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Avidité sans fin - Eiko Yoshida

Eiko Yoshida
Messages RP : 73

Feuille de personnage
Titre: Oni / Maker
Expérience: 350/700
Alter: Matter Copy
Rang C





Eiko Yoshida
Rang C
Lun 14 Juin - 16:22
Hanae nakayama
"L'argent est le pouvoir, car tout a un prix"
Eiko Yoshida
Matter Copy
L’alter d’Eiko lui permet de recréer une matière ou une substance dès lors qu’il y a contact physique entre sa peau et cette dernière. Lorsqu’elle touche une substance, ou un objet par exemple, elle est capable de reproduire la matière touchée tant que le contact est maintenu. La matière ainsi « copiée » sera identique à l’original au niveau moléculaire et sortira de n’importe quelle partie du corps d’Eiko.
Cet Alter demande cependant certaines conditions pour être utilisé ; tout d’abord la jeune femme doit connaître la composition de la matière à copier et ne peut pas recréer n’importe quoi : tout ce qui est intangible ou avec une densité volumique moléculaire trop faible ne peut pas être reproduit (par exemple les gaz). Eiko recrée de la matière au prix de ses calories, ce qui peut rendre l’utilisation de cet alter particulièrement éprouvant sur une longue durée ou pour des matériaux complexes ou des alliages. La quantité de matière créée est quand à elle directement influencée par sa densité : en clair plus une matière est dense ou complexe, plus elle sera énergivore à reproduire. La jeune japonaise éprouve par exemple des difficultés à reproduire des liquides composés de beaucoup de substances différentes. (l’eau est assez simple à reproduire, un parfum avec une composition complexe quasiment impossible)

A noter que l’Alter ne permet en aucun cas de créer un mur de béton par exemple, les proportions sont bien plus minimes. Reproduire l’équivalent d’une brique ou un parpaing est faisable, l’équivalent d’une poutre en acier est quand à lui bien plus difficile. (d’ailleurs elle n’en est pas capable d’une traite). De plus, si un matériau est trop complexe ou trop dense, il peut arriver qu’Eiko ne soit pas en mesure de le recréer fidèlement. Un exemple simplifié serait un alliage d’acier qui serait reproduit avec une part inférieure ou inexistante de carbone. Puisque l’Alter consiste à copier parfaitement une matière, Eiko ne peut donc pas choisir de copier seulement « une partie » de matériau. Si le phénomène survient, c’est alors forcément une erreur.

Enfin, Eiko n’a que très peu de contrôle sur la forme de la matière recréée et bien qu’elle peut grossièrement choisir une forme globale, il lui est impossible de reproduire quelque chose de précis.
Informations sur le personnage
NOM : Yoshida (anciennement Nakayama)
PRÉNOM : Eiko (anciennement Hanae)
TITRE : Oni, ou Maker
AGE : 22 ans
NATIONALITÉ : Japonaise
GROUPE : Vilaine
RANG : Je pensais à C pour sa renommée dans le marché noir
Avatar : Raiden Mei - Honkai Impact.
Comment avez-vous connu le forum ? : Googeulisé
CODE DU RÈGLEMENT : Validé par Léo
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Description physique
Eiko est une jeune femme de 22 ans, mesurant 1 mètre 65 pour 60 kilos, ou quelque chose du genre, bon courage pour lui soutirer l’information. Elle est dotée de yeux aux iris violettes qui contrastent avec ses longs cheveux noirs qui descendent jusqu’en bas de ses hanches lorsque détachés. Niveau coiffure, Eiko attache sa chevelure quand elle le doit mais préfère largement la laisser libre, et ce malgré le fait qu’elle met une éternité à la brosser. Une particularité physique difficile à louper chez la jeune femme est les deux cornes rougeâtres qui sortent de son front, sous sa frange, et pointent vers le ciel. Pas plus solides que les os de ses bras, et virtuellement inoffensives,  elles ont poussé en même temps qu’Eiko a grandit, jusqu’à atteindre leur taille actuelle.

