouffre qui nous est familier, cela nous permettra la hardiesse de sauver sa jumelle maléfique. Ensuite nous pourrons prévenir les propriétaires qu’ils peuvent les utiliser pendant que nous nous affairons des chambres. »
Il va cependant falloir redoubler d’effort, s’ils comptent finir leur conquête avant le coucher du Soleil. Car en effet, la matinée est déjà bien entamée pour ne pas dire qu’ils approchent de l’heure sacrée du déjeuner ; aucun guerrier ne se bat le ventre vide. Et malheureusement, l’Artiste ne va pas pouvoir user de nouveau de son pouvoir pour le moment, son armée de nettoyage étant encore occupée sur les finitions de la pièce voisine ; il s’apprête donc à user de ses propres ressources en retroussant les manches de son T-shirt, saillant au passage sa forte musculature comme pour défier la saleté. Prenant à pleines mains l’un des deux énormes tuyaux d’arrosage ramenés depuis l’entrée principale, la forte pression fait tressaillir un moment le chevalier ; mais une fois habitué au recul de son arme, quelques aspersions depuis le bord plus tard, il saute à l’intérieur du bassin sec et poisseux :
« Prêt pour la deuxième bataille ? J’espère que vous avez de l’endurance, nous sommes loin d’avoir fini notre journée et notre déjeuner nous attend. »
*:
Latin : La lecture nourrit l’esprit.
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![Kamikakushi des saletés [Fusamasa & Kaïto] 5fbc805b4474cd00871ff3fb4016797c7651525f](https://64.media.tumblr.com/205c3cea1b9dafb46a16fff9f1de14de/adca5426dff48273-a8/s400x600/5fbc805b4474cd00871ff3fb4016797c7651525f.gifv)