Une nuit agité. [PV Athanasius]

Pourquoi les yeux ne se ferme pas ? Je suis couché dans mon lit à regardé le plafond, bien installé. Finissant par regarder l'heure, sûrement, car j'essaie de me coucher lorsqu'il est seulement 18 h 30. Pas si tard que cela ... Je devrais faire quelque chose plutôt que de resté couché ici à rien faire. En plus, j'ai un surplus d'énergie le soir que je dois dépenser pour mieux dormir. Me relevant en frottant ma tempe de mes mains fatiguer de ma journée d'entraînement que j'ai eu à l'école. Cela me permettait de m'endurcir les os d'avantage pour profiter le plus possible de mon Alter. Les os de mes mains en sont sensibles, mais je peux toujours les utiliser pour continuer mon périple de la soirée. Mon corps en souffrait autant, mais je dois m'y faire si je veux profiter de cet Alter qui peut me tuer. Je n'ai jamais vu encore sa force à 100 %, j'arrivais à peine à 30 % et mon bras se brise. Je dois continuer mes efforts et trouvé l'extrémité de ce pouvoir et ainsi sa limite même si j'ai bien peur de détruire tout ce qui se trouve autour de moi. Je me dis que si mon bras éclate si j'utilise 50 %, les gens qui n'ont pas un corps endurcis auront le même sort que mon bras, dont les victimes que je dois sauver. Cette école mon fait apprendre plusieurs trucs que j'y ai jamais pensés et me forcer à me concentrer sur une nouvelle méthode d'utiliser mon Alter sans blessé les gens autours, je finirais par trouver quelque chose.

M'habillant de mes vêtements déchirés, enroulant un grand chandail autour de ma taille et prenant le katana à mon père que je gardais avec moi. Je le cachais avec le grand chandail enroulé autour de ma taille, seul le bout argent du fourreau en sortais par en arrière et ainsi le manche à mon bassin. Le katana était scellé, je ne pouvais le sortir de son fourreau sans devoir faire plusieurs manipulations pour le sortir. Même encore présentement, il est émoussé, il n'est pas mieux qu'un bâton de Baseball en métal. Je me sens trop mal de le sortir et l'utilisé. Je veux juste conserver cette arme qui me donne chaud au cœur à chaque fois que je le sens contre ma taille. Prenant une bonne inspiration et sortis de la chambre. Peu importe la situation, je ne l'utiliserais pas, il me sert de décoration, mais surtout de réconfort. Permettant de garder mon calme plus facilement lors des moments intenses. Je venais le prendre dans mes mains dans mon dortoir après chaque journée d'école pour faire disparaître la mauvaise énergie qui coule en moi et ainsi dans ma tête.

Je me suis rendu à la place marchande, un grand homme pose la main sur mon épaule. Me retournant en fronçant les sourcils. Un héros avec son habit en plein service, pointant le katana. Que veut-il celui la encore ...

Hey, jeune homme ! Qu'à tu là sur ta hanche ? Ne me dis pas que tu te promènes avec ce Katana ? .. Mais attend ! Les gravures sur son fourreau ce n'est pas ?

Atsuoka ... Oui, c'est son katana.

Atsuoka ! Mais oui, je m'en souviens ! J'ai été à l'école avec ! ... Tu dois être son fils Komae ?

...

Pas très bavard, pourtant, il me disait que t'était une vraie boule d'énergie !

...

Mais ! ... Ho désoler ! Je ne voulais pas faire revenir ces pensées ! Moi-même, je digère mal son départ après ces années, mais que fait tu avec son katana ?

Je m'en sers pour mon réconfort.

Puis-je le prendre ? J'aimerais bien vérifier quelque chose si tu me le permets.

J'ai été obligé de lui laisser. Le connaissant, ils me l'auraient retiré. Il cherchait à le sortir de son fourreau, mais rien ne bouge. Cherchant à tiré de toutes ces forces jusqu'à ce que je remarque quelque courant électrique sortir de ses bras. Essoufflé, me le redonne.

Et bien ! C'est vraiment le sien ! Tu sais comment l'ouvrir ?

Non, son système est trop complexe, à croire qui a soudé son katana avec son fourreau.

Une bonne chose, mais je garde tout de même un œil sur toi. Fait attention avec ça ! C'est peut-être la seule arme que je tolère, car je la connais parfaitement avec ton père, mais ne fais pas de connerie ! Pas aiguisé, j'espère ?

Je connais l'histoire et je ne peux même pas le sortir de son fourreau. Seul, lui peut manipuler le matériau sans le brisée.

Du coup, j'ai beaucoup à faire ! Passe une belle soirée et profite bien ! Si tu a besoin d'aide, tien moi au ... Courant !

....

Hee .. Courant, tu sais ? Électricité ? ... Bon ok, je te laisse.

Je le regardais partir. Relâchant un soupir. Remettant le katana sur ma hanche. Quelque mouvement agile de ma main sur le haut du fourreau rapide et je montais la lame apparaître d'un millimètre hors du fourreau, juste regardé la lame si elle est en bon état à la base. Le remettant lui fait faire un clic pour dire que c'est verrouiller. Oui j'avais menti, mais je ne voulais aucunement prendre de chance pour qu'on me le retire. Le bruit des gens ont camouflé ce petit clic, ayant donc la paix. Remettant mon chandail par-dessus pour le cacher puis retourna dans l'allées marchandes. Je regardais quelques trucs très intéressant. Le soir sombre éclairé par les lumières des allées fut une belle vue qui me détend. Repensant à la petite blague manquée du héros. Je me rappel pas de son nom, mon père l'avait dit, mais je m'en souviens plu ... Enfin bref, avec de la pratique ça aurais pu être drôle. Gardant mon air sérieux en regardant les marchandises. J'avais fini par acheter quelques vêtements affichés qui était intéressant et quelques friandises et une boisson énergisante que j'avais pris à un dépanneur pas trop loin. Tout cela dans le même sac sauf ma boisson. Je le savais que c'était mauvais, mais une de temps en temps, c'était pas mal ... Comment je vais faire pour dormir à présent ? Oups ! Regardant autour de moi pour voir les trucs. Me grattant la tête, je ne savais pas trop quoi faire à présent.