Le code vestimentaire de la jeune femme est quand à lui en accord avec sa démarche assurée. Souvent vêtue de vêtements chics et de bijoux en tous genres, Eiko tend à mettre aussi bien sa richesse en valeur que sa beauté et ses charmes. Son sourire et son regard attirent l’attention et dotée d’une belle voix et d’un rire tout aussi charmant, la jeune femme a, en apparence, tout pour plaire. Et c’est véritablement le cas, en partie du moins. Rares sont les personnes qui ont déjà vu le vide qui apparaît parfois dans son regard, ou entendu la froideur de sa voix. La malice en revanche, fait acte de présence quotidiennement.
Description psychologique
Eiko est la représentation même de l’envie,  bien qu’elle exhibe l’entière palette des  populaires péchés capitaux. Elle est avide de richesse, souhaite tout posséder, et est aussi bornée que calculatrice. En effet si la jeune femme cherche constamment à obtenir plus, elle ne se jette pas dans la gueule du premier loup venu en pensant s’en sortir à coups de volonté brute. Non, elle ne serait pas arrivée jusque là sans malice et manipulation. Le véritable don de ce danger économique réside probablement dans son sens des affaires et sa capacité à prendre avantage des autres, par quelque moyen que ce soit lorsque nécessaire. Sa morale ne concerne qu’elle et sa prospérité, et elle n’a que faire du reste et des conséquences de ses actes tant que cela ne l’affecte pas. Ou du moins, personne n’a jamais pu déterminer le contraire.

Le credo d’Eiko est que tout a un prix, et qu’il suffit de le dénicher pour obtenir ce qu’on veut de quelqu’un. Alors bien sûr cela veut dire des ennemis, mais également des alliés. La jeune manipulatrice sait se rendre indispensable et prévoit toujours un plan B, un plan C et autant de plans que nécessaire pour arriver à ses fins. En d’autres mots elle est aussi prudente que gourmande de richesses et de pouvoir. Mais est-ce vraiment le cas ? Pour elle, absolument, car ses barrières sont hautes et solides et personne n’a jamais réussi à passer outre… pour le moment du moins.

En dehors du cadre professionnel, la jeune femme aime avant tout profiter et s’amuser ; l’ennui est son Némésis. Et force est de constater qu’avec la richesse, il lui est pour ainsi dire devenir compliqué de s’ennuyer véritablement –ce qui lui convient tout à fait. Malgré le fait qu’elle soit une catastrophe absolue en cuisine, la nourriture est probablement sa chose préférée après tout ce qui a une valeur matérielle. C’est d’ailleurs un bon moyen de gagner des points chez elle... et un secret pas très bien gardé vu son enthousiasme flagrant. Outre cela, son Alter comme son manque d’éducation ont poussé la jeune femme à apprendre par elle-même, passe-temps qui éveilla chez elle une certaine curiosité pour des sujets en tous genres, en particulier les pus complexes. En somme, elle accordera toute son attention à une explication même sans rien en retenir.

Ayant commencé au plus bas de l’échelle, elle déteste et méprise ceux qui se lamentent de leur situation sans se donner les moyens de s’en sortir et à l’inverse, respecte ceux qui ont su forger leur destin de leurs propre mains. Bien qu’elle possède un sacré contrôle sur son sang froid, tout ce qui touche à la trahison ou à l’abandon a le potentiel de l’enrager, conséquence directe de son vécu. La jeune femme honorera toujours une dette, et à l’inverse rendra tôt ou tard tout affront envers elle. Œil pour œil, dent pour dent.

Enfin, et malgré son égocentrisme et son avidité, Eiko sait se montrer généreuse envers ceux qui le méritent. Elle ne laissera personne devenir trop proche d’elle à moins qu’elle ne juge la personne véritablement digne de confiance ce qui peut être long et difficile à prouver.

Histoire
Que se passe-t-il lorsque la plus démunie des créatures, rejetée par le monde et meurtrie par la vie, découvre qu’elle a la possibilité de tout posséder ? C’est là l’histoire de Hanae Nakayama. Née dans une famille extrêmement pauvre dans le quartier malfamé de Kamagasaki à Osaka, elle vécut ses premières années dans la joie et le bonheur malgré tout. Les parents de la petite étaient très endettés et leurs faibles revenus leurs permettaient tout juste à subvenir à leurs besoins, leur fille étant leur absolue priorité. Pauvre mais aimée, elle vécut heureuse jusqu’à ses 5 ans.

