Arima croisa les bras calmement contre son torse, souriant un peu à l’inquiétude de Kanade à son égare, ce qui lui permit de ne pas faire un malaise sanguin à la vue des magnifiques perles se tenant devant lui. Il ne pût s'empêcher de penser que s'il était dans un eroge, il choisirait volontiers la route du harem à cet instant précis. Il sourit donc un peu plus, secoua la tête devant Kanade, doucement, avant de les regarder une à une.
- Ne t'en fait pas pour ça, c'est une simple bêtise quand j'étais enfant, plus de peur que de mal crois moi. Je ne ressent plus rien avec cette main, c'est tout. Mais tu n'as pas à t'en faire, je peu comprendre que la vue d'une telle marque t'intrigue. En général, personne en la voit vu que je porte toujours des gants, donc ce n'est pas surprenant que cette question t'es échappée, j'aurais très probablement réagit pareil.
Il s’avança et, doucement, déposa une main sur le haut de la tête de Kanade, lui caressant doucement pour bien lui faire comprendre qu'il ne lui en voulait pas le moins du monde. Non, ce n'était qu'une relique du passé, pas quelque chose dont il avait honte ou quoi que ce soit d'autre. Il sourit et désigna le canapé devenu lit aux deux femmes, un regard confiant sur le visage, suivit d'un sourire triomphant, il secouant doucement un doigts devant le visage de Kanade, tout sourire.
- Voyons, tu me sous-estime Kanade-chan. Une première ? Ce ne seras pas nécessaire, après tout, j'ai deux mains. Qui à dit que les femmes étaient les seules à pouvoir faire deux choses en même temps ?
Il sourit aux deux femmes, et fit un clin d’œil ravageur à Katsuko qui semblait dans tous ses états, une petite revanche pour l’hémorragie qu'elle lui avait offerte plus tôt. Il rit un peu par la suite et patienta calmement qu'elles prennent place, utilisant une télécommande pour abaisser la luminosité de la pièce et faire comme si elle était éclairée par quelques bougies. Il avait l'habitude de faire ça, pour ses séances de méditations principalement, donc il savait comment faire, à défaut d'avoir assez de bougie pour éclairé le grand salon. Une fois les demoiselles en place, il se plaça entre les duex, leurs déposant chacun un baiser sur la joue, souriant.
- Sur ce, bienvenu au Valhalla mes demoiselles.
Il sourit et appliqua l'huile sur leurs dos, qu'il enflamma avec ses flammes bleues à très faibles température, juste assez pour offrir aux femmes une agréables sensation de chaleurs. Après quoi, il appuya sur le creux de leurs dos, doucement, avec les talons de ses mains, les faisant légèrement remonter, éteignant totalement la lumière maintenant que ses flammes bleues éclairait la pièces. C'était assez pratique d'avoir un contrôle total sur la température de ses flammes, bien qu'il n'aurait jamais penser utiliser cette perspective de son alter de la sorte avant ce jour. Mais il ne s'en plaignait pas, l'huile chauffait dégageais même une agréable odeur de miel chaud.