18h, l'heure du crime ! Du moins, c'est ce qu'aurait espéré Athanasius. Cela faisait plus d'une semaine que sa lame n'avait pas bu, qu'il n'avait pas senti la sensation de la chair se déchirant sous ses coups. Si seulement il pouvait trouver quelque chose pour tromper son ennui, quelqu'un pour le divertir le temps qu'il trouve sa prochaine victime. Cela faisait un an qu'il avait commencé sa nouvelle vie, et qu'elle année ça avait été. Une année rythmé par des cris, des larmes, des suppliques... Que de douces mélodies pour Athanasius. Mais il en voulait plus, et surtout, il se lassait des passants. Trop faible, trop facile. Même les agents de police n'avaient procuré qu'une difficulté mineure... Ce qui lui fallait, c'était des utilisateurs d'alters ! Eux au moins ne le décevraient pas aussi facilement ! Il espérait bien remédier à ça ce soir ! C'est pour ça qu'il s'était positionné en haut d'un bâtiment surplombant les allées marchandes. L'endroit grouillait de monde, donc était en permanence surveillée par des héros, du moins il l'espérait.

Après ce qui lui sembla une éternité, Athanasius aperçu un héros dans la foule. Enfin ! Il prit alors soin de cacher son sabre, le déposant dans le compartiment secret d'une mallette contenant un télescope cassé qui lui servait de couverture. Alors qu'Athanasius était en train de s'en rapprocher, le héros posa sa main sur un homme. Plutôt jeune, vêtu tout de noir avec d'imposants bandages au niveau du coup. Plutôt imposante comme apparence. Mais ce qui marqua le plus Athanasius, ce fut ces yeux rouges, froids et perçants. Rien d'étonnant de se faire accoster par un héros avec cette apparence de vilain !
Plus étonnant encore, ce dernier portait un katana à son flanc ! Le héros le prit dans ses mains, et après avoir tenté de l'ouvrir en vain, le redonna à son propriétaire ! Voilà qui était une première pour Athanasius ! Jamais il n'avait vu un héros rendre son arme à quelqu'un... Et dès lors que le héros eu le dos tourné, le jeune homme, avec une précision et une rapidité exemplaire, sortit le katana du fourreau de quelques millimètres, ne serait-ce que pour narguer ce héros crédule. "Voilà quelqu'un des plus intéressant" pensa Athanasius. Toute sa morosité et son ennui venaient de s'évaporer. Il se devait d'en apprendre plus sur ce curieux personnage.

Il s'attela alors à le suivre discrètement, attendant la bonne occasion pour l'aborder. L'important maintenant était de ne pas le brusquer. Une mauvaise première impression pouvais être très handicapante pour entamer une conversation. C'est alors qu'il remarqua que le jeune homme avait fini de faire les magasins. C'était sa chance. Vérifiant que son masque était bien en place, Athanasius s'approcha de l'étranger, les épaules décontractées, essayant de se faire le moins menaçant possible.

"Bonjour jeune homme, je me présente : Athanasius Gottwald ! C'est une bien belle arme qui sied à votre flanc ! Que diriez-vous d'aller prendre un verre pour tromper l'ennui en cette belle soirée ?"

Bon, ce n'était pas parfait, mais au moins Athanasius avait réussi à ne pas paraître bizarre, du moins il l'espérait.

Il est sûrement le temps que je retourne au dortoir finalement. Il n'y a pas grand chose à faire. Jusqu'à ce que j'entends une voix ainsi qu'une apparence d'un homme juste au côté me parler. Quelqu'un d'autre à le culot de venir me parler et ainsi me déranger ? Retournant mes yeux vers la personne. Voyant un masque cacher son visage et ainsi de belle paroles sortir de sa bouche. Je pouvais déjà sentir le vilain jusqu'ici. J'avais plusieurs raisons, au moins un héros, on pouvait ressentir une certaine protection. Celui-ci dégage un stresse qui m'écrase, jusqu'à ce que je pense à ce monstre qui à voler la vie à mes parents me détend, me disant que j'ai déjà vécu plus pire. Restant un moment immobile à le fixé au travers des trou du masque en gardant un air froid sans cligner des yeux. Prenant une voix plus base pour garder une subtilité.

Hmm ... J'accepte pour le verre, mais ton masque te trahit. Je vois déjà tes intentions, mais j'en ai complètement rien à foutre. À-tu un lieu à proposer ?

Mon regard se détache de son masque quelques secondes pour observer son corps et ce qu'il tient dans sa main. Je ne pouvais pas vraiment dire ce qu'il se trouvait. Surement une fameuse arme dont on peut bien ce douté. Il avait parlé de mon katana, ce qu'il veut dire qu'il m'observait pendant que le héros l'avait dans les mains en tentant de l'ouvrir. À moins qu'il est de bons yeux lui aussi. Il peut toujours avoir dix mille hypothèses, mais jamais que je le saurai à moins que le cherche à lui faire avouer. Ça peut être un homme aux bonnes intentions aussi ou bien qui me propose à travailler avec. Je me fais souvent trop d'idée pour rien, mais je préfère rester froid et me jeter dans la gueule du loup. Je le sais qu'il y a un héros qui m'observe au moins à cause de mon arme. Donc si je me retrouve dans une mauvaise situation, il peut au moins venir régler son problème. Pour l'instant, je préfère prendre cela tranquille et attendre ce qu'il veut dans la tête.

Au moins, s'il me dirait quelque chose à propos de son masque qu'il a peur de son apparence, qu'il n'a pas de visage ou bien que c'est pour cacher une blessure comme que j'ai mon bandage autours du cou. Me dirigeant finalement par moi-même en lui tournant le dos. Je connaissais bien un lieu qui serais plus apte. Il en avait un sur le coin de la rue qui était pas mal.

J'en connais un près d'ici .. Pas mal du sens qu'on va avoir la paix pour ce parler sans être entouré de tous ces sauvages.

Il avait un café pas trop loin. Quelque chose à grignoter ça serais pas si mal en même temps. Je commence à avoir la dalle à force de regarder toutes ces nourritures autours de moi. Les lumières avaient le goût de me donner un mal de tête. Je ne me fiais pas au héros qui traînais dans les parages. Jamais que je me fis sur quelqu'un d'autre, je ne tiens qu'à moi-même s'il arrive quelque chose. Je n'ai pas mon permis d'utiliser mon Alter, ce qui me désavantage. Je l'utiliserais tout de même, je ne me laisserais pas abattre alors que le monstre est toujours vivant à quelque part. Venant m'installer à une table, une des seules tables qui n'était pas éclairée.

