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Le quatrième pouvoir [Natalya Rasperezapis]

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Sarah Lincoln
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Sarah Lincoln
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Jeu 11 Mar - 22:51
Rasperezapis ne lâchait pas l'affaire. Elle voulait des réponses complète. Cela surprenait un peu Sarah, qui pensait sincèrement que sa petite tirade de tout à l'heure était une manière d'en arriver à parler d'All Might (comme tant de médias Japonais aimaient le faire) mais il semblerait que ce n'était pas le cas. Avec la recul ça lui ressemblait bien. Rasperezapis avait suivi Aegis au Mexique. Elle savait comment l'agence s'y prenait avec le personnel local et que, la plupart du temps, elle n'avait pas peur d'en antagoniser quelques uns. Il fallait dire que, bien souvent, les héros locaux était une part du problème en lui même : si ils n'arrivaient pas à régler la situation seuls c'est soit qu'ils étaient dépassé, soit qu'ils ne voulaient pas s'y coller pour une raison ou une autre. En Amérique latine c'était bien souvent un mélange des deux.

Reste qu'au Japon c'était pire. La plupart des héros n'avaient même pas conscience du "problème" et ça, pour Sarah, c'était nouveau. Autant dire que ça ne la rassurait pas beaucoup.

"La team Idaten ? Rien à redire, de vrais amours. Idem pour Saha-Terra, c'est quelqu'un de très enthousiaste. L'opération c'est très bien passé, nous avons arrêté un trafiquant d'arme étranger. Vous savez, lorsqu'on est une multinationale de l'héroïsme, on apprend assez vite à travailler avec les locaux. La plupart des héros sont très territoriaux : ils travaillent dans une zone délimité qu'ils connaissent bien et n'en sortent qu'en cas d'urgence nationale. Ce n'est pas notre cas, il est donc normal qu'on s'appuie sur les premiers pour prendre connaissance du terrain. C'est une habitude, et ça n'apporte que du bon."

Quand aux baraquements, il en était tout simplement hors de question. C'était un excellent moyen de se retrouver nez à nez avec "quelque chose" de personnel et de compromettant en plein milieu de la caméra. Les employés d'Aegis étaient adultes, sexués et très franchement tous un peu bizarre. Mettre leur grotte en avant devant les médias japonais  était un excellent moyen de se les mettre à dos. En tant qu'officier supérieure, Sarah savait tout de même ce qui était à éviter.  

"Quand aux baraquements... Entre nous ce sont des zones privés, et je n'ai pas envie de ramener des caméras dans un endroit habité par d'autres. En plus nos horaires de travails ne sont pas stables, notre métier ne suit pas vraiment des horaires bien précis, je n'ai pas envie de déranger le sommeil de qui que ce soit. Je peux vous montrer notre garage si ça vous intéresse mais on commence à arriver à court de chose à visiter."
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Natalya Rasperezapis
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Natalya Rasperezapis
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Lun 15 Mar - 23:49
Vous voyez, c'est exactement ce que je veux dire. De vrais amours, quelqu'un d'enthousiaste, ça n'apporte que du bon, aucun terme avec la moindre connotation négative. Enfin si, territorial, si on veut, mais ça serait vraiment chercher la petite bête, pas la vérité. Une technique de paparazzi, pas de journaliste. En tout cas c'était bon à entendre, exactement ce que le public avait besoin d'entendre. Pas forcément sensationnel comme opinion, donc pas le plus vendeur, mais je préfère ça. La réflexion sur les héros, tous attachés à leur quartier, était aussi quelque chose de très vrai mais dont on ne parle pas forcément, un avantage de la perspective extérieure.

Quand aux baraquements… eh, j'aurais dû m'y attendre. J'avais pu voir où logeaient les soldats, au Mexique, mais les circonstances étaient très différentes. J'habitais sur la base, moi aussi, déjà. Donc c'était aussi un peu mon logement. Ensuite, je ne l'avais jamais vraiment filmé, parce que c'était de loin la partie la moins intéressante de mon voyage sur place. Ici, les choses sont différentes, le Japon est en paix et les membres d'Aegis vivent parmi la population. Forcément, ça donne moins envie de les voir déployer des mortiers et plus de savoir à quoi peut ressembler leur quotidien. Mais c'était chez eux, du territoire privé où ils menaient leur vie privé. Pas question de m'y incruster sans leur accord.

J'ai donc hoché la tête avec un sourire enthousiaste.

"Très bien, disons que nous finirons par le garage, alors ! Il va commencer à se faire tard de toute façon, donc c'est un bon moment pour boucler tout ça, je ne voudrais pas vous retenir toute la nuit."

