Feuille de personnageTitre: GlaucosExpérience: 240/500Alter: Hydrattache |  Ven 21 Mai - 16:12 「ニキタの森」Nikita Nomori "Maman, arrêtes! Ya pas moyen de faire tenir les branches!!!" ... "C'est pas des arbres ça, c'est des branches!" ... "Mais d'où je t'insultes?" Nomori Nikita Alter Alter de mutation - Antropoculture
L’organisme du porteur permet d’accueillir une espèce végétale qui va alors s’établir sur la partie du corps la plus appropriée à son développement (généralement la tête), son système racinaire s’établir dans les muscles du porteur répondant à ses besoins en eau et en nutriments en puisant directement dans le sang de son hôte. En échange, elle offre à celui-ci l'excès d’énergie qu’elle produit via photosynthèse.
Chez Nikita c’est un cerisier Yoshino qui s’est établi, les deux branches qui ornent son crâne sont en réalité deux arbres différents. Leur coût énergétique dépassant parfois ce qu’ils rapportent grâce à leur photosynthèse, ces arbres n’apportent pas de grands bénéfices à Nikita, on peut simplement noter qu’il est généralement mieux disposé par jour de beau temps.
Alter à Activation - Hydrattache
Permet au porteur de coller deux structures (organiques ou non) au niveau de leurs points de contacts.
Il faut pour cela que son corps touche le point de contact par le biais d’un milieu aqueu. Un taux d’humidité supérieur à 100% permet aussi l’activation de ses capacités, mais le niveau de concentration requis est plus élevé.
Toute “soudure” possède un seuil de rupture, tant que ce seuil n’est pas dépassé, la soudure demeure intacte. Ce seuil est proportionnel à l’énergie dépensée par le porteur dans la création de la soudure.
Le porteur de l’alter peut défaire les soudures réalisées en remplissant les mêmes prérequis que pour les former. Rompre une soudure ne consomme pas d’énergie.
Coller une structure à un fluide, comme l’air par exemple, consomme peu d’énergie et résulte en l'évaporation de l'eau au niveau du point de contact. Cela a généralement lieu quand le porteur active son alter en dehors de la zone de contact entre les objets visés, faute de précision.
Libérer rapidement une grande quantité d’énergie peut endommager les tissus du porteur, la blessure prend la forme d’une brûlure et doit être traitée comme telle.
Utiliser l’alter pour une durée de temps prolongé résulte en un épuisement du porteur.
Nikita utilise couramment son alter pour “suturer” des coupures plus ou moins profondes. Il pourrait l’utiliser pour soigner des blessures plus graves, comme des os brisés par exemple, mais ne le fait jamais par crainte d’empirer les choses (coller deux trucs qu’il ne devrait pas).
Il peut aussi l’utiliser pour stabiliser des structures fragilisées, facilitant ainsi les opérations de sauvetages, ou encore pour ralentir/immobiliser des objets en mouvements. Dans une situation de combat, Nikita peut se servir de la sueur de ses adversaires pour les coller à leurs équipements et réduire leur mobilité.
Avoir les mains et les pieds humides lui permet d’escalader des parois verticales à la manière d’un gecko.
Améliorations :
- Augmenter le débit stable (actuellement 6 kg/s)
- Augmenter le temps maximum durant lequel le débit stable peut être maintenu en continu (actuellement 10 minutes)
- Augmenter le seuil maximum d’une soudure instantanée sans causer de brûlures (actuellement 30 kg)
- Augmenter la distance pour une précision parfaite sur les cibles statiques (actuellement 8 m)
- Augmenter la distance pour une précision parfaite sur les cibles dynamiques (actuellement 4 m)
| Informations sur le personnage • NOM : Nomori
• PRÉNOM : Nikita
• TITRE : ...