Bon ... Qu'as-tu à proposer ce soir ?

Ayant gardé toujours cet air sombre et froid. Ayant les coudes sur la table, la tête droite à le fixé. Je cherchais quelques indices sur lui pour mieux le comprendre ainsi que ses intentions. Ignorant comment ça peut aller. Ça peut bien aller comme que ça peut virer au mal. Je m'attends toujours au pire. C'est bien un défaut comme une qualité, car parfois, la personne est bien et je le repousse sans le vouloir.

Alors qu'il essayait de paraître le plus amical possible, Athanasius obtint une réponse des plus froide. Il fut pris de court ! Il avait pourtant suivi toutes les étapes pour se présenter amicalement. Bonjour, check. Se présenter, check. Un compliment, check. Il était décidément plus facile de tuer que parler.

"Je... Je suis désolé si j'ai l'air intimidant... Pour tout dire je n'ai pas l'habitude de parler à grand monde", en tous cas de vivant pensa-t-il.
"Je sais que mon masque ne me rend pas des plus rassurants, mais je t'assure que je n'ai aucune mauvaise intention à ton égard. Je le porte pour éviter de créer la panique à cause de mon alter, tu comprends... Il est plutôt... dérangeant je dirais. Mais bon, je suis quand même content que tu veilles bien que nous discutions!! Je dois bien t'avouer que je ne sais pas trop où nous pourrions trouver un endroit bien."

Athanasius ne put s'empêcher de remarquer que le jeune homme le dévisagea tout le long de sa réponse. Son regard le détailla de part en part, avant de s'arrêter sur sa mallette. Le regard froid de son interlocuteur était perçant et vif, et Athanasius ne put que se rendre à l'évidence : le jeune homme le suspectait très fortement d'être un vilain ! Il ne put s'empêcher de réprimer un sourire à cette pensée. Le jeune homme possédait une vivacité d'esprit admirable pour son âge.

Soudainement, il se retourna est se mit à marcher dos à Athanasius, le guidant vers un endroit où ils pourraient avoir la paix sans "tous ses sauvages". Voilà qui était fort venant de la bouche de ce qu'il pensait être un apprenti héros ! Appeler les passant des sauvages ouvertement, devant quelqu'un qu'il trouve louche ! Il faut avoir un sacré courage, ou un sacré cynisme pour pouvoir le faire sans arrières-pensées.
Peux de temps après, ils arrivèrent à un petit café, qui au plaisir d'Athanasius, était peu remplis. Il accompagna le jeune homme à une table, une des seuls sans éclairages, qui après s'être assis recommença à l'inspecter.

"Ce que je te propose ce soir ? Rien de bien excitant, j'en ai bien peur. C'est juste que j'ai aperçu ton interaction avec le héros tout à l'heure... Et c'était impressionnant ! Comme tu l'as berné avec ton sabre, c'était magique ! Ça m'a donné envie de te parler, voilà tout. Tu dois être un aspirant héros non ? Pour qu'il te laisse repartir avec une arme, comme ça. Et j'avais raison de venir te parler ! Alors que tu me suspectes d'être un vilain, tu t'es comme même assis à la même table que moi ! Alors j'ai une autre question pour toi : pourquoi ?"

Alors qu'il était plongé dans sa tirade, une serveuse s'approcha pour prendre leurs commandes

"Je prendrais un verre d'eau, avec une paille."
Il se tourna vers le jeune homme.
"Et toi, qu'est-ce que tu veux ? Profite, je t'invite."

Hmm .. Il sort de bonne raison, il est devenue tout d'un coup moins confiant. Je lui ai brisé la confiance minime qu'il avait par ma manière d'agir ? Il parait autant moins dangereux que la première vue. Ce n'est sûrement que la première vue qu'il donne. Reste à savoir si ça se poursuit ainsi. Facile de paraître faible pour planter un couteau dans le dos. Arrivant a la table, rajoutant.

Cela ne doit pas être si terrible que cela pour ton visage. Cela reste ton choix. Ont à tous un côté de notre Alter qui nous fait peur.

Peur ? Le mien peut me tuer n'importe quand si je ne fais pas attention. Une puissance trop élevée et je signe mon arrêt de mort automatique et ainsi celle autour de moi. J'ai passé près d'y laisser en étant jeune avec ce monstre qui m'a agrippé par le cou, mais si je ne l'aurais pas fait, je ne serais sûrement pas ici en ce moment. Ensuite l'écoutant enchaîné ces propos. Il paye le verre avec ? Je devrais plutôt songer à relaxer un peu. À me détendre, comme le dit mon père, d'accepter la compagnie des gens. Parlant de mon katana une fois de plus. Retournant vers la serveuse.

Une limonade pour moi tout simplement ... Je te remercie Athanasius.

Posant la main sur mon sabre pour juste sentir sa présence avant de remettre ma main sur la table. Il m'en avait lâché de bonne remarque aussi que je n'avais pas pensée. Ignorant tout de même ce qu'il y a derrière la tête.

Il me laisse simplement partir avec, car c'est le sabre à mon père qui était toutefois héros avant de finir sa vie dans les griffes d'un monstre géant qui à attaquer la ville il y a quelques années, il connaissait ce sabre en ayant travaillé avec. La raison pourquoi je m'assis à la table tout de même est simple. Je n'ai peur de qui que ce sois et je m'en fiche pas mal de ce qui se passe. Ça sert à rien d'aller ce cacher, j'aime mieux aller direct en face-à-face et ce parler dans le blanc des yeux. Il arrivera ce qu'il doit arriver, rien est impossible.

