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Le monstre du placard [PV : Coy Igaki]

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Yuki Fujiwara
Messages RP : 88

Feuille de personnage
Titre: Red Cross
Expérience: 125/500
Alter: Morsure dopante
Rang D+





Yuki Fujiwara
Rang D+
Ven 15 Jan - 12:50
◄► Douche froide. ◄►


Yuki commence à avoir chaud, de bien des manières. Coy tente de désamorcer la situation, mais il est évident qu'elle a mis le doigt sur quelque chose et, même si a son âge c'est tôt ou tard suivant le point de vue, le fait qu'elle le fasse sans filet de sécurité aurait pu être grave. Heureusement ! Tomoe avait glissé ici et là des remarques et avait, même si dit comme ça cela pourra paraître mal, manipulée la petite pour éviter certaines situations. Sans ces balises, les repères de l'experte, Yuki aurait certainement très mal fini, pire que dans les plus glauques films ou roman pour adulte.

Mais ! Heureusement, ce n'est pas le cas ! Même si elle se pose des questions, même si elle ne se sent pas très bien, la situation ne dérape pas en tout cas ça semble bien être le cas. Elle se contente de lui faire un petit sourire un peu gêné, de rester collée contre lui le temps de se calmer au rythme de la berceuse que sont ses battements de coeur.

"Je pourrais me passer ou me couper de bien des choses, même ma famille apparemment. Mais pas de toi grand-frère."

Elle dépose un petit bisou sur son tordre, par-dessus son vêtement.

"La cité de la vilenie."

Un grand classique pour certain, un film d'enquête à l'humour absurde et parfois un petit peu salace, mais sans aller vers le vulgaire, ou un enquêteur très gauche tente de résoudre une série d'attaques d'un vilain très vilain passant d'un cliché des méchants les uns après les autres. Yuki est toujours à moitié plié de rire à la scène de "course-poursuite" ou quand ils font semblant de manquer de budget et font tout un passage bruité à la bouche.

En tout cas, le film choisi, elle se dirige vers la salle de bain. Puisqu'elle a chaud, l'idée idiote qui lui ai venu en première...

"Froid ! Mais quelle idée j'ai eue !"

Très bonne question, une bonne douche froide à l'ancienne, autant dire que même si elle se sèche ensuite avec une serviette, elle continue de grelotter. Néanmoins, exit le cliché de la demoiselle qui vient immédiatement coller sa victime masculine avec les bouts glacé ou même plus las. Non, elle se frotte la peau et reste contre un radiateur.

"Désolé, je reviens dans quelques minutes le temps d'avoir une peau à température correcte pour que tu puisses me cajoler sans choc de température."

Yuki aime être gâtée et chouchouter les autres, mais elle n'aime pas que ce soit désagréable alors elle fait attention. Prendre des câlins aussi au sérieux, c'est bien elle tient. Une fois prête, elle retourne auprès du jeune homme en portant... Absolument rien. Heureusement pour elle, il n'y a rien de compromettant de visible même sans un gramme de tissus. Elle se colle rapidement à lui et tire la couverture pour couvrir un minimum son corps même si ce n'est pas nécessaire. Même si elle n'a plus froid, elle continue de trembloter un peu, elle a des petits spasmes. Elle pourrait ne rien dire et ne faire semblant de rien, mais mentir par omission, est par définition un mensonge.

"Pardon, je suis un peu confuse et bouleversée, car... Je viens de comprendre la portée de certaine de mes gestes et de mes vilaines habitudes surtout envers un mâle comme toi et... et..."

Elle vient à peine de réaliser... Elle se couvre le visage avec ses mains dans une mimique indiquant et impliquant immédiatement une honte, d'exaspération envers elle-même intense , d'embarras.

"Et je viens de me glisser dans tes draps complètement nus !"

Elle place alors ses mains sur ses yeux, un peu rapidement, mais sans le claquer. Avant d'entourer sa tête avec le bout de sa queue dans un effort de former un bandeau improvisé. Elle va alors dans son placard sans le lâcher pour prendre un de ses hauts, t-shirt ou chemise, bref le plus long et/ou large qu'elle trouve pour l'enfiler en vitesse. Vu leur taille respective, ça lui fait comme une robe et donc, ne va pas la gêner ou bloquer sa queue. Elle le lâche alors et retourne vraiment contre lui cette fois-ci.