L’année de son cinquième anniversaire cependant, sa vie bascula. Les dettes s’accumulaient injustement, telle une pluie de malheur sur la petite famille, et alors que la situation devenait ingérable et que le manque de moyens devenait critique, un heureux évènement fit son apparition : la mère de la fillette attendait un second enfant. Cette bonne nouvelle marqua le début de sa descente aux enfers. Depuis plusieurs mois déjà, la jeune femme avait commencé à perdre l’esprit, probablement à cause du surmenage et de la malnutrition. Le père de la fillette avait quant à lui un regard plus terne que la boue qui dégageait à ce stade plus de mort et de défaitisme que de vie et d’amour. Affamés, détruits par la vie de misère qui leur avait été imposée par le ciel, les deux parents prirent la décision de faire un pari sombre. Pour le bien de leur futur second enfant, ils se séparèrent de leur fille. Hanae avait entendu sa mère le dire elle-même : c’était injuste non ? Que son enfant ne puisse même pas naître à cause du manque de moyens ! Qu’il n’ait pas même le droit à la vie à cause de leur situation. Pour accueillir ce nouvel enfant, il fallait qu’elle parte, elle qui était devenu ce fardeau, avide de nourriture, d’argent et de tendresse. Ces mots furent gravés dans la mémoire de la fillette par le ton  délirant de sa propre mère. Elle fut vendue au frère de son père, un homme à l’allure peu recommandable qui avait su trouver son paradis dans la misère. Bien sûr officiellement rien n’avait été déclaré, pas de changement de foyer et encore moins une transaction. Et pour l’école ? Officiellement, la scolarisation à domicile -qui était monnaie courante dans le quartier. Officieusement, rien du tout. La « vente » se révéla très simple, trop simple. La vie de la petite Hanae changea drastiquement, tout autant que sa vision du monde. Si son oncle gagnait mieux sa vie, il vivait malgré tout comme un déchet. Ce fut d’ailleurs la première impression de la fillette lorsqu’elle fut amenée chez lui. Tout était sale et délabré, et un nombre incalculable de bouteilles d’alcool et de cigarettes trainaient sur le sol et tout ce qui pouvait servir de support. Elle vivrait ici désormais, dans une petite pièce qui servait de sous-sol. Elle s’occuperait des tâches ménagères et serait en contrepartie nourrie et logée. Ses parents recevraient une somme modeste chaque mois en échange.  En vérité, elle vivait comme une moins que rien, ne mangeant jamais à sa fin, évoluant dans la crasse et la poussière et vêtue de haillons qui s’abîmaient à vue d’œil. Les chaussures, la chaleur et la satiété furent des choses dont elle oublia l’existence pendant les dix années qui suivirent.

Une découverte fut alors faite entre le sixième et le septième anniversaire de l’enfant, la petite était douée d’un alter bien plus intéressant que deux pauvres cornes esthétiques. Ce dernier lui permettait, via un contact sur une matière, de reproduire cette dernière au prix de ses calories. L’oncle vit en elle une véritable mine d’or. Mais les conditions de vie de la jeune fille n’en furent pas améliorées, au contraire. Elle était maintenant condamnée à copier des matières en tout genre, ce qui ne réussit guère au premier abord, sa capacité à recréer de la matière étant vraiment minimale. Déçu et énervé par la médiocrité de sa nièce, l’oncle la fit finalement copier du tabac et de la bière à l’occasion -ce qu’elle arrivait très mal à faire- car c’était mieux que rien, finalement.

Après un peu plus de dix ans passés dans cet enfer sans nom, la jeune fille était devenue un être animé de haine et de rancœur envers le monde entier. Et, petit à petit, elle planifia sa vengeance. Ses copies s’étaient améliorées après des années d’utilisation quotidienne, mais elle s’était gardée de le faire remarquer. Son plan était simple: la prochaine fois que son oncle et ses invités seraient assommés par l’alcool ou autre, elle déverrouillerait la porte de sa petite prison et prendrait enfin son envol. Cette idée la terrorisait complètement, mais sa peur de finir sa vie dans la misère était encore plus grande que celle de sortir, et de mourir dehors. La nuit de son échappatoire arriva finalement, et alors qu’elle mettait son plan en action et qu’enfin, au prix d’innombrables efforts elle parvint à déverrouiller la porte, elle tomba nez à nez avec son oncle, si imbibé d’alcool que l’odeur lui en donna la nausée. Ou était-ce de la peur ? Furieux et certainement pas maitre de ses actions, l’homme se jeta sur elle pour la renvoyer dans sa cellule. Alors que la possibilité de mourir se dessinait clairement dans l’esprit de la jeune fille, sa main se posa sur le vieux verre en plastique qui lui avait servi pendant toutes ces années. Un triangle grossier mais pointu se façonna dans sa main droite, et avant qu’elle n’ait le temps de comprendre ce qui se passait, elle se retrouva couverte de sang, le morceau de plastique rigide planté dans le cou de son gardien de prison ébahi. Quelle ironie. La première matière qu’elle avait réussi à copier, la matière la plus banale et dénuée de valeur venait de mettre fin à son cauchemar.