J'avais fait exprès de venir dans un coin plus séparé et tranquille pour voir comment il va agir dans les prochains moments. Voir si je peut moins le soupçonner ou bien si je dois continuer à cherché à faire cracher le morceau. Si sa doit aller à la violence, je n'hésiterais pas de le laissé au héros qui rôde ou bien, je le ferais projeter plus loin avec mon alter et je partirais dans les airs sur un toit pour voir s'il va tout de même continuer. Je dois absolument arrêter de m'imaginer des scénarios. Cela ne sert qu'à des moments urgent, mais pour l'instant, il n'y a rien d'urgent. Vaux mieux profiter de l'instant pour relaxer et parlé tout simplement. Ce que je dois faire. Je me suis souvenue de ce que les gens ont vu à la télé ce jour. Je voyais les images repassé en boucle lorsque j'étais à l’hôpital. Les bâtiments détruit, en feu, quelques corps au sol et ainsi un enfant qui a frôlé la mort. Ayant laissé une explosion qui fut secouer le monstre. Ensuite un homme musclé au cheveu blond qui le sauve et qui en fait qu'une bouchée de ce monstre qui fut capturé plus tard. Mettant ensuite l'homme en grand écran avec son pouce à l'air. Il y avait eu à la fin des images de chaque héros décédé en tentant d'arrêter ce monstre. Assurant que le monstre est capturé et grandement surveillé. Ensuite les journaux qui ne parlaient que de l'incident et de cet enfant hospitalisé pour des blessures graves au cou et au os brisé. Mon bord de tête rouge ne passe pas inaperçue, heureusement qu'avec les années avancées. Presque personne ne s'en souvient. Quelque chose me dit qu'un jour, il va revenir. Je ne l'espère pas ... Je l'espère en même temps pour pouvoir en finir avec. Seul mon bandage autours du cou me sauve des cicatrices qui peuvent faire rappeler ce moment violent d'un enfant coincé. Je ne veux pas paraître pour une simple victime. Je n'ai jamais eu le courage d'aller parlé à All might de ce jour là ...

Que fait tu de bon dans la vie a part ça ? Je me nomme Komae Atayo

"Crois-moi, je ne porte pas un masque parce que je me dérange, mais plutôt par ce que je terrifie les autres... On verra plus tard si tu es assez digne de confiance pour que je te révèle mon visage. "

La serveuse revient avec les boissons. Athanasius, qui se sentait de bonne humeur, lui laissa un pourboire conséquent. Après tout, l'argent lui importait peu. S'il venait à lui manquer, il n'aurait qu'à trouver de nouvelles victimes.

"Ce sabre appartenait donc à ton père auparavant... Mes condoléances pour tes parents, ça n'a pas dut être facile pour toi. Il me semble cependant que ça ne t'as pas empêcher de devenir un jeune homme fort et indépendant.
"
Athanasius marque une légère pause, puis d'un geste élégant et agile, prit une gorgé de son eau au travers de la paille. Du moins, c'était le plan. La réalisation montrait une image tout autre : la paille se cogna plusieurs fois contre son masque, et il dut finalement guider la paille à la main afin que celle-ci puisse passer sous le masque sans encombre.

"Ton courage est exemplaire, mais cela pourrait bien te causer des soucis dans le futur. Ce serait dommage, je pense. Qui transmettrait l'héritage de tes parents si quelque chose venait à t'arriver ?"

Voilà là bien un symbole de ce système corrompu. Cet enfant, dont les parents se sont sacrifiés pour "le bien public", à été laissé marqué et abandonné par ce dernier. Le voilà à charger tête baissé sur le moindre danger qui se présente à lui, n'accordant aucune valeur à sa vie. Pire encore, au lieu de l'épauler, les héros le surveille à cause de son apparence, apparence qu'il a héritée à cause de leurs incompétences. Cette pensée de cette enfance gâchée, de cette innocence perdue pour un monde qui ne le mérite pas enragea Athanasius. Sans même s'en rendre compte, il avait commencé à serrer de plus en plus fort son verre. C'est lorsque celui-ci se brisa qu'Athanasius sortit de cet état second.

"Je suis désolé à propos de cela. Juste... je me suis laissé emporter par quelque chose qu'y m'a énervé... Pour répondre à ta question, dans la vie, je distribue une autre forme de justice, s'y on peut dire. Une justice plus efficace, plus juste."

Digne de confiance ? Comme si j'allais crier à tout le monde ce qu'il est. Je parle à personne, seulement les gens qui viennent me voir pour quelque vérification ou bien tentées de me parler. Préférant gardé le silence pour cette fois. Cela ne servait à rien que je rajoute quelque chose. Préférant resté tranquille sur ce sujet dans ce cas. Il n'avait que des belles paroles, des paroles qui peuvent toujours me poignarder dans le dos. Facile de prononcer, mais difficile à le faire pour de vrai. Parlant de mon père par la suite que j'ai préféré gardé le silence une fois de plus. Je n'ai rien d'autre à y dire sur ce sujet. Regardant ensuite sa paille qui rebondit quelques fois sur son masque pour finir par la guider et aller sur sa bouche sous son masque. On pouvait bien voir l'habitude de ne pas en porter. Ma curiosité avec cette personne ne fait que s’agrandir.

Parlant ensuite de mon courage et l'héritage. Mon comportement qui peut déraper de son chemin trop facilement. Il marque un point dessus, mais je cherche toujours à me contrôler d'avantage dessus pour pouvoir avancé en espérant qu'il arrivera quelque chose de bien un jour. Gardant mon air sérieux et froid. Prenant ma boisson et en profite pour en boire quelques gorgées, la boisson n'était pas si mal. Sucré et son goûts pas trop acide.

Il arrivera ce dont il arrivera. Si j'ai à mourir, cela ne sera pas plus dramatique, le monde va continuer à tourner et les gens vont continuer à vivre. Peut-être de la tristesse pour certain, mais ces tout. Avec ce qu'il se passe avec ces histoires d'alter le monde est viré à l'envers et le nombre de morts n'a fait qu'augmenter. Donc on finira tous par y passer un jour.