"Tu sais... Je ne suis pas prête à avoir d'enfant. Je n’arrive pas encore à m'assumer moi-même, alors un petit être fragile et innocent... Mais... Si ça devait être le cas..."

Elle ne finit pas sa phrase, elle a déjà retrouvé une température plus haute sans en arriver à celle précédente et préfère se taire le temps de redevenir normal, plus ou moins. La conclusion de sa phrase sera donc une main posée tendrement sur celle de Coy et de la lui caresser. Elle continue d'avoir ses frissons et ses secousses sporadiques. Allongée contre lui, elle a le regard, le visage qui le supplie de la protéger, elle semble presque plus fragile que jamais, prête à se briser. Tellement qu'elle en arrive à une chose qu'elle n'a jamais faite avec lui et n'a plus fait depuis qu'elle est enfant. Elle est légèrement recroquevillée sur elle-même et suçote son pouce.
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Coy Igaki
Age : 21
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Localisation : Musutafu

Feuille de personnage
Titre: Le chevalier blanc
Expérience: 55/700
Alter: Pangolin
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Coy Igaki
Rang C
Sam 16 Jan - 2:51
Ma diversion eut un effet mitigé. D'un côté elle me sourit et prit son temps pour se calmer. D'un autre côté, son sourire n'était pas plus franc qu'un autre et je pouvais sentir l'inconfort en émanant. De plus, le temps de pause avant sa réponse pouvait tout aussi bien dire que ce que j'avais lancé pour changer l'atmosphère n'avait eu aucune conséquence et qu'elle devait se calmer elle-même. En tout cas ce qui était sûr, c'est qu'elle se calmait.
Yuki avait ses habitudes et je devais lui faire confiance pour savoir ce qui l'aidait ou non, peut-être aurais-je même dus lui demander plus tôt ? Je devrais lui demander un jour, ça pour sûr.
Une fois sa session de respiration terminée elle osa me répondre, enfin, seulement à l'une des deux questions.

"Je pourrais me passer ou me couper de bien des choses, même ma famille apparemment. Mais pas de toi grand-frère."

Ce commentaire pouvait paraître anodin venant de Yuki, la fille pleine sentiments, d'arc-en-ciel et de pâquerettes, mais pour moi ça ne l'était pas du tout. J'appréciais toujours savoir que je servais à quelque chose, que ce que je faisais n'était pas sans sens.
La fille au cuir blanc à mes côtés était l'une des seules et rare personnes à donner un sens à mon existence. Voir celle-ci validée ne pourrait pas me rendre plus heureux.
Je lui souris donc à grandes dents et la serrai dans mes bras peut-être un poil trop fort, ce qui ne l'empêcha pas de continuer.

"La cité de la vilenie."

Classique ! Comédie policière du bon vieux temps, du moins, d'un temps où je n'étais pas. C'était l'un de ces films qui ne mourraient pas et de qui la réputation s'étendait non seulement à travers le monde, mais aussi les âges. Pour preuves cela faisait plus de 100 ans qu'il avait été filmer. Incroyable n'est-il pas ?
Peu d'œuvres peuvent se dire immortels, le futur fluctuant à chaque seconde. Celles l'étant n'étaient d'ailleurs sûrement pas faites pour survivre aussi longtemps, les consommateurs seuls pouvant choisir la durée de vie d'une de ces créations.
Mais je divague. Vague. J'approuvai le choix de Yuki et la laissai partir en direction de la salle de bain pour je ne savais quelle raison.

Je devinai très vite au son de la douche qu'elle essayait de se refroidir, puisqu'elle bouillonnait. Je pris donc le temps m'étant donné pour sortir le futon du placard. Même si les choses pouvaient changer entre elle et moi ça ne se passerait pas en une nuit, le futon me serait donc utile. Une fois installé sur le sol j'allai remplir le bol de Pop-Corn vide avec des céréales. Un deuxième film, un deuxième snack !
Je me posai donc sur le lit une nouvelle fois et peu de temps après la douche s'arrêta. Je l'entendais greloter de ma chambre, lui demandant si elle avait besoin d'aide. Mais elle semblait s'en sortir avec ses bras et un radiateur. Je n'allais pas rendre cette soirée plus tendue qu'elle n'était.

En l'attendant je scrollai à travers la plateforme de streaming pour me trouver une série à regarder plus tard, j'étais si concentré que je n'avais même pas remarqué qu'elle m'avait déjà rejoins. En revenant sur le film choisis, elle m'interpella.