• AGE : 17 ans - 21 Juillet
• NATIONALITÉ : Japonais
• GROUPE : Étudiant
• RANG : D
• Avatar : Nikita Nomori, OC
• Comment avez-vous connu le forum ? : Je suis la double personnalité de Satoru
• CODE DU RÈGLEMENT : Bravo. - Aslinn
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Boki Nomori
C'est bien mais ce n'est pas parfait, tu peux mieux faire. | Yuri Murasaki
Non Nikita, c'est un cerisier, pas un chêne, cesse avec cette fixation |
Minako Nomori
Arrête de pleurer!! On peut aller à la plage tout les jours! | Nikita Nomori
Mais comment je sais où le bus s'arrête? |
| Ma belle gueule Alors… je mesure 1m78 et pèse 64kg, j’ai eu une croissance précoce donc je ne sais pas si je vais continuer de grandir. Vu la carrure de mon père, j’espère gratter encore quelques centimètres. Mon héritage Guarani se reflète dans mon teint mat, mes pommettes prononcées et les yeux bleus caractéristiques de la tribu de mon père. J’ai en revanche pris les cheveux ondulés et cendrés de ma mère ainsi que ces foutus arbres qui rendent ma vie insupportable. En les comptant je mesure 1m98 donc tous les hauts de porte c’est pour ma gueule et au-delà de ça j’ai pas eu droit à un arbre solide et masculin, non, j’ai des foutus branches de cerisiers, qui attirent les badauds comme les abeilles lorsqu’elles fleurissent.
J’aime pas avoir les cheveux longs, c’est trop chiant à laver mais les deux arbustes prennent littéralement racine dans mon crâne ce qui n’est pas très sexy, donc j’ai fait un compromis: courts sur les côtés et mis longs sur le dessus. Selon ma mère, si mes arbres sont aussi rachitiques c’est en partie à cause de mon style de vie à base d’eau de mer et de soleil. Ce style de vie aura laissé d’autres traces sur mon physique, les plus visibles étant les taches blanches qui me couvrent les avant-bras et les épaules, souvenir d’une décennie de coups de soleil. A cela s’ajoute un corps ultra athlétique qui, d’après moi, rendrait jaloux n’importe quel héros grec.
Du côté de ma voix… disons qu’elle est très… douce. Parfaite pour chanter des hits de bossa-nova du millénaire passé (domaine dans lequel j’excelle) mais qui rend toute tentative d’intimidation extrêmement passive agressive. Je ne suis pas du genre à hausser le ton, quand je parle fort je monte de deux octaves c’est absolument ridicule.
J’ai jamais vraiment appris à me battre mais je suis très endurant, souple et possède une bonne coordination motrice. Je pratique le ballet depuis presque un an, à ce qui paraît, ça se perçoit dans ma posture, et je suis un nageur aguerri. J ’ai déjà plongé à 29m de profondeur sans bouteille et peux retenir ma respiration jusqu’à 3 minutes 32 secondes.
Je dois avouer être pas mal angoissé en général, je vis en ayant mal au bide et j’ai les mains et la plante des pieds constamment moites… ce qui me permet d’utiliser mon alter à mains nues, c’est très pratique. J’ai tellement de cals sous les pieds que je peux aisément marcher n’importe où sans avoir besoin de chaussures. Par ailleurs, je souffre beaucoup du froid mais je déteste porter des gants et des chaussettes, l’hiver dernier fut très difficile.
Au-delà des boucles d’oreilles offertes par mon grand-père, niveau vestimentaire, il semblerait que j’ai des goûts de chiottes. Il faut dire que j’ai passé la majeure partie de ma vie en short ou en pantalon large selon la quantité de moustiques. J’ai pas vraiment changé de garde-robe, j’ai juste rajouté des vêtements thermiques et un gros manteau pour survivre en hiver. Finalement, heureusement que l’uniforme est obligatoire.
Mon costume de héros ne boost en rien mes capacités, à part pour son absence de chaussures. Je porte basiquement un t-shirt et un pantalon, offrant une protection relative aux attaques tranchantes, par-dessus lesquels j’ai additionné un samue et mon pantalon favori. L’anneau qui retient ma ceinture est fait de deux pièces de bois et je porte une sacoche avec du matos de premiers secours. |
Un témoignage de ma sœur quant à ma personne Le sauvageon, c’est le surnom octroyé à mon petit frère par l'intégralité de notre cercle familial. De nous deux, c’est lui qui a passé le plus de temps sur le bateau, il n’est jamais allé à l’école, la totalité de son éducation a été réalisée par nos grands-parents et il ne supporte pas de mettre des chaussettes.