Je n'avais que le monstre dans ma tête. Cette chose énorme ... Je ne peux le décrire, mais il fait partie de ma liste noire et ennemis juré. Aucune excuse acceptée de sa part. Ma façon de penser est plus brusque mais plutôt réaliste. J'accepte la mort que si elle en vaut la peine. Je fera tout cependant pour ne pas me faire attraper, mais si je dois me sacrifier, je le ferais. Je déteste les gens, mais au fond de moi, je le sais qu'ils sont bien et chacun de nous ont à notre propre façon de penser qui est différent. Mon regard rivé sur son masque ce retourne vers son verre qui fissure, sa main semblais être rigide et appliqué une forte pression. Cette énergie lourde fut de plus en plus lourde. Restant tranquille en relevant mon regard vers lui en prenant une bonne inspiration. En même temps, son verre lui explose à la main, je m'y attendais vue la force dont il appliquait, donc il avait quelque chose dans la tête qui pouvais lui aussi le rendre dans cet état de colère ? Prenant note que parfois, on n'est pas si différent des autres. Sa réponse répondait bien à quoi je m'y attendais. Le regardant et finissant par afficher un moindre sourire en coin de lèvre. Gardant le regard froid.

Hm .. Je ne peux rien dire pour cela, car je pense encore à sa aujourd'hui. Je ne le fait pas, car je ne respecterais pas la tradition de famille, sauf pour une personne, enfin une chose qu'il reste fermer auprès des mains des autorités, mais tant qu'à moi, j'aurais été heureux que sa vie lui soit arrachée. Donc je ne peux rien dire de mal sur cela vue que dans ma tête ça reste logique. Je ne cherche qu'à évité à ce que cet incident arrive à quelqu'un d'autre et finis dans cet état que je me retrouve.

Venant boire le reste de la limonade d'un trait. Essuyant sa bouche en continuant de regarder l'homme devant moi. Reprenant mon air froid sans mon sourire. Déposant le verre sur la table. Pensant un instant que si j'aurais cherché à brisé le verre, je n'aurais rien fait et sûrement me faire mal à moi-même. Pensant par la suite à l'homme ainsi que ses paroles. Quelque chose que je n'ai pas dit aussi pour voir sa réaction. Je ne cherche pas à tuer, car si je commence, je ne m'arrêterai pas. Je ne ferais que tomber dans une colère sans fond et tenté d'étancher ma soif de vengeance en me défoulant sur des innocents qui ne demandent qu'à vivre normalement. Me disant que ça doit sûrement être pareil pour lui. S'il tue bien des gens pour sa ''Justice'' ces qu'il peut tuer n'importe qui sans trop de problèmes.

Je ne poserais pas plus de questions à propos de ta justice. Car je le sais tous qu'ont à notre propre façon de penser à propos de notre justice idéal. Personne n'a vécu la même vie, personne n'a la même pensée et personne ne peut respecter les règlements à 100 %. Même pas les héros ! Il va toujours avoir un enchaînement d'événement qui va causer le non-respect. Personnellement, le bon vieux règlement œil pour œil, dents pour dent permettais de se tenir tranquille. Une fois le problème réglé, on en reparle plu et sa fini-là. Aujourd'hui, un monstre en tue une vingtaine, mais on ne peut pas le tuer, il faut l'emprisonner alors qu'il peut bien revenir plus tard en tuer vingt autres par la suite, tant qu'il est vivant, il cause toujours un problème. Tu dois sûrement comprendre ce que je veux dire par là.

Je continue à abordé ces discutions pour continuer à analysé ses réactions. Je connais bien encore la raison de l'emprisonnement. Je vois cela comme une souffrance par le temps en restant confiné sans possibilité de sortir. Peut-être qu'il va se sentir concerné aussi. J'aimais bien regarder les réactions pour voir leur faiblesse et ainsi voir avec quoi je peux m'amuser.

Mais comme que je dis, nous serions tous mort un jour si rien n'améliore. L'être humain réagis surtout lorsque le mal est fait, une fois qu'il est trop tard. Je me suis lancé dans un de ses sujets alors qu'à la base, je n'aime pas vraiment parler ... Tu a bien réussi à me faire parler.

Il est vrai que je n'aime pas parler, mais je fait beaucoup de compromis pour jouer la comédie. Il ne suffit que de faire comme si tout était normal.

Au plus grand soulagement d'Atanasius, Atayo ne sembla pas lui tenir rigueur pour son coup... d'absence, dirons-nous. Encore mieux, il ne le jugea pas non plus lorsqu'il lui évoqua son idée de justice... "alternative". Loin de condamner ses actions, Atayo semblait partager un point de vue quelque peu similaire : un problème mort ne posera plus jamais problème ! En entendant ses mots sur son envie assumer de vouloir tuer celui qui lui a enlevé ses parents, Athanasius ne put réprimer un sourire. Voilà un exemple de héros, de VRAI héros ! Un qui ose dire ce qu'il pense, faire ce qui doit l'être sans honte ou crainte du regard des autres. Avec des héros comme ce jeune homme, le monde ne pourrait que se porter mieux, et ce système corrompu ne pourrait que s’effondrer!!

"Je suis désolé si je suis trop franc, mais j'ai besoin de savoir.Si tu penses que le système de justice actuel n'est pas efficace pour gérer les problèmes super-héroïques, et qu'en plus tu trouves que le jugement des vilains est trop laxiste : Pourquoi es-tu devenu apprenti héros et pas un Vigilente ? Pourquoi te forcer à suivre ses règles qu'y ne correspondent pas ? Tu veux très clairement venger tes parents, mais en suivant la voix des héros d'état, tu vas juste te lier les mains et te rendre incapable d'agir efficacement."

Alors qu'il scrutait le visage afin d'observer du jeune héros afin d'observer la moindre de ses réactions, il se rendit compte que ce dernier l'observait tout aussi intensivement. Comment avait-il fait pour ne pas le remarquer ?!? Cela rappela à Athanasius de rester sur ses gardes. Il était après tout qu'un tueur en face d'un futur héros en pleine rue marchande ! Il s'étonna de la curiosité qu'il portait pour Atayo. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas eu autant d’intérêt pour un autre être vivant. Dans tous les cas, une chose était sûr : Il se devait de surveiller la carrière de son interlocuteur du mieux qu'il le puisse ! Ce dernier était beaucoup trop intriguant pour ne pas être destiné à réaliser de grandes choses !

Pour le moment, il lui fallait continuer la conversation dans ce sens, afin de voir jusqu'où Atayo serait prêt à aller pour ses convictions, et si possible, se présenter à lui comme un allié potentiel dans ses futurs problèmes.