"Pardon, je suis un peu confuse et bouleversée, car... Je viens de comprendre la portée de certaine de mes gestes et de mes vilaines habitudes surtout envers un mâle comme toi et... et... Et je viens de me glisser dans tes draps complètement nus !"

Se cachant les yeux de honte puis les miens elle était incroyablement gênée alors que je n'avais rien remarqué. Et moi je ne pouvais pas m'empêcher de rire, tout en rougissant bien sûr, mais le fou rire était présent. Elle utilisa sa queue comme bandeau de fortune, autant dire qu'elle ne servait pas à grand-chose, mais gentleman que j'étais, je fermai les yeux la laissant s'habiller de MES t-shirts.

"Tu sais je n'avais rien vu du tout, tu n'as pas à avoir honte. Eheh."

Habillée de mon plus grand haut elle me rejoignit une nouvelle fois sans pour autant perdre le nord avec ses idées. Ça semblait vraiment être une soirée bizarre pour elle. Oh et pour moi aussi bien sûr !

"Tu sais... Je ne suis pas prête à avoir d'enfant. Je n’arrive pas encore à m'assumer moi-même, alors un petit être fragile et innocent... Mais... Si ça devait être le cas..."

Elle finit sa phrase sa main dans la mienne. Ce qui, devais-je l'avouer, était très symbolique, du moins pour moi. Mon cœur se mit à battre plus rapidement que d'habitude, même si je lui criais dessus intérieurement d'aller plus doucement. Je n'avais pas le temps de m'emballer, la fille à côté de moi tremblait, je montai donc bien la couette et l'entourai une fois de plus de mon bras comme ci elle était mienne.

Son pouce dans la bouche telle une enfant je pouvais dire que la soirée touchait à sa fin. Et quelle soirée ! Je démarrai le film et ne touchai même pas mon bol, trop occupé à réconforter ma chère Yuki.

"Je ... je ... Dit moi, qu'est-ce qui t'aide à te calmer ?"
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Yuki Fujiwara
Messages RP : 88

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Yuki Fujiwara
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Sam 16 Jan - 16:42
◄► Celui qui est spécial. ◄►


Il lui dit en réponse à sa bêtise sur sa nudité, qu'il n'a rien vu, qu'elle n'a pas à avoir honte.

"Zut ! Même pas un petit regard ?"

Même si elle utilise le second degré et dans le fonds le pense un peu, elle ne peut pas cacher une certaine gêne, mais pas pour ce qu'il pense.

"En réalité, on ne voit rien de particulier quand je suis nue et je n'ai pas plus de problèmes à me balader au naturel. C'est surtout pour toi, pour ne pas te mettre mal à l'aise."

En tout cas, le film et mit et avance, elle se sent mal elle le sait et il le sait. Il demande alors en balbutiant ce qui pourrait l'aider, la réponse ne se fait pas attendre, elle s'agglutine contre lui et vient délicatement retirer son haut à lui pour poser son oreille contre sa poitrine. Ainsi posée, elle continue de regarder le film en suçant son pouce. S'il devait avoir le moindre doute sur l'effet de la manœuvre, rapidement il peut en sentir les effets, ses tremblements cessent, ses muscles se décrispent, sa respiration se calme et son visage, pour le peu qu'il peut en voir s'adoucit également. Elle ne peut plus faire cela avec ses parents et elle ose rarement obliger Tomoe à une telle manœuvre même si sa thérapeute ne se gêne pas pour le faire d'elle-même quand elle sent que la petite est dans tous ses états.

D'une voix douce, qui s'éteint alors que ses nerfs sont calmés et que son corps se sent suffisamment bien pour se laisser aller, elle glisse d'une voix douce.

"Tu es spécial."

Avant d'ajouter presque plus comme un murmure, mais qui reste audible.

"J'aime beaucoup de gens, mais pas comme toi. Mon amour pour toi est unique, il est différent, il m'est de plus en plus indispensable."

Avant de finir avant de réellement tomber de sommeil...

"Je t'aime... Manière tout à fait... Totalement romantique... Veux porter tes enfants... "

Au niveau où elle en est, elle dort maintenant de un poing fermé, un orchestre entier, un troupeau de buffles qui charge ou un groupe de vuvuzela ne la réveillerait pas. Totalement vulnérable, elle ne se laisserait pas dans cet état avec n'importe qui, mais Coy n'est PAS n'importe qui, il est spécial. Elle se sent bien avec lui, en sécurité, appréciée et soutenue, il a été longtemps un grand-frère, maintenant il est bien plus qu'elle ne l'aurait jamais imaginé.

