Au moment où j’effectue mon coup, je sent les effets de mon alter qui se dissipe. Impossible de savoir si mon attaque avait été concluante. Ma vision devient trouble, le son de mon environnement résonne dans mes oreilles. Mes muscles me lâchent. Je ne possède effectivement plus aucune force, me voilà épuisé..
j’entend un ‘’ hey ‘’ distordus, puis je me fais violemment saisir par la gorge. Des ongles me transperce de toutes part. J'éprouve des difficulté a respirer.
“Ehoh… Ne me dis pas que tu es déjà fatigué ?
J’obtiens confirmation.. Mon dernier coup ne l’a pas atteint. Je me résout à perdre la vie ce soir. Incapable de me débattre. Elle me tient d’une main par le coup seulement. Si elle me lâche mes pieds ne peuvent même pas me maintenir debout. Même fermer les paupières me demande trop d’effort.
Ses tatouages ne cessent de briller, je ne peux même pas fermer les yeux. Cela me fait terriblement mal.
Sa prise se resserre, ça ne m’étonnerais pas qu’une veine ou deux soit percé.. je sentis un liquide glissant le long de mon cou. Surement mon propre sang.
“Lo siento mon beau.”
Inapte à me dégager j’encaisse un violent coup de genoux dans mes bijoux chinois.Je souffrais.
Sur le point de perdre connaissance, la dernière chose que j’entend est
“On se reverra.”
Après cela, je parviens à fermé les yeux. Une sieste bien mérité m’attend.
J’en oublie presque les sirènes retentissent.
Plus tard.
Me voilà sorti de ma sieste. Je n’ai pas souvenir que le sol était si doux. En ouvrant les yeux je perçois un plafond blanc.
Vous êtes réveillé Monsieur Chèn ?
Qu- Quoi ?
Je tourne légèrement ma tête pour apercevoir une infirmière à mon chevet.
Ah je comprend mieux, je suis à l'hôpital. En ayant passé de nombreux séjour dans ces deniers, qu’elle honte de ne pas avoir réalisé tout de suite.
Excusez moi mademoiselle, avez vous récu-
Oui monsieur, tous vos effets personnel ont été complètement récupéré et son dans votre chambre. Planche a roulette, Prothèse, Sac de beignet, tout y est ! A vrais dire vous n’aviez pas grand chose.
C’est parfait. Je vous remercie.
Elle quitta la pièces pour aller avertir le personnel. Me laissant encore un peu de temps de répit.
Je me lève pour constater que rien n’ait été oublié. J’ai effectivement tous.
Mais ma prothèse, enfin, ce qu’il en restait, semblait tenir quelque chose dans le creux de la main.
Il y avait un papier, ça me revient maintenant. C’était le numéro de cet fille au caractère bien trempé.
Un sourire apaisé ce dessine sur mon visage.
La Mira Yun Japonaise.
Je riais.
Me remémorant les événement qui venaient de se passer. Je commence à parler à voix haute dans ma chambre.
Mon assaut impulsifs, lorsqu'elle saisis le sac de bijoux.. Ahahaha !
Je l’ai choqué pour sur. Il y a des habitudes qui mettront du temps à changer.
Au Japon ils n’ont pas l’air aussi à cheval sur les malfrats si mon attitude l’a choqué.
En Chine on n’attaque pour encore moins que cela, il n’y a pas de petit délit, la frontière entre innocent et coupable est ridiculement infime.
On ne se pose pas trop de question.
Ce qui laisse penser qu’il y a beaucoup d’innocent accusé à tort. Je ne vais pas le nié. Mais, malgré mes résultats catastrophique à l’école en ce qui concerne le domaine de l’ enquête.
La Chine dispose d’inspecteur hors pair. Et même si le présumé coupable s’avère être plus tard la victime. Ces derniers arrive toujours à remonter jusqu’au marionnettiste responsable.
L’équipe médicale frappe à ma porte, ils entre pour me faire un bilan des événements. Me récitant surtout l’après mon évanouissement.
Un homme à la tête de vache s’avérant être le caissier de la bijouterie, un des otages qui plus est, avait témoigner lorsque une équipe de journaliste, fut venu pour médiatiser les événements.
Il m'avait fait une sacré pub dis donc. Je me dois de le reconnaître.
Le docteur me regarda dans les yeux en prenant de ses deux mains ma seul main opérationnel.
Vous êtes un vrais Héro.
Gêné je lève les yeux sur la porte ouverte de ma chambre, quand soudain, un vacarme sans précédent se fit entendre.
Une foule de citoyen en tous genre accompagné de quelque journaliste dans le tas, se trouvait là, devant la porte de ma chambre.
Une ribambelle d’applaudissement, d’encouragement et félicitation sans suivis.
J’entend des demande d’orthographe, des propositions d'emplois ainsi que des sponsors. Il y avait de tout.
Au vue de mon visage désemparer, voyant que la situation m'échappe. Le docteur, toujours en me serrant la me main, pris la parole. Un silence et un calme s’installe. Tout le monde écoute.
Je suis ravi d’avoir un héro de votre envergure tels que vous parmi nous.
Ahahahaha !
Suite à mon rire nerveux du au fait de recevoir autant de compliment, le vacarme étais repartis, la joie c’était propager. J’avais surement perdu une bataille, mais mon devoir en tant qu’héro ne fut qu'on ne peux plus accomplis.