"Dis-moi, tu te promènes avec le sabre de ton père, mais est-ce que tu sais t'en servir ? Je pense qu'il serait d'en ton intérêt d’apprendre à le maîtriser. Je ne peux pas voir de revanche plus douce que d’abattre le monstre qui t'a pris tes parents avec l'arme que brandissait jadis ton père. Si tu souhaites apprendre, je me ferai un plaisir de t'enseigner."

La discutions s'en allait sur un drôle de chemin. Bizarrement, cet discutions lui plaisait bien, parlé de ce système de justice qui est bien et mal fait à la fois. C'est bien de ce priorisé sur la protection des gens, capturé les vilains, mais il y a toujours des exceptions qui sonne mal dans la tête. J'aimais mieux rester discret, mais il semblait bien en d'accord. Au moins une personne avec qui je semble bien m'entendre avec. Le regardant et affichant à peine un petit sourire en coin. Histoire de rabaisser la tension un peu pour voir comment il peut toujours réagir. Toujours aussi intéressent d'observé les habitudes sur les gens pour ensuite s'en servir ailleurs.

Tu veux savoir pourquoi ? Car il y a des vilains qui ont le mérite d'être capturé pour les simples crimes qu'on voit. Sa rendu la, je n'ai rien à dire. Les crimes les plus graves, rendus la, ces autres choses. Je fonctionne plus à œil pour œil, dents pour dent. Si je juge que la personne devant moi est trop dangereuse et les crimes trop graves, je ne me gênerais pas. En étant un héros, c'est là qu'ont à une bonne idée de ce qui se passe avec certaine information pour mieux régler l'ordre. Donc je prendrais une occasion pour faire le travail moi-même si j'en juge trop dangereux. Calculer le nombre de fois qu'une mauvaise personne dangereuse à pus se retrouver en liberté malgré les prisons hautes sécurités. Rendu la foutre des millier de dollars pour surveillé une personne qui s'échappe par la suite et fous encore plus le bordel et qui détruit des viee qui ont des familles, c'est mieux de s'en débarrasser tout de suite. J'attends surtout d'avoir le feu vert pour un certain monstre et m'en chargé, mon futur changera ce jour la, mais au moins j'aurais l'esprit tranquille pour le restant de ma vie.

Je me faisais autant observer que je le regardais, c'était presque un concours pour savoir qui se détaillais le plus possible. Le mieux à faire était de rester détendu et continuer à faire ce qu'ont à faire. L'écoutant parlé à propos du katana. Il pourrait donc m'en'apprendre d'avantage ? Bien intéressent, mais pas avec cela. Il avait un bon point et j'aimais bien l'idée de me voir en face du monstre abattu avec l'arme de mon père à la main. Hélas, ce n'est pas si simple, il faudra que je l'aiguise, mais son métal est si endurcis que cela va me prendre plusieurs heures à perfectionner ! Surtout sans abîmer ses gravures. S'il y a quelque chose, je verrai pour m'en prendre un autre que je pourrai jouer avec pour le plaisir sans avoir peur de la brisée. Haussant les yeux dans le ciel noir en réfléchissant un peu. Ensuite l'image de sa mallette avec une drôle de forme. Le dos écrasé contre le dossier de la chaise. Mon regard retombe vers lui avec un regard sournois et un sourire mauvais. Son pied tapait légèrement sur sa valise qui a une drôle de forme.

Tu la avec toi n'est ce pas ? Ce qui peut expliquer certaines choses. Je ne peux rien dire encore la, au moins ton idée de camouflage est intéressent. Je sais déjà comment m'en servir, il me l'avait appris. Reste que ce n'est que la base, j'aime bien ton idée de la scène, mais l'arme de mon père ne sera pas au combat. Un deuxième sera présent pour marquer ma voix. Je garde cette invitation qui me semble très intéressent par exemple. J'en profiterais pour te montrer comment utiliser le fil de la lame sans avoir besoin d'utiliser le moindrement de la force et d'avoir autant de dégâts qu'une frappe.

Je gardais toutefois mes distances. Un inconnu d'un soir ne fait pas un ami. Ça me prendra plus de temps à voir quelle personne il est. Je le savais que je devais surveiller mon langage un peu plus que cela pour ne pas attirer certains problèmes avec un héros qui rôdent dans les parages. Surtout, s'il me voit avec lui et son style sombre, il va falloir faire encore plus attention et cherché à être discrets en agissant comme de bonne personne. Il en avait de quoi a parlé avec cet individu, sûrement un vigilant justement. Ont nous à dit de s'éloigner d'eux et d’appeler les autorités, mais dire que je peux enfin parler de certains sujets avec une personne sans paraître bizarre. Me sentir enfin accepté. C'est bien le sentiment donné que je dois faire très attention. Surement cela la raison des gens qui se font attraper. Reprenant son air sérieux par la suite.

Je trouve déjà que t'en sais beaucoup pour le décès de mes parents. Avec ce que j'ai remarqué comme réaction, tu ne sembles pas avoir eu la vie facile, je me trompe ? Je porte beaucoup plus attentions au gens dont je suis supposé faire gaffe, car je le sais qu'on n'est pas si différent au final. Je le sais qu'ont à tous quelque chose qui nous à fait mal et on cherche à ce rattrapé au final à notre façon.

Étant un jeune homme très observateur, curieux et sournois. Je me fais un plaisir de faire les liens sur certaines réactions pour créer une certaine histoire dans ma tête. Toujours de plus en plus de lien ce font dans ma tête et ainsi des idées. Je réfléchis trop, j'avais pensé à prendre quelque chose qui puisse ralentir ma tête parfois, mais il était très utile dans des moments plus intense et dans les épreuves physiques de Yuei que nos professeures nous donne. Surtout pour observer la scène de crime et faire les liens, c'était mon point fort.

Au fur et à mesure que la conversation, Athanasius était certains d'une chose : il avait réussi à dissiper, si ce n'est qu'un petit peu, les soupçons et la méfiance que portait le jeune Komae à son égard. Cette idée permit à Gottwald de se détendre un peu plus. Son interlocuteur ne le jugeait pas pour ses propos. Voilà encore un élément des plus encourageant. Sa réponse, cependant, laissa notre ami un peu plus sur ça fin. Elle était bizarrement, comment dire ça... Naïve ?