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Coy Igaki
Age : 21
Messages RP : 143
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Titre: Le chevalier blanc
Expérience: 55/700
Alter: Pangolin
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Coy Igaki
Rang C
Dim 17 Jan - 2:03
Il semblait qu'être gentleman n'était plus à l'ordre du jour puisque malgré avoir refusé de la regarder discrètement se changer, elle aurait apparemment préféré l'inverse. Je captais bien le 2nd degré, enfin c'était ce que je pensais. Yuki n'était pas vraiment du genre à faire des blagues ironiques comme celle-ci. Mais mieux valait, pour mon cœur, ne pas la prendre au sérieux, une tension de plus et il aurait pu exploser.

Elle continua le sujet, disant qu'on ne voyait finalement rien de spécial même sans aucun tissu et donc que c'était juste pour ne pas me gêner. Pour être honnête, j'avais envie de demander des preuves pour voir si j'allais vraiment être gêné, néanmoins il était déjà trop tard. Je la prévenus seulement du fait qu'elle n'avait pas besoin de se restreindre à mes côtés, comme d'habitude.

"Ca va sonné plutôt ... Bizarre, mais si tu veux te balader nue fait donc. Je m'habituerai bien un jour ou l'autre, je veux que tu reste à l'aise avec moi."

Le problème de la nudité s'étant aussi vite ouvert que fermer ce soir, il nous emmena directement au lancement du film. Lors duquel je lui posai la question la plus importante actuellement, pour moi du moins, comment la calmer ?
C'était toujours bien de savoir comment tranquilliser une personne que ce soit pour les situations de grand stress ou d'autres cas. Pour elle apparemment, j'étais sa solution... Ce que je voulais dire c'étais que j'étais littéralement son aide. Elle se posa sur mon torse après avoir enlevé mon t-shirt et comme par magie elle se mit peu à peu à arrêter de trembler.
Était-ce un second alter de ma part ? Mes battements de cœur étaient-ils capable de réduire le stress de ceux qui l'entendaient ? Qui savait vraiment à par Yuki.

Ainsi collés il ne fallut pas longtemps pour qu'elle commence à s'endormir, ce qu'elle ne semblait pas beaucoup faire ces temps-ci. Je faisais plus attention à elle qu'au film à partir de ce point, à partir du moment où elle commença à me dire que j'étais spécial, ce que j'adorais.

"J'aime beaucoup de gens, mais pas comme toi. Mon amour pour toi est unique, il est différent, il m'est de plus en plus indispensable."

Le volume n'était pas haut, mais je pus comprendre et ... qu'est-ce que c'était cute. J'avais mal aux joues à force de sourire. Comment une seule personne pouvait-elle transmettre autant de joie aux autres ? COMMENT ? SÉRIEUSEMENT DITES MOI !
En tout cas si elle me trouvait indispensable il fallait bien se dire qu'elle l'était tout autant pour moi. Sans elle je serai encore dans le même état qu'à mon expulsion. Sans elle je ne serai probablement plus Coy le Chevalier Blanc, mais Coy tout court.
Ce n'était pas tout, plus elle s'enfonçait dans le royaume des rêves, plus elle dévoilait de choses ... intéressantes.

"Je t'aime... Manière tout à fait... Totalement romantique... Veux porter tes enfants... "

Je ne savais pas quoi répondre. Après tout ce pouvait être à cause du sommeil qu'elle se mettait à dire ces choses, ou même à cause de la tension dans l'air. Je ne savais pas du tout, mais j'étais quand même heureux. Même si cette confirmation n'était qu'illusion, j'étais heureux de l'entendre, au moins une fois.

"Yuki... Je..."

Elle dormait déjà et se mettait à ronfler. Peut-être que j'avais raison finalement, le sommeil faisait dire certaines choses. J'éteignis donc la télé et étant dans l'incapacité de bouger, je me décidai à rester dans le lit. Ce n'était pas comme ci il pouvait se passer grand-chose ? Non ?
D'un bisou sur la joue je souhaitai bonne nuit à la belle au bois dormant.

"Goodnight Princess."

FIN
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