S’en suivit une nuit de course où le temps sembla s’écouler différemment. Hanae se réveilla finalement des heures plus tard à des kilomètres du lieu du crime, haletante et en sueur, mais des souvenirs très flous en tête sur ce qu’elle avait fait entre temps. Elle prit alors une décision : puisque le monde la voulait dans la misère, elle deviendrait la plus puissante, la plus riche et la plus influente des femmes. Un rêve tordu et idéalisé? Assurément. Mais sa détermination tranchait déjà les cieux et sa soif de vengeance façonnerait les marches de son ascension.

Les sept années suivantes furent celles qui changèrent véritablement la vie de l’adolescente.  Elle devint d’abord une petite frappe des quartiers pauvres, une livreuse qui pouvait fournir tous types de produits dès lors qu’elle parvenait à mettre la main sur un échantillon l’espace d’un instant. Très vite, elle se mêla aux gangs locaux et leurs mauvaises fréquentations pour augmenter clients et ventes. Bien sûr son chemin était loin d’être parfait, entre délinquance et illégalité, sa vie n’était certainement pas aussi belle qu’elle le voulait... mais dieu qu’elle était excitante ! Un jour cependant, la jeune fille disparut aussi subitement qu’elle était apparue, et coupa tout contact sans laisser de traces. Parallèlement, une nouvelle businesswoman fit son apparition à Tokyo. De fil en aiguille, ses petits coups et ventes d’adolescente lui avaient ouvert des portes vers un monde des affaires plus sombre encore, mais bien plus lucratif. Eiko Yoshida naquit alors, et commença lentement à s’imposer comme un pilier du marché noir, capable de fournir n’importe quoi tant qu’on y mettait le prix. Côté légal, elle possède de larges parts d’actions profitables de plusieurs marques de vêtements ou de parfums et une bijouterie de luxe. Evidemment le tout n’est qu’une façade qui sert à dissimuler la véritable provenance de ses fonds. Vilains, organisations criminelles, revendeurs… un nombre grandissant de groupuscules se fournit désormais dans ses stocks. Peu à peu, son commerce grandit en même temps que son réseau. Son but ? Remplacer, racheter, écraser le reste et créer son monopole, ou en tout cas pas loin. Une partie de son but est atteinte cependant et à ce jour les commandes personnalisées et sacrément précises sont devenues sa spécialité. Et qui dit commande spéciale, dit mettre la main sur des éléments spéciaux, rares ou difficiles d’accès. Cela requiert parfois un emprunt discret à durée indéterminée dans un entrepôt secret, ce qui crée de l’emploi pour des délinquants plus ou moins débutants par exemple. Les instances demandant à la jeune femme d’utiliser son Alter représentent aujourd’hui une part infime de ses transactions mais qui rapporte beaucoup. Quand au reste, la majorité de ses revenus proviennent du marché noir, et occasionnellement de la vente d’information.

Ayant atteint un niveau de vie dont la plupart des gens ne pourraient que rêver d’avoir, Eiko continue de s’implanter toujours plus profondément dans l’économie illégale du Japon. La balance pèse en sa faveur mais elle sait mieux que n'importe qui que rien n’est gravé dans le marbre, et gare à quiconque se mettrait sur son chemin.

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Endeavor
Messages RP : 4

Feuille de personnage
Titre: Héros Incandescent
Expérience: ???
Alter: Hell Flame
Rang S+





Endeavor
Rang S+
Mar 15 Juin - 19:47


« Fiche Validée ! »

Classifié en tant que Vilain, au rang C


Enfin ta validation. Une vie tragique qui mène au crime...
Mais avant de commencer à nous conter tes récits et aventures fascinantes avec les autres membres du forum, il va te falloir :

→ Recenser ton avatar. (Ici.)

→ Faire une fiche technique. (Ici.)

→ Et, si tu le souhaites, faire une fiche de Prouesses. (Ici.)

Encore bienvenue et bonne aventure à toi parmi nous !


«Plus Ultra !»


Codage par Saphira pour EPICODE
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