"Tu sais, je suis d'accord avec toi, tous les crimes ne méritent pas la peine maximale. Cependant, une fois héros, faire appliquer ta propre justice serait... Mal-avisé, je dirais. Tu pourras peut-être t'en sortir si jamais un incident "malencontreux" se produit la première fois, mais si tu venais à agir dans l’intérêt public plus souvent, tu serais alors toi aussi considéré comme une menace."

Athanasius laissa expirer un profond soupir, il n'arrivait pas à croire qu'il essaye de donner des conseils pour éviter qu'Atayo ne gâche son don, et des conseils sincères qui plus est ! (du moins, lui semblait-il)

"De plus, pas tous les maux se trouvent du même côté de la barrière. Chaque partie participe à détruire cette société et sa pureté... Mais tu t'en rendras compte bien assez vite, crois-moi !"

C'est alors qu'une révélation frappa Athanasius !!! Si Komae Atayo l'avait autant captivé, c'est parce qu'il représentait une forme de pureté plutôt rare et non-orthodoxe !
Un jeune homme empli de conviction, défiguré par le passé, mais pourtant voulant faire le bien autour de lui. De plus, il reste fidèle à lui-même et possède une franchise droite et juste. Il est l'opposé de cette société perdu, emplie de préjuger et d'hypocrisie.  

Athanasius laissa échapper un rire très discret : "ahah... En voilà un spécimen..."

Alors qu'il était en train de faire sa proposition concernant sa volonté de lui enseigner ses connaissances à l'épée, Athanasius remarqua que ce dernier semblait intéressé par sa proposition. Une fois qu'il eu fini, Atayo leva les yeux aux ciels, et après quelques minutes de réflexions, posa de nouveau son regard sur le masque d'Athanasius, au niveau où se trouvait ses yeux. Puis, d'un mouvement léger et souple, il tapota du pied la malle que Gottwald trimbalait par tout temps, alors qu'une expression sournoise se formait sur son visage.

"Je suis désolé de t'apprendre que, bien qu'elle soit plutôt logique, ta déduction, concernant l'utilité de ma mallette, est fausse. J'aimerais tout de même que tu évites de donner des coups dessus, aussi faible soit-il."

Athanasius se baissa afin de saisir la mallette, qu'il posa sur la table avant de l'ouvrir.

"Comme tu peux le voir, cette mallette contient mon télescope, et bien qu'il soit déjà endommagé, j'aimerais qu'il reste dans le meilleur état possible afin de ne pas avoir à payer trop cher les réparations."

Bien qu'il ne porte pas grand intérêt au sort du télescope, ce dernier s'était révélé être une couverture pratique pendant les dernières semaines. De plus, Athanasius souhaitait garder un maximum d’avantages de son côté si les choses venaient à mal tourner, et la localisation de son arme était sans aucun doute un de ses plus gros avantages.
Comme il avait escompté, sa proposition piqua l'intérêt du jeune héros, qui se proposait même de lui montrer le peu qu'il savait sur le maniement de la lame. Parfait! Il pouvait maintenant être sûr qu'Atayo le voyait au moins un peu plus comme un allié potentiel que comme une menace. Voilà qui était réjouissant ! Il crû même apercevoir une expression de soulagement sur le visage du jeune Komae, expression qui disparût aussi vite qu'elle s'était formée.


"En effet, j'ai eu quelques problèmes au travers de ma vie, mais ne parlons pas de sujet si déprimant lors d'une ci belle soirée d'été. Mais félicitation en tout cas, tu as un très bon sens de l'observation, c'est plutôt impressionnant ! Je suis sûr qu'il doit être très utile dans tout apprentissage super héroïque."

Je continuais à l'écouter. Ses paroles ressemblaient bien à ce que je m'y attendais. Je m'y attendais à ce qu'on me dise quelque chose du genre, que je me retrouverais du mauvais côté. Je gardais le silence pour ce sujet, je n'ai plu rien d'autre à lui dire dessus. Était-ce bien mon but une fois ma quête terminée ? On verra une fois le moment arrivé. Pour l'instant j'aimerais mieux me tenir tranquille et voir comment la vie va se dérouler, si un jour, je vais regretter amèrement mes paroles ou bien juste les exécutés. Seul le temps me le dira. Il avait eu une drôle de réaction à un certain temps que je n'ai aucunement pu capter à cause de ce foutu masque. Si simple de cacher un visage derrière un masque. Ce que je peux dire, je peux m'amuser à le regarder par les trous du masque. Je n'y voyais toujours rien, seulement deux trous vide. Il n'avait sûrement pas de visage, je me posais la question à moins que le masque avait un tel effet. Restant tout aussi étrange. Ensuite venue sa valise sur la table, me montrant effectivement que c'était un télescope. Fronçant les sourcils en continuant à l'écouter. Plusieurs images se défilaient dans ma tête. Pourtant, la courbure d'un katana ne rentrerait pas à l'intérieur. Finalement, il doit avoir raison. Jusqu'à ce que j'y pense un peu plus. Ce n'est pas nécessairement un katana, en plus niveau comparaison de la longueur de ma lame et ce télescope, je pouvais bien me l'imaginé sur ma taille ainsi. Très futé celui la, continuant à bien y tenir à son télescope. J'aimerais mieux gardé silence à cela et que surveiller s'il y aura des mouvements louche au niveau de ce télescope. Haussant les sourcils en le voyant et me grattant le dessus de la tête. Faisant mine de rien.

Et bien, pas mal comme télescope. Je n'y connais pas grand chose sur ça a part regardé au loin.