Il est aussi extrêmement déterminé, n’accepte pas d’être médiocre et prend ses résolutions de fin d’année très à sérieux.
Derrière ses apparences de “grand garçon plein de confiance” se cache un gamin hyper timide, avec un beau complexe d’infériorité. Il a constamment besoin d’être reconnu, félicité, remercié etc… Cette nécessité est probablement en lien avec ses mummy et daddy issues. Ça fait plus de 3 ans qu’on essaye de résoudre ça avec un psy mais il y a encore du travail.
Il ne croit pas en la réincarnation, malgré l’éducation bouddhiste que notre grand-mère a essayé de lui inculper. La vie est pour lui une chance unique et il voit toute perte de temps comme une hérésie. Je serais tentée de dire qu’il ne ferait pas de mal à une mouche mais il ne sait pas vraiment ce qu’est la cruauté et finira probablement par le découvrir au coin d’une ruelle. On verra alors à quel point le cœur de Nikita Nomori est capable de haïr.
Pour le moment il est très préoccupé par le bien-être physique et mental d’à peu près… tous les êtres vivants qui l’entourent, mais en même temps, il insiste beaucoup sur le fait que la mort et la maladie sont des tragédies inévitables et peut se montrer très froid à ces sujets.
S'il ne mange pas de viande ce n’est pas par idéologie mais par paranoïa, il a énormément de mal à consommer la chair d’un animal qu’il n'a pas tué ou vu être préparé.
Ses hobbys tournent autour de la lecture, la musique, la danse et tous sports nautiques allant de la voile à la plongée en passant par le kite.
Si 10% de sa liseuse sont dédiés à ses manuels scolaires, les 90 autres sont pour les livres de fantasy et de science-fiction.
Il veut apprendre à jouer du piano depuis qu’il a 8 ans, c’est pourquoi nos grands-parents lui ont offert ... une Kalimba, il l'a traficoté pour avoir une gamme chromatique et se la trimballe un peu partout. Il sait aussi jouer de la guitare mais ne possède qu’un cavaquinho, selon lui, la musique, c’est le gros drame de sa vie.
En ce qui concerne la danse, il est capable de s'en tirer sur n'importe quel rythme en solo comme à deux. En plus de cela il prend des cours de ballet depuis presque un an. Selon lui c’est pour pouvoir “voir les filles en tutu”. J’ai plus l’impression que le fait d’être le seul gars du cours débutant lui permet d’être le centre d’attention par défaut. Ça nourrit son égo.
Après je pense qu’il a ce qu’il faut pour être un héros, il est plutôt vif d’esprit, relativement courageux et il a déjà fait preuve de beaucoup de sang froid dans des situations de hauts risques. Je me demande juste comment il va réagir face à un conflit… il est plutôt du genre à vouloir tout résoudre par la diplomatie donc… ouais.
En revanche, je ne sais pas s'il a le gabarit pour “le cursus héroïque”. Il est tout le temps dans les nuages, je ne l’ai jamais vu rester assis sur une chaise pendant plus de 2 heures, tous les stylos de sa trousse sont mâchouillés jusqu’à la pointe, il ne peut pas dormir sans son chien en peluche, déteste se trouver dans des lieux bondés ou sous terre (tous ses contacts sont au courant lorsqu’il doit prendre le métro, il fait systématiquement un méga drame) et les évaluations écrites le stressent au point qu’il ne peut plus manger pendant les trois jours qui précèdent. En plus, s'il est excellent en math, sciences, géographie, histoire et langues, il ne connaît pas la moitié des kanjis nécessaires.
D’ailleurs il parle très bien Japonais, Anglais, Portugais, Portugnol et apprend actuellement le Français, au grand désespoir de notre grand-père qui l’a pourtant forcé à regarder des films italiens en pure VO depuis sa petite enfance.
Au final c’est un gars plutôt gentil, qui peut se montrer très sociable une fois qu’il a franchi les barrières imposées par sa timidité. Histoires de famille Mon histoire commence avec celle de mes parents, vu que ce sont leurs décisions à deux balles qui m’ont amené là où je suis. Ma mère est originaire d'Osaka, mon père est d’origine Guarani, adopté par un couple Italo-Japo-Brésilien qui parcourait alors le monde sur leur voilier. Bosco et Yuri se sont rencontrés, alors qu’ils avaient 17 ans, sur un chantier naval en Thaïlande. Ma sœur est née un an plus tard. Mes grands-parents paternels ont bien proposé aux deux idiots de rester vivre avec eux, mais ma mère, soi-disant pour être plus proche de sa famille (de laquelle elle avait fui), a insisté pour rapatrier Bosco (mon père) et Minako(ma soeur) dans sa ville natale.