En plus j'arrivais un peu à bout de questions utiles. Il m'en restait quelques-unes, et en théorie je pouvais continuer à l'interroger longtemps, mais on aurait lentement glissé vers les questions personnelles ou absurdes et c'était pas vraiment le but non plus. Non, la coïncidence était plutôt bonne qu'elle considère ne plus avoir grand-chose de plus à montrer.

Je l'ai laissée ouvrir la marche, elle savait mieux que moi où aller et il fallait encore fermer la pièce sécurisée. Même avec des soldats entraînés autour, il ne fallait pas laisser des armes de ce calibre traîner sans protection.

"Avant qu'on arrive. Monsieur Aegis est un héros atypique, le seul à diriger une agence internationale comme celle-ci. Quel est votre avis sur lui, et quelle relation entretenez-vous avec lui ? Avec une agence aussi grande, sans doute que la majorité des employés ne l'a jamais rencontré en personne."

Après avoir parlé d'All-Might et de Ingenium, c'était une évolution logique de l'interview. Le héros australien était une figure unique, et pour autant que je le sache il n'avait jamais mis un pied au Japon, pourtant voilà que des héros de son agence, qui suivaient ses méthodes et sa philosophie, étaient sur l'archipel. Assurément, il allait devenir une figure importante du Japon à l'avenir, directement ou non.


Natalya parle en bold #C9A87D
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Sarah Lincoln
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Sarah Lincoln
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Jeu 15 Juil - 22:11
Et voilà qu’elle la lançait sur le patron, quelle originalité. Avec les médias c’était toujours la même chose : monsieur Aegis par si, monsieur Aegis par là. Monsieur Aegis, jusqu’au bout des derniers jours. Monsieur Aegis la coqueluche des médias, qui n’arrivaient décidément pas à faire un sujet sur l’agence sans passer par lui. Sarah pouvait comprendre. C’est vrai que le bousin était intéressant, on ne croisait pas souvent des illuminés de cette catégorie dans le métier. Et puis, il faisait peur. Personne ne le disait comme ça mais, en face du patron, tout le monde avait l’impression d’être un steak frite. Et puis… le fait qu’il était capable de vous poser sa patte griffue sur les cheveux pour vous faire un sermon sur la théologie quaker n’aidait pas vraiment à se sentir en sécurité. C’était vraiment un homme oppressant.

Autant dire qu’il était parfait à son poste.    

"La plupart des héros pro ont rencontré le patron au moins une fois. Pour le reste du personnel c'est plus compliqué. Nous sommes une organisation internationale, et le vieux monsieur qui nous surveille n’a que deux jambes. Quant à ma relation avec lui, je dirais qu'elle est..."

Sarah chercha ses mots.

"Professionnelle ?"

Pas mal. C’était bien assez vague comme ça.

"Oui, je pense que c'est le bon mot. Monsieur Aegis est un sacré personnage. On en fait pas deux des comme lui."

Un coup de pied dans une porte de service plus tard, et tous les souhaits de Natalya furent réalisés. Un pas en avant, et les deux femmes se trouvèrent nez à nez avec le garage d’Aegis. L’endroit, bien ancrée dans ce qui ressemblait à une pièce souterraine, contenait divers véhicules au style militaire. Tous sans exception donnaient l’impression d’être flambant neuf.  

"Bienvenue dans notre humble garage. Comme vous pouvez le voir notre agence possède plus de véhicules que la moyenne mais c'est le prix à payer quand vous voulez transporter de nombreux auxiliaires sur des zones à risques. Cette configuration est particulièrement avantageuse en cas de catastrophes naturelles qui sont, comme vous le savez, assez courantes dans les archipels du pacifique. Nous avons les moyens de déplacer rapidement de larges groupes de blessés en cas de besoin, ce qui permettrait de relâcher un peu la pression sur les services d’urgences. Bien sûr, pour les problèmes plus humains, nous avons également des véhicules plus solides."
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Natalya Rasperezapis
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Natalya Rasperezapis
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Dim 29 Aoû - 16:00
La description était vague, et sans rien de bien neuf. Monsieur Aegis travaillait avec les membres de son agence, quelle révélation. Le sous-entendu, bien sûr, le non-dit, était révélateur. Rien de positif, que du général, pleins de façons de tourner autour du pot sans rien dire. La Major ne portait pas son patron dans son cœur, et sans la caméra, elle aurait sans doute de sacrés trucs à en raconter. Dommage, avec aussi peu de matière, il n'y avait même pas de quoi l'évoquer dans le reportage. Il aurait fallu creuser spécifiquement le sujet à côté, interroger plus de monde, aller essayer de le rencontrer peut-être, et ce n'était de toute façon pas ce dont je voulais parler.