Ensuite, il y a eu le sujet que j'ai lancé à propos de sa vie. Ce dernier changea de sujet immédiatement et me félicitant pour avoir un bon sens de l'observation, ce qui me fut afficher un sourire en coin. Mon regard qui était à présent verrouiller dans les trous de son masque. Ralentissant la cadence tranquillement des clignement des yeux pour pouvoir continuer à le regarder un peu plus longtemps et écouter le moindre bruit autours que j'entends des gens au loin ce parler. Ce fut de plus en plus tranquille vue que l'heure avance.  J'approuve le fait qu'il ne l'a pas eu facile et qu'il n'a sûrement pas accepté son passé s'il ne veut pas simplement en parler. J'en prend note, j'ai tendance à questionner les gens comme lui pour mieux savoir la raison qui les poussent à agir ainsi et j'ai bien remarqué qu'ont est pas si différent, la seule différence ce retrouve à cherché à régler le problème à notre manière et la façon de voir la société par la suite, ainsi celle d'accepté son passé ou la refusé. Ce sont trois points ont l'importance sur le choix de la personne et ainsi son clan choisis. Les délits mineur se retrouve avec une mauvaise éducation souvent et profite de leur Alter en pensant qu'ils ont tout ce qu'ils veulent par la force. Tandis que les gens les plus puissants se retrouvent dans la même situation. Un incident, l'acceptation et choix à prendre pour résoudre la blessure. Pour l'instant, on ne vit que pour régler notre blessure émotionnelle de puis que les Alters son arrivé, mes cours en histoires ont été pratique, sauf que les armes à feu dans le passé prenaient place au Alter. Aujourd'hui, une grande partie de la population ont droit à ces armes, au Alter. Interdis de les utiliser, mais ont à toujours le choix sous la main si facilement. Une de mes questions à été répondu ce soir.

Je te remercie bien. J'aime mieux avoir ma propre logique, les gens sont trop obsédé par la logique des héros qu'ils oublient leur propre logique et ce font faire un lavage de cerveau. Ensuite pas étonnent qu'on se retrouve dans une situation ainsi. J'ai l'impression qu'on se retrouve dans un film, malheureusement la réalité est beaucoup plus violente que dans les films.

Ensuite, j'ai eu un frisson, il avait un regard de poser sur moi au loin. Mon cœur avait arrêté de battre lorsque mon regard ce retourne du masque pour regarder le héros de tantôt à me regarder en plein dans les yeux avec un air si sérieux, les yeux me perçais l'âme. J'avais l'impression qu'il voulait m'en prendre à moi. Restant dans cette position pendant quelque temps pour réfléchir à une tactique. Il était là à l'autre côté de la rue au travers des gens qui passent. C'est un héros, faut montrer que tout va bien ! Regardant l'homme devant moi et rigolant un peu en me grattant le derrière de la tête.

Une belle pièce de collection, tu devrais le garder près de toi ! Je suis désolé de l'avoir accroché avec mon pied.

Retournant mon regard légèrement vers lui. Ayant repris un léger sourire, fut partis pour continuer sa tournée quelques secondes après. Relâchant, un soupire, j'ai ressenti toute la pression chuté. Reprenant mon regard sournois d'habitude, prenant un ton de voix plus bas.

Et bien .. On va avoir la paix un peu plus longtemps finalement. On se faisait surveiller sans le savoir. Bref, je n'ira pas plus loin que ça pour l'instant. On ne peut pas parler librement sans avoir des yeux et des oreilles un peu partout. On pense être seul et finalement, on était devant des millions de regard sur les réseaux.

Suite aux remarques d'Athanasius, Atayo plongea pendant un moment dans le silence. Il était certain que ce dernier c'était plongé dans une phase de réflexion intense. "Ce petit réfléchissait beaucoup. C'est une bonne chose : ce qui n'utilise pas leur cerveau finissent souvent les premiers dans la tombe."
Athanasius remarqua aussi un autre point : le regard de son comparse sur son masque se faisait de plus en plus insistant. "Logique" ce dit-il. Il est toujours difficile de converser sereinement sans pouvoir lire le visage de son interlocuteur. Les mimiques, les réactions, les gestes... L'être humain discutait sans même devoir prononcer un mot. On peu dire que l'humanité avait réellement un don, non plutôt un besoin pour la communication.

Atayo finit enfin par lui répondre. La première phrase était sans importance, comme quoi il n'y connaissait rien en télescope. Cela tombait bien, Athanasius non plus n'y connaissait rien !

"Je dois bien avouer ne pas non plus y connaître grand chose au télescope, je pratique l'astronomie en amateur. Ce télescope est un plus un héritage, si on peut dire.
Et oui, malheureusement, la vie est bien plus..."

Athanasius stoppa sa phrase sans même prendre la peine d'aller jusqu'au bout. Il commençait à être las de toutes ces formalités. Et Atayo semblait aussi s'en moquer, vu le peu d'attention qui lui portait. C'est ce que cru Athanasius, qui après quelques secondes d'observation remarque que le regard du jeune homme pointait en direction de la foule, encore pas mal garnis pour une heure aussi avancée de la nuit. Au bout de son regard se trouvait quelqu'un qu'il reconnut : le héros ayant interpellé Atayo précédemment. Son regard était fixé sur eux-deux, un regard empli de désapprobation et de méfiance. Voilà bien la preuve de l'arrogance des héros moderne, jugeant sur les apparences...

Atayo se retourna alors vers lui, puis émie un léger rire, un rire clairement forcer. Athanasius comprit immédiatement le but de la manœuvre : rassurer le héros et le faire partir. Il ne fallu pas longtemps à Atayo pour confirmer son hypothèse.

"Et bien .. On va avoir la paix un peu plus longtemps finalement. On se faisait surveiller sans le savoir. Bref, je n'ira pas plus loin que ça pour l'instant. On ne peut pas parler librement sans avoir des yeux et des oreilles un peu partout. On pense être seul et finalement, on était devant des millions de regard sur les réseaux."

"En effet, il est dur de sortir de la zone de surveillance en ces temps modernes. L'attitude de ce héros ne fait qu'appuyer mon point... Je viens d'avoir une idée. J'aimerais conduire une petite expérience, qui je pense sera des plus instructives."

Suite à ces paroles, Athanasius se releva, sa mallette à la main, et commença à se diriger en direction de l'artère marchande.

"Je vois que tu es toujours aussi intéressé par mon masque, et surtout par ce qu'il cache. Alors laisse moi assouvir ta curiosité tout en appuyant mon discours !!
"

Alors qu'il approchait du milieu de la rue, Athanasius, d'un geste rapide et fluide, fit tomber sa capuche avant de se retourner vers le jeune héros, son masque à la main.

"QUE LA LEÇON COMMENCE!"

Quelques secondes à-peine après avoir découvert son visage, plusieurs hurlements était déjà perceptibles, provenant de multiple direction. Athanasius ne prêta cependant aucune attention à la panique qu'il avait créé par sa simple présence, se contentent de fixer son compagnon d'un soir de ses orbites vides et froides.