Mon père parlant le japonais, langue maternelle de sa mère adoptive, l’idée d’élever sa fille à Osaka ne lui avait, à l’époque, pas semblé si absurde. C’est comme ça qu’après deux ans d’intégration, il obtient sa licence héroïque en candidat libre et se lance dans une carrière de héros certainement destinée au succès.
A partir de là tout ce que je sais c’est que je suis venu au monde cinq ans plus tard et que mes parents se détestaient déjà à ce moment-là. Je devais être une sorte d’espoir de sauver un mariage voué à l’échec, ce qui n'a absolument pas fonctionné. La guerre du divorce a réellement commencé autour de mon quatrième anniversaire, le seul point sur lequel les darons se sont mis d’accord c’est que leurs engueulades n’étaient pas un environnement approprié pour élever deux gamins, du coup plutôt que de résoudre la question des engueulades, ils ont résolus la question des gamins en nous envoyant vivre sur le Water Buffalo, le voilier de mes grands-parents.
C’est comme ça que je me suis retrouvé séparé de mes parents à l’âge de cinq ans et alphabétisé en trois langues simultanément, par mes grands-parents. Ma grand-mère a tâché de faire de son mieux avec le Japonais (elle a pas vraiment réussi mais c’est pas sa faute), toute mon éducation a donc été réalisée à distance sous la supervision du système éducatif japonais. Dire que j’allais pas hyper bien serait un euphémisme, on m'a donc fait redoubler mon CP et puis au bout de deux ans j’ai compris que je n’étais pas vraiment attendu à Osaka.
J’avais presque dix ans quand Minako a quitté le navire pour aller étudier à Tokyo. J’ai pris sa cabine du coup … j’allais pas très bien donc on m'a fait redoubler mon CM2.
On a vécu plein de trucs sur le Water Buffalo. On s’est déjà pris la foudre, une fois mon grand-père s’est fait assommer par un poisson volant, on a failli couler en ratant l’entrée d’une passe, j’ai sauvé un gars d’un accident de plongée, on s’est pris une alerte tsunami… bref, une tonne d’histoires sympa pour les diners de famille.
Et puis un jour j’ai été suffisamment con pour demander si je pouvais m’installer au Brésil. Je voulais travailler sur un chantier naval où on avait caréné le Water Buffalo, la légende raconte que ma véritable motivation se trouvait dans les beaux yeux de je ne sais qui et mes grands-parents, croyants voir venir “Bosco Nomori, le retour”, m'ont simplement dégagé du bateau pour m’envoyer vivre chez ma soeur et son copain à Tokyo.
Ils étaient pas très contents ces deux-là et je pense que c’est en partie pour ça qu'ils ont tout fait pour que je réussisse les concours et intègre une filière héroïque avec internat. Un an c’était peut-être un peu long, à trois dans un une-pièce, mais je trouve que l’on s’est bien marré. Minako m’a inscrit à des activités non-stop, ballet, natation et musique en semaine, origami et go le dimanche… maintenant je déteste le dimanche mais je sais certainement jouer au go. J’ai beaucoup de mal à m’adapter à la ville par contre, j’adore
Les événements de Musutafu m’ont indirectement affectée car ils ont incité mon père à déménager son agence d'Osaka pour s’installer à Musutafu justement, soit suffisamment proche de moi pour qu’il se souvienne de mon existence. J’ai toujours imaginé que je le détesterais mais je dois avouer ne pas en être capable, je suis juste content d’avoir un papa… et je me sens comme un gamin de 5 ans quand je suis avec lui.
Et du coup voilà. Demain sera mon premier jour d’école… genre… le premier de toute ma vie. Je suis curieux de voir à quoi cela ressemble et quel genre de personne je vais y rencontrer. Suivre le chemin peu inspiré que mon paternel a tracé avant moi.
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