Si un jour il venait au Japon, là ça vaudrait vraiment le coup. Ou si Aegis refaisait parler d'eux, pour un gros dossier d'investigation vraiment complet. Connaître les origines d'une organisation aussi influente serait forcément important pour comprendre ce qu'était vraiment Aegis, mais son armée privée avait sans doute dépassé le cadre de ce qu'il avait initialement prévu. La tête ne pouvait pas avoir un tel contrôle sur ses branches locales, et si l'avis de Lincoln était répandu parmi les membres de l'agence, alors sans doute que tout le monde ne demandait pas l'avis du patron pour tout et n'importe quoi.

Ce hangar, par exemple, il était sans doute au courant. Peut-être. Non, sans doute pas, c'était le genre de détails qu'on gérait avec la compta, on ne demandait pas au grand patron de suivre exactement qui avait quoi. Mais c'était sans doute le genre de vision qui lui ferait plaisir. Tous ces beaux véhicules de combat flambant-neufs, alignés parfaitement, prêts à déployer des cohortes de soldats bardés d'armes à travers le pays pour faire régner la loi, l'ordre et… la morale. A tout prix. Très impressionnant, très cinématique, un peu intimidant peut-être. Comme j'avais prévu un ton plutôt positif pour le reportage, insister sur la force de frappe de l'agence était un peu contre-productif, donc j'ai mis des images du garage mais plutôt brièvement. En insistant sur le transport de matériel et le déploiement rapide, tout ça. Et en coupant le son, parce que mon petit sifflement admiratif, c'était bien pour garder la major à l'aise et la faire continuer à parler ; mais à l'écran, ça aurait vraiment fait tarte.

"Effectivement, une flotte pareille doit être nécessaire pour déployer tous vos effectifs."

J'ai commencé à m'approcher, mais j'ai vite dû accepter la réalité : je n'y connaissais rien en matériel militaire. Pour moi, tous ces tacos se ressemblaient, impossible de dire lequel était quoi ou servait à quoi. En plus il commençait à se faire tard, et j'avais fait le tour des sujets que je voulais absolument aborder. Sauf un.

"Si vous deviez me présenter un seul véhicule, particulièrement emblématique d'Aegis, lequel vous choisiriez ?"

Les descriptions de matériel, ça rendait bien pour peu qu'elles soient bien rythmées. Et rentrer dans un camion, si elle acceptait de me montrer l'intérieur, ça serait l'occasion d'être vraiment en privée, juste toutes les deux, pour les sujets pas vraiment destinés au public. Et pour bien insister là-dessus, pour bien qu'elle comprenne que la suite de la conversation serait juste entre nous deux, j'ai coupé le drone et je l'ai rangé. Plus de caméra, plus d'enregistrement, et j'ai pris mon air le plus sérieux.

"Avant de partir, j'aurais une dernière question. Elle n'est pas destinée à mon reportage, donc pas besoin de langue de bois."

C'était ça, le truc qui me dérangeait depuis un moment. J'avais mis du temps à mettre le doigt dessus, à assembler tous les petits morceaux de problèmes pour arriver à une conclusion. Mais maintenant je pensais avoir compris, et je voulais une confirmation.

"Pourquoi Aegis est vraiment venu au Japon ? Pourquoi maintenant ? Vous pensez qu'une crise se prépare ? Ou c'est All Might qui vous inquiètes ?"


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Sarah Lincoln
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Dim 5 Sep - 17:28
"Nos MRAP personnalisés. Facile à produire et à utiliser, en zone difficile comme pour des missions de police. C'est une voiture blindée tout ce qu'il y a de plus pratique, excellente lorsqu'il s'agit de mettre quelqu'un à couvert."

"Avant de partir, j'aurais une dernière question. Elle n'est pas destinée à mon reportage, donc pas besoin de langue de bois... Pourquoi Aegis est vraiment venu au Japon ? Pourquoi maintenant ? Vous pensez qu'une crise se prépare ? Ou c'est All Might qui vous inquiètes ?"

Sarah fit une pause. Elle n'était pas prise de court, mais elle n'avait pas l'habitude de se faire interroger d'une manière aussi directe par quelqu'un qui n'avait aucune autorité sur elle. La plupart des journalistes essayaient d'être subtil lorsqu'ils avaient des questions "dangereuses" à poser. Rasperezapis était visiblement d'un autre avis. Elle connaissait Mindfeel. Peut-être s'était-elle dit que, en lâchant les faux semblants, ça pouvait mieux passer.

"Le off, ça n'existe pas."

Malheureusement pour elle, Sarah était aussi aidante qu'une porte de prison avec la presse.

"Je me contenterai juste de dire que, lorsqu'on travaille avec un régime parlementaire comme, au hasard, le Japon, on est obligé d'avoir quelques secrets. Pas de démocratie sans confidentialité, c'est bien connu. Reste que mon entreprise ne fait que fournir un service."

Sarah releva la tête avant de se caler les mains derrière le crâne. Si Rasperezapis était un tant soit peu formée, le signal était clair. Oui je sais quelque chose, non je ne peux pas vous le dire, pour le reste voyez avec mon avocat. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle était sérieuse. Ni Aegis, ni le gouvernement Japonais n'apprécieraient de la voir parler stratégie avec un membre de la presse, et encore moins avec cette journaliste là. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était détourner l’attention. Natalya pouvait être une plaie si elle le voulait, mieux valait ne pas trop se fermer de porte.

"Il y a pas que l'argent dans la vie hein, on est une boite héroïque pas un KFC. Reste que notre modèle n'a rien à voir avec des structures japonaises comme la Team Idaten. Si vous voulez savoir POURQUOI on nous a engagé, parce que là c'est vraiment le mot, on est venu sur demande, vous allez devoir cuisiner la structure qui nous paye. Et, comme vous êtes au Japon, vous devriez trouver à qui parler assez facilement. Toute la paperasse est accessible sur demande."

Ou pas.

Mais ça, Rasperezapis était assez grande pour s’en rendre compte d’elle-même.

"Est-ce qu'il vous faut quelque chose d'autre ?"
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Natalya Rasperezapis
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Natalya Rasperezapis
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Lun 6 Sep - 22:45
Le message était clair, et au moins il était aussi direct que la question. Elle ne me répondrait pas, parce que la réponse à ma question – quelle qu'elle soit – n'était pas destinée au public, moi comprise. J'espérais que la major me connaissait assez pour savoir que je pouvais faire la part des choses, et se rendre compte que ça n'avait rien à voir avec un quelconque reportage. J'étais inquiète, c'était un sentiment diffus qui ne me quittait pas depuis quelque temps. La cause n'avait rien à voir avec Aegis ou avec tout ce que nous avions pu discuter, j'avais plutôt peur de ce qui m'attendait au bout d'une autre investigation. Mais cette crainte lancinante avait réagi à ce qu'elle disait, elle m'avait poussée à réfléchir dans une certaine direction, et à finalement discerner quelque chose. Quoi précisément ? Je n'en savais foutrement rien, et visiblement personne ne m'aiderait à trouver. Mais il se passait bien quelque chose, et les personnes au placé étaient au courant.

Est-ce que j'allais essayer de savoir quoi ? Est-ce que j'allais creuser jusqu'à trouver ce qui inquiétait tant le gouvernement qu'ils fassent venir une armée privée de l'étranger pour renforcer la présence héroïque au Japon ? Je l'aurais fait, sans doute, si j'avais eu le temps. Avec le recul, je peux dire que ça n'a pas été le cas. Avant que je puisse m'y intéresser, la situation a dégénéré et tout le monde en a vu les conséquences. Quand à moi, j'étais trop occupée à apaiser mes inquiétudes personnelles pour me soucier de ce qui arrivait au Japon. C'est une autre, longue, histoire.

En tout cas, pour ce soir, il n'y avait rien de plus que je pouvais faire. J'avais tout ce qu'il me fallait pour mon dossier, j'avais vu et filmé tout ce qu'il y avait à voir sur la base, j'avais posé toutes les questions prévues et quelques unes de plus. Le peu que j'aurais encore voulu savoir, je ne l'apprendrais pas de cette façon. Il ne me restait donc qu'à me redresser, et descendre du véhicule.

"Ce sera tout, non."

Toutes mes affaires étaient empaquetées, je n'avais plus rien à ranger. J'ai juste fait le tour du capot pour venir serrer la main de la major.

"Merci encore pour la visite. Je vous enverrais une copie du reportage quand il sera terminé."

Et parce qu'on allait sans doute pas me laisser me promener seule, j'ai attendu qu'elle me raccompagne, mais le garage n'était pas très loin de la sortie. Comme s'il fallait déployer rapidement les véhicules, sacré coïncidence. Et c'est là, une fois dehors, que nous nous sommes vraiment séparées pour de bon.

"Au revoir, Major. Si vous restez à Tokyo, nous finirons sans doute par nous revoir !"

Fin de tournage, plus qu'à écrire et monter.


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